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ZombiGirl

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Jess Franco

Jess Franco (3/6)

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Réputation sur la communauté

  1. http://www.zonebis.com/forum/viewtopic.php?t=1171&highlight=vent+apporta+++violence J'avais fait une recherche, moua
  2. Excellent survival, bien glauque et méchant. Aucune finesse psychologique ce qui pour moi est un peu dommage mais j'adhère. Et l'influence sur CALVAIRE est en effet évidente... J'ai beaucoup pensé à LA TRAQUE aussi.
  3. J'ai beaucoup aimé aussi bien que je l'ai trouvé un peu décousu dans sa construction *** on ne revoit le gars vraiment qu'à la fin ***, un peu prévisible et des persos pas toujours très crédibles *** en particulier lorsque la brune regarde son amie se faire torturer, elle met quand même longtemps à réagir ***. Mais les mises à mort sont bien vicieuses, ça ne plaisante pas du tout et les paysages sont franchement beaux - seule chose inutile, l'éclipse. L'exposition est en effet plus intéressante que dans la moyenne des films récents et l'effet de terreur qu'inspire le film a fonctionné sur moi comme rarement. Un film bête et méchant à l'instar de son tueur
  4. ZombiGirl

    Hostel - Eli Roth (2005)

    Je ne crache pas dessus par principe (j'étais l'un des premiers sur ce thread à poster de photos du film et j'en attendais beaucoup...) je crache dessus parce que Eli Roth m'a vomi dessus. Fallait pas te sentir visé, je ne parlais pas de toi, j'ai même pas lu le thread Puis vu ce qu'il disait déjà pour CABIN FEVER, fallait s'attendre à ne pas pouvoir lui faire confiance. Je savais que dalle sur HOSTEL mis à part le teaser avec l'oeil et je n'ai pas eu d'attentes. Le film passe tout de suite mieux que qd on s'excite pendant des mois en ne sachant même pas pourquoi (et je précise encore que ce n'est pas dit à ton égard).
  5. Excellent exploitation qui n'a pas volé sa réputation. Plus c'est malsain et glauque, plus j'aime et ce film l'est !
  6. ZombiGirl

    Hostel - Eli Roth (2005)

    Yeah ! Je soutiens à 100%. De la bombe, tout simplement. Et je préfère de loin encourager ce genre de production que de cracher dessus par principe et qu'on se retrouve avec des daubes à la PTERODACTYLES pour remplir nos étagères. Evidemment, faudrait qu'Eli perde un peu sa folie des grandeurs parce que bon, rapprocher HOSTEL de CALIGULA, y a un gouffre quand même, quelque part...
  7. Merci, Tom... Le suivant est terminé, enfin le 1er jet, du moins. Et c'est de l'horreur, cette fois
  8. Ah ben pareil, encore (post diantrement constructif). Mon préféré reste PSALM 69 dont je ne me lasse vraiment pas. Je les avait vu au festival de Dour en... 1997, je crois, ils sont passés juste après les YOUNG GODS. Ouch Cet aprèm :
  9. Une tuerie de quel genre parce que je les trouve super inégaux depuis quelques années ? PSALM 69 en plus trash, plus brut, moins de sons industriels. Pareil que toi, je n'étais pas très convaincue depuis qqs temps mais là, ils remontent ds mon estime.
  10. J'écoute RIO GRANDE BLOOD, le prochain MINISTRY qui sortira au mois de mai (frime gratuite : C'est le sampler promo, c'est le label de mon mari et son pote qui distribue le CD - ils l'ont eu parce que le DVD musical de WHITESNAKE qu'ils distribuent marche super bien). Et c'est une tuerie Et ils passent le 31 juillet à la Loco - YEAH !!
  11. THE CROW Graphic novel de James O'Barr 1981 Kitchen Sink Press THE CROW est le chant de souffrance d'un homme pris dans la tourmente d'une perte aussi subite qu'atroce, une vengeance d'outre-tombe dans un univers fictif parallèle, la délivrance d'une douleur viscérale dont il n'existe que deux issues : La vie ou la mort. James O'Barr a choisi de vivre et de rendre hommage à la femme qu'il aima passionnément, celle qui allait devenir son épouse, celle dont il fut séparé à jamais à cause d'un acte monstrueux, un viol suivi de meurtre. Dans ces pages, O'Barr hurle sa souffrance sur chaque page, crie son amour, son désespoir et son incompréhension au fil d'une histoire belle à vous arracher des larmes pour mieux vous secouer l'âme de par sa violence crue et sans concessions. La perte d'un être cher fait partie de la vie de tout le monde. La mort dûe à la vieillesse nous paraît plus logique que celle d'un enfant à l'aube de sa vie, tandis que celle causée par un meurtre, volontaire ou non, est plus semblable à un brutal coup de hache dans notre coeur et âme. Rien ne nous y prépare et notre seule arme pour y survivre est nous-même et notre volonté de nous frayer un chemin à travers la souffrance pour pouvoir continuer de vivre un jour. On aimerait que le temps s'arrête le temps qu'on aille mieux mais rien ni personne ne se pliera à nos exigeances égoïstes et nous subissons jusqu'à trouver le moyen de canaliser notre douleur. Le jour où L'amie de James O'Barr est morte, une partie de lui est morte avec elle. Ici, O'Barr devient Eric Draven, ramené à la vie par un corbeau. Oiseau mythologique s'il en est, destructeur, protecteur, accompagnateur des morts entre cette vie et l'au-delà. Eric Draven revient se venger des bourreaux de la douce Shelly dans un étal de haine et de tourments rarement vus. Une trame si simple qu'elle tient en une phrase mais qui nécessite plus de 200 pages pour arriver au bout de sa destination : La sérénité. Le trait est précis et réaliste et un réel effort a été fait pour faire passer l'émotion par le graphisme. Pour les passages où Draven se souvient de Shelly, sa plume est légère comme un baiser volé et les ombres douces comme la peau qu'il caresse dans ses rêves. Pour les passages de vengeance qui composent la majeure partie du livre, le trait devient dur et anguleux, les ombres aussi noires que le coeur des habitants de cet univers où la réalité est inextricable de la fiction. C'est fort, c'est beau, c'est une véritable ballade visuelle ponctuée de paroles de chansons (Joy Division, The Cure...) ou d'extraits de poèmes (Baudelaire, Rimbaud...). Avant le meurtre du chef du gang, nous revenons un an en arrière pour assister à l'évènement catalyseur. O'Barr ne nous épargne rien, enfonçant les clous de sa souffrance dans nos entrailles jusqu'à nous couper le souffle. Il était là, il a tout vu et il nous en montre les détails dans un long passage que l'on devine fébrile sous sa plume le temps de sa création. Tout y est : Les choses avec lesquelles on se torture sur le coup mais qui nous feront sourire plus tard. Les choses qui nous aident à évacuer la douleur physique causée par la mort d'un être aussi proche de nous que notre propre coeur. Malgré son apparente noirceur, THE CROW est une formidable célébration de la vie, une lettre d'amour qui demeurera éternelle, une magnifique preuve de force et de courage chez un homme qui ne savait pas encore qu'il voulait continuer à vivre. Une lecture douloureuse et libératrice ainsi qu'une belle création graphique. (Critique publiée sur http://www.psychovision.net )
  12. Je n'ai pas réussi à aller au-delà du clown voyeur sur échasses Que dire aussi du plan de drague sur le canapé avec le cadavre dans un cercueil dans la pièce à côté ? Ca ne me prend pas souvent mais objectivement, ce film est une sombre merde. Pourtant, je l'aime bien, le père Lustig...
  13. Pareil Je te laisse poster à ma place pendant mon absence ?
  14. Dans mes bras Par contre, je préfère le premier qui, pour moi, reste culte de chez intouchable depuis plus de 20 ans (ah oui, quand même ). C'est avec le 2 que j'ai un problème, je le trouve beaucoup trop hystérique même s'il y a des passages qui n'ont rien à envier au premier. - Gimme some sugar, baby ! La super classe mondiale, ce Ash
  15. ZombiGirl

    Mais ou sont ils passé ?

    Excuse-moi, Trepanator J'ai réagi un peu vite... Kero : Ok. Je pense que ça lui fera bien plaisir Il revient un peu sur le forum de Scary-movies (non, rien à voir avec les films ) EDIT : Merci Dragonball Vi vi, elle va beaucoup mieux et elle a hâte de se vautrer dans la neige au Danemark
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