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Eric

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  1. Il y a aussi un peu de Piranha 2 dedans
  2. LE LUFF DÉVOILE SON PROGRAMME 2022 AU COMPLET Esthétique de l’outrance, saturations vocales et télépathie collective seront au rendez-vous de la 21e édition ! Le Lausanne Underground Film & Music Festival révèle la programmation complète de sa 21e édition qui se tiendra du 19 au 23 octobre 2022. Avec comme lieu central le Casino de Montbenon, le festival invite également son public à se frayer un chemin dans les divers espaces satellites lausannois où projections, performances sonores, workshops, vernissages et autres expositions prendront vie. Tout comme les artistes qu’il met en lumière, le LUFF réinvente constamment ses contours et son contenu en proposant des œuvres qui se situent à l'intersection et aux extrémités des genres et des pratiques. Aux visiteur·se·x·s de créer leur parcours, aussi insensé soit-il, entre les programmes de films donnant à voir des trésors boueux déterrés des hautes-sphères du cinéma sous-terrain et les soirées sonores donnant à entendre des bruits inaudibles et des paroles indicibles. Au cœur de cette incohérence assumée, le festival espère faire émerger une fois encore l’effervescence unique au LUFF. Durant les cinq jours de festivité, les compétitions internationales dévoileront un total de 51 longs et courts métrages répartis dans 5 catégories. Les parcours de figures phares du cinéma indépendant seront mis à l’honneur dans 6 programmes de rétrospectives et cartes blanches thématiques. 5 longs documentaires et 1 séance spéciale en première mondiale viendront compléter cette riche offre filmique. Côté musique, la Salle des Fêtes du Casino n’accueillera pas moins de 22 performances et, sur l’esplanade, 8 projets interdisciplinaires seront présentés en entrée libre dans le cadre de l’OFF. IDENTITÉ VISUELLE L’identité visuelle de cette 21e édition est marquée par sa simplicité contrastant avec ses couleurs fancy-flashy. Surimprimé, « LUFF » vient dévorer l’espace petit à petit. Sa mutation constante se décline sur les différents supports de communication. Graphisme par Pauline Piguet et Rebecca Metzger. FILM Des performances culino-gastriques sont attendues en ouverture de cette édition avec le long métrage Flux Gourmet de Peter Strickland, dont l’acteur Asa Butterfield (Sex Education) tient l’un des rôles principaux. La projection sera suivie par une séance spéciale pour faire découvrir en première mondiale le film Never Gate des réalisateur·trice·s genevois·e·s Elena Montesinos et JD Schneider. La compétition de longs métrages s’ouvrira avec la première européenne du très étrange All Jacked Up and Full of Worms qui se déploie comme un long cauchemar crasseux et hallucinatoire. Deux premières internationales seront présentées : Cuddly Toys, le mondo engagé de la jeune réalisatrice Kansas Bowlings sur les dangers d’être une jeune femme aux États-Unis et Breathing Happy qui aborde avec grande sensibilité le thème de l’addiction ou plutôt de la sobriété en période de Noël. Sur fond de satire dramatique, Jethica, de l’américain Pete Ohs, sera montré en première suisse. Finalement, Unicorn Wars, un méchant cartoon franco-espagnol, détournera les codes de l’animation pour un revirement quelque peu brutal. Des pépites en tout genre se succéderont dans la compétition des courts métrages avec ses quatre catégories : animation, documentaire, fiction et expérimental. Cette année, le programme de documentaires longs a pour spécificité de tisser des liens entre les différents artistes et projets du LUFF. Les français Nicolas Drolc et Guillaume Marietta dévoileront en première internationale La Grande Triple Alliance Internationale de l’Est, un film sur le mouvement/non-mouvement éponyme auquel s’est notamment associé le groupe Sida qui fera son retour sur scène le dernier soir du festival. Le portrait fascinant de l’artiste à l'origine de la musique du générique de la série Dr. Who sera dépeint dans Delia Derbyshire: The Myths and Legendary Tapes. La bande sonore de ce biopic a par ailleurs été créée par l’artiste Cosi Fanni Tutti, dont il sera question dans Other, Like Me sur le parcours du projet COUM Transmissions et Throbbing Gristle, pionniers de la musique industrielle. Intru de la sélection documentaire très musicale, Scream, Queen! My Nightmare On Elm Street raconte la période où Mark Patton a été la cible d’attaques homophobes suite à son rôle dans La Revanche de Freddy. L’acteur a depuis fait son retour sur le grand écran avec une performance dans Swallowed de Carter Smith qui clôturera cette 21e édition. Comme chaque année, le LUFF tient à honorer le parcours de figures phares des productions cinématographiques à la marge avec des cinéramas sous forme de rétrospectives et cartes blanches. Thématique centrale de cette édition, le Camp et sa dimension queer et grotesque seront présentés dans « Bad Taste is Good Taste: Underground Camp Melodrama ». Une composante que l’on retrouve dans l’esthétisme des films de Stephen Sayadian, l’auteur de Café Flesh. Une partie de son travail photographique sera par ailleurs exposé à la Rasude durant le festival. La cinéaste Roberta Findlay viendra, pour la première fois en Suisse, nous montrer ses œuvres érotiques et horrifiques. Quant au cinérama « Satirical & Political: A short film selection », il donnera carte blanche à l’anarchiste convaincu et soixante-huitard dans l’âme, Jean-Pierre Bouyxou. La rétrospective des documentaires militants de l’américain Travis Wilkerson effectuera un virage politique et social. MUSIC La première rencontre en live des neuf artistes de a.hop inaugurera les soirées sonores de cette édition. Certaines des membres du collectif donneront également des workshops dans le cadre du festival. La création d’installation sonore Heat, motion, sound sera animée par Ryoko Akama & Anne-F Jacques et, l’artiste basée à Tokyo, suzueri guidera les participant·e·x·s de Sound Lens dans la construction d’un kit permettant de convertir en sons les modulations de la lumière. A la suite du mercredi soir, le projet solo de Nacre, également membre des projets Deeat Palace et Officine, déconstruira les codes de compositions musicales classiques en explorant un son de guitare hautement saturé. Transition vers les histoires de transmissions dans la performance en quadriphonie composée spécialement pour le LUFF où Mark Vernon jouera avec les archives de bandes magnétiques. Hive Mind clôturera cette première nuit en repoussant les limites des médias analogiques pour nous entraîner dans une sensation de plaques tectoniques en longs mouvements infinis. Attrapant les fantômes de larsen qui hanteront la Salle des Fêtes le jeudi, l’artiste du mouvement Elaine Mitchener interprétera la pièce Bird and Person Dyning (1975) de Alvin Lucier. La suite de la soirée augmentera en intensité avec la harsh noise psyché de l’américain Kiran Arora. Puis, retour au feedback avec Jean-Philippe Gross et son dispositif électro-acoustique maîtrisé à l’excellence. Le programme ne pouvant se terminer sans un dernier éclat, la new-yorkaise emme viendra hurler au sein de la foule dans une sombre chorégraphie. Un défilé d’artistes attend le public du vendredi, à commencer par le duo londonien Komare et sa no wave minimaliste à coup de synthé modulaire et de voix hallucinatoire. On Yee Lo alliera ses passions pour la musique expérimentale et pour la cuisine en offrant une performance culinaire dont les ingrédients auront été préparés la vieille lors de son workshop Hacking Cooking. Le très dada Duncan Harrison s’adonnera à une performance qui ne manquera pas de provoquer rires, et potentiellement dégout. Measure Maniacs construisent leurs propres synthés et en déconstruiront le son avec des visions stroboscopiques entrecoupées de lasers en arrière-fond visuel. Avec ses six performances, la dernière soirée s’annonce hautement dense et variée. Débutant avec les mots de l’ex-membre de Crass Penny Rimbaud et sa réinterprétation de « Howl », un poème d'Allan Ginsberg, elle se terminera sur la tech-noise lo-fi pleine de distorsions de la berlinoise Silnaye. Entre deux, Charmaine Lee fera osciller sa voix entre lyrisme et brutalisme et le duo japonais Shojiki nous proposera d’écouter du scotch qu’il rembobinera à l’aide d’un système à moteurs. L’OFF La programmation des performances qui se tiendront sur l’esplanade du Casino ne peut se résumer en peu de mots tant les artistes et leurs pratiques construisent et déconstruisent des univers aux singularités hétéroclites. De l’électronica-expérimental de Citytronix au rituel de guérison du duo Satin de Compostela + Juniper en passant par les chorégraphies ensanglantées de Evanora:Unlimited, le public du LUFF pourra découvrir ce que la scène underground émergente a de mieux à offrir. Notons le retour sur les ondes du festival avec la Raio LUFF en collaboration avec les stations de la toile suisse Radio 40 (Lausanne) et Radio Bollwerk (Berne). Au programme de la semaine : présentation journalière de la programmation avec ses responsables, discussions et interviews avec ses artistes, interventions de collectifs et magazines, installations sonores, retransmission en direct des concerts et des performances. Côté vernissage, les éditions Rip on/off présenteront leur récente traduction Douglas Kahn, Oiseaux. Réflexions sur Alvin Lucier et Elena Biserna vernira son dernier ouvrage Walking from Scores. Dans le cadre de son workshop Feminist Steps, l’artiste guidera les participant·e·x·s dans les rues de nuit pour écouter l’espace public dans une perspective féministe et queer. Finalement, les œuvres portrayant d’étranges personnages aux corps recomposés et des paysages désolés de l’artiste française Pole Ka seront exposées à la galerie HumuS et l’installation de Robert Barry diffusera une pièce sonore simultanément entre le Casino de Montbenon et Circuit. Un atelier organisé par l’artiste sur le thème de la télépathie collective se tiendra également à l’EJMA.
  3. LE LUFF REVIENT POUR UNE 21e EDITION QUI S’ANNONCE TRÈS CAMP ET IMPRÉVISIBLE ! APERÇU DE LA PROGRAMMATION 2022 Le Lausanne Underground Film & Music Festival revient du 19 au 23 octobre 2022 au Casino de Montbenon ainsi que dans divers lieux lausannois. Après avoir célébré ses vingt ans avec force et en contexte de pandémie, le festival entend bien démontrer une fois encore la pertinence de l’existence d’expressions artistiques alternatives. Chaque année, le LUFF explore les profondeurs d’une culture souterraine pour y puiser des propositions qui défient les normes et troublent les sens. Cette 21e édition donnera assurément lieu à des (re-)découvertes hyperstimulantes et hyperfluctuantes ! Le Camp sera à l’honneur des programmes de films avec des œuvres phares telles que Thundercrack! ou Multiple Maniacs. Des rétrospectives reviendront sur les parcours d’invité·e·x·s mythiques avec l’exploitation brute de l’américaine Roberta Findlay, les performances filmées de la bulgare Mara Mattuschka et l’érotisme dépressif du photographe Stephen Sayadian. Les soirées sonores s’annoncent à l’image de leurs performeur·se·x·s: tout en imprévisibilité. Le public se frayera un chemin entre l’expérimentation vocale de Charmaine Lee et les paroles pop torturées de Paul Arámbula, en passant par la punk-noise hardcore de Deli Girls et les spoken words du légendaire Penny Rimbaud du groupe CRASS. Sans oublier la programmation pluridisciplinaire de L’OFF, les workshops et vernissages. FILM Esthétique de l’outrance, provocation et folitude s’invitent au LUFF avec le cinéma Camp en thème central des programmes de films de cette année. Le cinérama « Bad Taste is Good Taste: Underground Camp Melodrama » présentera des œuvres cultes telles que Seeds et sa matriarche tyrannique flanquée de rejetons névropathes ; Multiple Maniacs de John Waters et sa symphonie de perversions orchestrée par un travesti obèse ou encore la fresque gothico-porno Thundercrack!. Le festival accueillera également des personnalités dont les œuvres résonnent étrangement bien avec l’indécence et le grotesque du Camp. L’artiste bulgare Mara Mattuschka nous fera l’honneur de sa présence dans le cadre d’une rétrospective de ses œuvres cinématographiques réalisées en parallèle de sa carrière de peintre. Ses courts-métrages mêlant performance, body art et expérimentations ainsi que son dernier long métrage donneront un avant-goût du spectre mattuschkien et de son « exhibitionnisme transformé en art », dixit le cinéaste autrichien Peter Tscherkassky. Photographe pour le magazine Hustler puis réalisateur de pornos, l’américain Stephen Sayadian nous présentera deux de ses productions réalisées dans les années 80 et ayant retrouvé leur éclat surréaliste grâce à de récentes restaurations: Café Flesh et Dr. Caligari. Quant aux films sélectionnés par le cinéaste pour sa carte blanche, ils semblent a priori éloignés de ses genres de prédilection. Le soin particulier porté à la direction artistique dans ces productions rappelle toutefois sans équivoque l’obsession de Sayadian pour cette dernière. Figure mythique du cinéma d’exploitation new-yorkais des années 80, Roberta Findlay a commencé sa carrière dans la technique de prise de vue avant de se consacrer à la production de films érotiques et d’horreur. Pour rendre hommage à la cinéaste aux multiples talents, une rétrospective de trois œuvres détonantes sera présentée. MUSIC Le volet sonore du LUFF sera une fois de plus très «noise» ! Le terme n’est pas à comprendre ici (uniquement) dans sa référence à des formes d’expérimentation sonore mais plutôt comme un désir d’incohérence générale. Pris dans son ensemble, cet enchaînement improbable de propositions radicales laisse une infinie liberté d’entrevoir des points de convergence entre les différentes ondes artistiques qui se propageront dans la salle des fêtes du Casino de Montbenon. La première de ces convergences a d’abord eu lieu sur le terrain numérique et en période de confinement. a.hop regroupe neufs artistes vivant dans des pays différents et qui ne se sont jamais rencontrées. Réunies pour la première fois « In Real Life » à l’ouverture de cette édition (19.10.22), les membres du collectif proposeront une performance mi-écrite, mi-improvisée et reflétant la diversité de leurs pratiques sonores, de leurs cultures et de leurs expériences de vie. S’il existe un point commun à certain·e·x·s des artistes programmé·e·x·s cette année, il pourrait se résumer à des « injections hip-hop dans de l’hardcore ». L’hyperprolifique duo Model Home (22.10.22) offrira une version post-moderne du rap old school et de la ‘glitchy’ noise. Plus éloigné des références hip-hop, Yeah You (19.10.22) en gardera le flow scandé sur de l’électro-noise improvisée. Pour leur premier concert en Suisse, le projet explosif basé à Brooklyn, Deli Girls (21.10.22) combinera les extrémités les plus chaotiques et hardcore du punk-noise et de la techno. Un large spectre de modulations vocales traversera cette 21e édition. La voix se présentera dans sa version la plus expérimentale avec l’artiste Charmaine Lee (22.10.22). Alors qu’à une autre extrémité, la mélodieuse pop de Paul Arámbula (21.10.22) sera brouillée de démons intérieurs et de voyages vers nulle part. Les spoken words du légendaire Penny Rimbaud (co-fondateur de CRASS), accompagné de la violoncelliste Kate Shortt, résonneront le dernier soir (22.10.22). La performance dada et totalement imprévisible du co-directeur du label Slip Laurie Tompkins s’immiscera quant à elle dans le programme du jeudi (20.10.22). L’OFF Élément devenu essentiel à l’ADN du LUFF, L’OFF prendra à nouveau forme cette année. Des artistes pluridisciplinaires suisses et internationaux se succéderont dans cet espace extérieur pour déployer leurs visions utopiques ou dystopiques. Le public pourra alors gratuitement découvrir une panoplie de propositions, du punk hardcore féministe de Dismenol à l’usage inattendue d’un large éventail de matériel personnalisé par le belge Arthur Chambry, en passant par les rythmes industriels de l’écossaise KAVARI.
  4. Le programme complet de la 20e édition du LUFF est maintenant en ligne ! Du 20 au 24 octobre 2021 se tiendra la 20e édition du Lausanne Underground Film & Music Festival. Véritable instrument de résistance depuis ses débuts, le LUFF célébrera ses 20 ans en présentant des projets artistiques dérangeant par leur impertinence ou encore par leur expérimentation extrême du visuel et du sonore. Cette édition anniversaire se déroulera au Casino de Montbenon ainsi que dans divers lieux lausannois et offrira à ses spectateur·trice·x·s une programmation hybride qui défie les normes cinématographiques et musicales en mélangeant films, performances sonores et workshops. Le programme cinéma est composé de 5 compétitions internationales comprenant 5 longs métrages et un total de 35 courts métrages, d’une première internationale et 10 premières suisses. La sélection filmique est complétée par 7 cinéramas incluant notamment 2 cartes blanches, de 2 rétrospectives sélectives et un programme de 5 documentaires. Côté musique, la salle des fêtes et Plateforme10 (MCBA) accueilleront 22 performances sonores et 4 workshops sont également proposés en collaboration avec des artiste·x·s programmé·e·x·s. Finalement, 12 projets forment l’OFF, fraction gratuite du festival. FILM Fidèle au réalisateur Bertrand Mandico, programmé chaque année depuis 2011, le LUFF inaugure sa 20e édition avec la projection de « After Blue (Paradis Sale) », une science- fiction fantasmagorique qui promet de faire vivre aux spectateur·trice·x·s une expérience cinématographique définitivement singulière. Les 5 films issus de la compétition de longs métrages feront voyager dans le temps et parcourir les genres, de l’horreur poisseuse de « Honeydew » et son scénario inspiré d’un fait divers des années 1950, à la comédie analogique « Strawberry Mansion », située dans un futur dystopique, en passant par le drame psychologique féministe de « Violation ». Le récit tentaculaire et vertigineux « Sister Tempest » se confrontera à « The Lost Record » qui raconte le dilemme posé par une trouvaille discographique. Cette édition du LUFF sera riche en cinéramas soigneusement concoctés. Parmi ceux-ci, « Christian (Film) business » qui porte sur la christiansploitation, ou l’art de mêler productions cinématographiques et propagande religieuse. Élément phare de ce programme, la pépite déterrée « The Amusement Park » sera présentée en première suisse. A noter que cette sélection ecclésiastique a été rendue possible, entre autres, grâce au travail de restauration du réalisateur Nicolas Winding Refn à qui une carte blanche a aussi été donnée. Très tôt, folklores, légendes et superstitions ont inspiré les faiseurs de films du monde entier, donnant lieu à un cinéma dont s’est prise d’affection l’essayiste américaine Kier-La Janisse, membre du jury long métrage de cette édition. Dans le cadre de ce cinérama consacré à la Folk Horror, la réalisatrice présentera en première suisse son documentaire de 3h15 intitulé « Woodlands Dark and Days Bewitched: A History of Folk Horror ». Pour agrémenter cette panoplie d’objets filmiques, deux rétrospectives sélectives mettront en lumière les parcours cinématographiques des réalisateur·trice·x·s Jamil Dehlavi et Sylvia Schedelbauer. Le premier présentera ses œuvres ancrées dans un univers singulier où le mystique côtoie le rationnel et principalement tournées au Pakistan, en Turquie et à la Réunion. Tandis que les œuvres de la seconde forment une plongée dans la pratique du found footage et de ses collisions sensibles entre une histoire intime et des séquences historiques. La réalisatrice partagera en outre sa pratique lors d’un workshop donné à l’EJMA. Pléthore de documentaires courts et longs viendront également s’ajouter au programme de cette année avec notamment la première internationale de « Papa Srapa », du nom de scène de l’artiste sexagénaire anarchiste râleur, perçu par ses pairs comme le grand shaman électronique de la scène underground russe. Après avoir soufflé ses vingt bougies et juste avant qu’il ne fasse nuit noire, le LUFF se clôturera avec la projection en première suisse d’ « Earwig », mystère grinçant et troisième et grandiose long métrage de Lucile Hadzihalilovic, en présence de la réalisatrice. MUSIC Le volet musical débute en force avec le projet anniversaire du collectif Les Sirènes (20.10) qui contera l’épopée technique, financière et historique pour parvenir à « parler dans le micro » du LUFF. Le script de cette déconstruction surréaliste aux feedbacks infinis sera publié par la collection Rip on/off et vernis ce soir-là. L’ode au festival se prolongera avec la performance du compositeur Michael Gendreau (20.10) qui, dans une prospection architecturale, analysera les vibrations du bâtiment emblématique du Casino pour les révéler et mettre en branle la colline de Montbenon. Poursuite de l’exploration du son sur une tonalité politique, tournée vers le thème du racisme avec deux performances afro-futuristes oscillant entre protest song et noise abrasive. La poétesse et activiste de Philadelphie Moor Mother (20.10) viendra secouer la salle des fête avec un verbe qui tabasse. Plus tard dans la soirée, Aho Ssan (20.10), compositeur électronique basé à Paris, jouera avec la synthèse et la simulation pour traduire son vécu par le biais de ses propres instruments numériques. Jeudi, brutalité et intensité seront les mots d’ordre. Le duo de Stephanie Bayle et Denis Rollet (21.10) offrira une performance où les corps en tension produisent un seul mouvement, en miroir, l’un en face de l’autre, du noir à la lumière. La scène vibrera encore sous les sonorités d’un autre puissant couple d’artiste·x·s Lydia Lunch & Ian White (21.10). La diva de la no-wave qui injecte son virus dans l’ADN du LUFF depuis sa création, sera à l’honneur dans le documentaire « Lydia Lunch: The War Is Never Over » et signera son livre éponyme à la librairie HumuS (22.10). Et puis dans un presque silence, sans sono, Ryoko Akama (22.10) sculptera en live avec l’énergie de trombones de bureau, d’élastiques, de plaques chauffantes et d'écrans télé. Jessica Ekomane (22.10), artiste sonore née en France et basée à Berlin, lui succédera avec une performance quadriphonique et minimaliste. Toute en contrastes, le programme de vendredi s’ouvrira avec le death industriel de Ana Fosca (23.10), projet sonore à la fois saisissant et méditatif de l’artiste de Copenhague Linn Hvid, pour se conclure dans des rituels psychédéliques hypnotiques et les gesticulations turbulentes de Arma Agharta (23.10). Au cours de cette folle nuit d’expérimentations sonores, Hanna Hartman (23.10), qui enregistre des sons dans le monde entier depuis 30 ans, nous fera l’honneur d’un live pour objets amplifiés et en mouvement, puis d’une multi-diffusion d’une pièce issue de son disque Gattet. Sans oublier le retour au LUFF du duo Luciano Maggiore et Louie Rice (23.10), qui avaient marqué l’édition 2019 par leur performance pour stroboscopes, sifflets et claquements de mains ! Insolence, rébellion et chaos marqueront la fin de cette édition fête du LUFF, en commençant par le groupe post-punk minimaliste Escape-ism (24.10), dont le film « The Lost Record » est en compétition. La violoncelliste, compositrice et artiste sonore Leila Bordreuil (24.10) transgressera la pratique conventionnelle de son instrument par des techniques étendues à l’extrême et des méthodes d’amplification. Dennis Tyfus (24.10), tête pensante du génialissime label Ultra Eczema, viendra décrocher ce qu’il restera de mâchoire au public en caressant la peau malade d’un piano à queue. C’est dans un hurlement final que s’achèvera la dernière soirée avec Duma (24.10), une formation composée de Martin Khanja et Sam Karugu. Ce duo d’activistes de la scène métal de Nairobi produira une musique fusionnant noise agressive, grindcore, breakcore, trap et techno industrielle. Programme complet disponible sur le site du festival : www.luff.ch.
  5. Eric

    Présentation

    Herzog C’est pas tous les jours que ce nom est cité
  6. Eric

    Coucou

    Bottine. DVDClassik, un site sympa mais une grosse partie du forum où les gens comptent les pixels sans regarder les films. J’ai arrêté d’y aller
  7. Salut à tous. La 19e édition du LUFF est dans les starting-blocks. LUFF 2020 - Aperçu de la programmation 19e édition du Lausanne Underground Film & Music Festival 14 - 18 octobre 2020 Le Lausanne Underground Film & Music Festival fêtera sa 19ème édition du 14 au 18 octobre 2020 au Casino de Montbenon et dans divers lieux satellites lausannois. Malgré des temps troubles et incertains, il repose plus que jamais la nécessité de défendre et de lutter pour une contre-culture riche et vivante. A la veille de son vingtième anniversaire, le LUFF propose cette année une programmation inédite, mouvante et variable soumise à l’incertitude de la tenue du festival. Cependant, toute l’équipe s’est engagée dans un pari audacieux qui fait depuis tant d’années la singularité du LUFF. Côté cinématographique : poésie, douceur, sexe et Satan avec des films-rêves aux senteurs d’éther, des adieux au langage, du punk antisocial japonais et un accueil à nos amis sinistrés de la Covid : La Fête du Slip et le 2300 Plan 9. Le volet musical, quant à lui, s'est centré sur des performances qui violentent l'installation sonore du festival, voire qui l’enflamment littéralement, avec toute l'autodérision qui lui est propre. Identité visuelle 2020 Conçue par les graphistes Estelle Vanmalle et Marcel Mrejen, l’identité visuelle de l’édition 2020 se devine comme un reflet de nos sociétés en ces périodes troubles. S'inspirant des systèmes de reconnaissance faciale et en détournant des scripts Python, le binôme a souhaité s'interroger sur la part de l'aspect robotique de notre époque et soulever une réflexion sur la place laissée à l'humain. Film Le réalisateur japonais punk antisocial Masashi Yamamoto sera à l’honneur dans le cadre d’une rétrospective sélective qui mettra en lumière quatre films emblématiques de différentes époques de sa carrière. Son dernier long-métrage Wonderful Paradise, comédie socio-loufoque, fera l'ouverture et, sera projeté au LUFF en première européenne. En parallèle, le programme Japanese 8mm Madness proposera une série de films réalisés au courant des 80’s au sein de la scène underground japonaise, autour de figures devenues cultes telles que Sono Sion ou Shinya Tsukamoto. Evénement majeur, la cérémonie de clôture accueillera #ShakespeareShitStorm, adaptation très irrévérencieuse de La Tempête de Shakespeare et nouveau long métrage du célèbre cinéaste américain, big boss de Troma Entertainement, Lloyd Kaufmann qui a, par ailleurs, été le parrain de la première édition du LUFF en 2002. Tandis que le cinérama Adieu au Language présentera une sélection de longs métrages qui se passent de dialogue ou utilisent des langues méconnues à l’instar du film Incubusde Leslie Stevens - l’un des rares longs métrages de l’histoire du cinéma ayant été entièrement tourné en esperanto, avec en rôle principal William Shatner -, Maxime Lachaudreviendra au LUFF avec un programme autour des film-rêves également appelé films-trips. Ces oeuvres, proposant un voyage aux confins de l’hypnose et de l’inconscient, se reflètent comme des songes, imprégnés de symbolisme, d'érotisme et d'inquiétante étrangeté. Les salles obscures abriteront également un accueil aux festivals-amis 2300 Plan 9 et la Fête du Slip contraints d'annuler leur édition au printemps dernier. Tandis que le festival Chaux-de-Fonnier proposera deux longs métrages de son cru 2020, le festival pluridisciplinaire qui s'intéresse aux corps et aux sexualités dans l’art, présentera sa compétition internationale de courts métrages Music Parmi les performances très attendues de cette édition, signalons la venue de l’artiste Käthe Kruse (14.10) qui fut membre du groupe culte berlinois Die Tödliche Doris et ouvrira le volet musical de cette édition, parallèlement à son exposition au centre d’art Circuit. Toujours mercredi, s’ensuivra la performance « sacrifice de subs » questionnant les limites du système de sonorisation par l’artiste pluri-disciplinaire SOUHARCE (14.10). Quant à Erwan Keravec (14.10), armé de sa cornemuse assourdissante, il proposera un concert acoustique snobant le système son. Le jeudi soir sera frénétique et explosif avec les performances d’Officine (15.10), trio furieusement brutal, anti-grunge et no-wave, d’Alessandra Zerbinati (15.10), l’une des figures les plus extrêmes de la scène italienne body-perf et harsh-noise ou encore de l’artiste hyperactif Vestas (15.10)promettant une noise improvisée d’un set rave surf à la guitare sèche. Notons également la venue de l’artiste canadienne Crys Cole (16.10), qui viendra jouer au LUFF sa dernière pièce, Neither here, nor there. incluant des contributions d’Oren Ambarchi et de Seiji Morimoto. Le même soir, Inga Huld Hákonardóttir & Yann Leguay (16.10) offriront un voyage sculptural et sonore à travers cycle et répétition tandis que La Race (16.10) viendra brouiller les codes de la musique industrielle entre doom accidentel et no-wave énervée. Deux premières mondiales pour la soirée de clôture : création spéciale covid-19 pour le LUFF par Luciano Chessa (17.10), compositeur et spécialiste de l’occultisme bruitiste des futuristes italiens : des performeur·euse·s non-musicien·ne·s entoureront le public pour jouer de leurs propres prothèses auditives. Suivi d’une performance inédite d’Antoine Chessex, Nina Garcia et Louis Schild (17.10) qui joueront leur tout premier concert ensemble pour le LUFF. L’édition 2020 se terminera avec le projet Petronn Sphene (17.10) - moitié du fabuleux groupe britannique Guttersnipe - qui viendra achever ces quatre jours de performances intenses, renversantes et libératrices.
  8. Eric

    Tenet - Christopher Nolan (2020)

    Moi, j’ai bien aimé. C’est pas la révolution promise, Mais globalement j’ai passé un bon moment
  9. Eric

    Tenet - Christopher Nolan (2020)

    Finalement c’est juste Primer en moins bien et plus cher !
  10. LUFF 19 - la programmation est en ligne ! 18e édition du Lausanne Underground Film & Music Festival 16 - 20 octobre 2019 Le Lausanne Underground Film & Music Festival reprend du service du 16 au 20 octobre 2019 à la Cinémathèque Suisse et 5 lieux satellites lausannois. Une 18ème édition où musique, cinéma, table ronde, workshops, installations, banquet, expositions se côtoieront durant cinq jours pour troubler les frontières et proposer une tumultueuse fête. Entrée fracassante dans l’âge adulte, le volet musique se remet en question en proposant, en plus des concerts habituels, une sélection de non-concerts qui célèbrent par spasmes le nihilisme. Le volet cinématographique misera autant sur l’expérimental queer, l’underground cathodique ou l’expanded cinéma que sur ces compétitions internationales regorgeant de premières suisses. Au programme de cette future édition : 4 compétitions internationales, 8 cinéramas, 120 longs et courts métrages, 37 performances sonores. FILM Le festival ouvrira son entre avec la satire pastelle qui démoli le rêve américain, Greener Grass, réalisée par Jocelyn DeBoer et Dawn Luebbe. Celle-ci sera précédée du sulfureux court métrage Exatzus de Bertrand Mandico qui signe ici un clip vidéo pour le groupe M83. Quant à la clôture, elle vous mènera perpétuellement vers une fausse impression de déjà-vu avec le long métrage DIY Dead Dicks réalisé par le duo montréalais Chris Bavota et Lee Paula Springer et qui a, par ailleurs, remporté le Prix du public du meilleur long métrage canadien lors de la dernière édition du festival de film Fantasia. La compétition internationale sera composée de cinq films en premières suisses, dont une première européenne - Lake Michigan Monster. Clin d’oeil aux Monsters Movies des 50’s, ce premier long métrage réalisé sans le sous rappelle Winnipeg et ses oeuvres ingénieuses et barrées. A souligner également, l’étrange et impétueux film d’animation The Wolf House ou encore The Deeper You Dig, long métrage obscur et captivant réalisé en famille. A côté des compétitions, des rétrospectives sélectives seront consacrées à des grandes figures de l’avant-garde queer telles que Barbara Hammer, pionnière du mouvement décédée en mars dernier et Derek Jarman, figure majeure et radicale de l’underground britannique des 70’s et 80’s. Ces projections seront présentées par Didier Roth-Bettoni, journaliste, critique de cinéma, commissaire d’exposition, qui prendra également part à une table ronde autour des représentations du sida au cinéma. Autre réjouissance, un diptyque associant le double et le trouble pour célébrer la filmographie de Gérard Kikoïne, (réputé pour ses films d’amour stylisés) viendra lui-même présenté ses productions dérangeantes. L’Underground New-Yorkais sera également de la partie avec une carte blanche à la Film Coop’ cofondée par Jonas Mekas, association dévouée à la préservation et la diffusion du cinéma expérimental et des performances très attendues d’expanded cinema réalisées par l’artiste Katherine Bauer. Venez-vous instruire à la LUFF education quand le cinéma éducatif devient subversif ! A l’antipode des films préventifs et dramatiquement mielleux, les oeuvres de cette section sont allés à contre-sens de leurs objectifs pour un résultat proche du film d’horreur ou de la comédie noire. Pour les amateurs d’art vidéo, une carte blanche au festival de film VAFT regroupant le meilleur de l’expérimental finlandais sera au programme. MUSIC Dans les tréfonds du Casino de Montbenon, le volet musical fera son ouverture le mercredi par des simulations de phénomènes audio-visuels avec Francesco Fonassi (16.10), d’un déhanchement de jacks mal branchés du crooner Mark Morgan (16.10). S’ensuivra d’une performance très attendue de MoE (16.10), figure inévitable et hyperactive de la scène norvégienne puis le folklore industriel proche de la transe des Morts vont bien (16.10) achèvera ce premier jour. Événement très attendu, la performance du Nihiilst Spasm Band (17.10), grand précurseur de la musique Noise et ses déclinaisons, le groupe viendra fêter ses 54 ans de carrière. S’ensuivra de la performance psycho-acoustic d’Olivia Block (17.10) malmenant des courants d’airs, d’Eric Lunde (17.10), inconnu au radar mais néanmoins artiste incontournable de la musique industrielle et AJA (17.10) qui abattra ce jeudi à coup de heavy/techno/gabber/noise. La venue événement de Robert Aiki Aubrey Lowe (18.10), combinera synthé modulaire hypnotique et explorations vocales résultant d’une résonance organique proche de la transe. A noter également la présence de rkss (18.10) qui poussera à la réflexion sur les enjeux politiques, technologiques et esthétiques de la culture pop. Autre performance très attendue, Beatriz Ferreyra (19.10) viendra présenter une oeuvre (quasi)inédite qui perpétue sa volonté de radicaliser l’ambiguïté de la musique concrète pour que des écoutes impensables en sortent. L’édition 2019 se clôturera en anti apothéose par la coalition Title TK (19.10), regroupant, entre autres, Cory Arcangel, artiste post-conceptuel et référence en art contemporain qui viendra en douce avec une guitare au LUFF. L’OFF Cette année, L’OFF tire la prise et propose de multitude de performances (semi)acoustiques et autres curiosités. A noter la Klangtisch conçue par Stanilsas Delarue qui deviendra le terrain de jeu de plusieurs artistes sonores durant tout le festival. Le trio D’Incise/Bondi/Ruiz proposera une performance entre dub et baroque. Banquet final, une no-party proposée par le Nihilist Spasm Band à la galerie Circuit suivi d’un bal auvergnat devant le Casino mené par Yann Gourdon, star de veille à roue et Perrine Brunnel au violon. Les éditions Rip On/Off, toujours en quête de défi, se sont consacrées à la traduction de l’ouvrage Dans la gueule du crocodile (2012) de la diva des dépossédés Diamanda Galás. Vernissage performance le 17 octobre ! Communiqué de presse Visuels et images Dossier de presse Le programme complet sur notre site: http://2019.luff.ch Lausanne Underground Film & Music Festival, du 16 au 20 octobre 2019 au Casino de Montbenon et divers lieux de Lausanne. Contact presse pour les détails de la programmation, des visuels, des extraits vidéos ou toute autre information : Jennifer Siegrist / jennifer.siegrist@luff.ch / +41 79 519 64 89 L’identité 2019 conçue par Dimitri Jeannottat, Tiphaine Allemann et Pierre Charmillot adopte une approche où le processus créatif est aussi important que son résultat. Au même titre que beaucoup d'artistes, films ou documentaires proposés par le LUFF, elle ouvre la porte à l’expérimentation et à l’accident. Réalisée par un trio graphiste–artiste–codeur, elle propose une multitude de visuels générés aléatoirement qui, ensemble, deviennent un langage graphique varié, dont chacune des 200 affiches sont uniques
  11. LUFF 19 - premiers noms 18e édition du Lausanne Underground Film & Music Festival 16 - 20 octobre 2019 Le Lausanne Underground Music & Film Festival revient pour sa 18ème édition du 16 au 20 octobre à la Cinémathèque suisse et autres lieux satellites. Entre non-musique et expanded cinema, cette future édition mettra en exergue lavant-garde et le perturbant entre performances sonores, workshops, conférences et cinéma. Rendez-vous le 28 août pour le pré-programme ! www.luff.ch Cette année, pas de concert avec: ✦THE NIHILIST SPASM BAND ✦KURUMI KADOYA ✦ERIC LUNDE ✦OLIVIA BLOCK ✦EVICSHEN ✦MOE ✦ROBERT AIKI AUBREY LOWE ✦JOHN BENCE ✦ENSEMBLE BRUITEURS ✦DAVIDE TIDONI ✦MARJA-LEENA SILLANPÄÄ ✦LUCIANO MAGGIORE & LOUIE RICE ✦FRANCESCO FONASSI ✦MARK MORGAN ✦LES MORTS VONT BIEN ✦RKSS ✦JOACHIM NORDWALL ✦BEATRIZ FERREYRA ✦TITLE TK (ALAN LICHT, HOWIE CHEN, CORY ARCANGEL) ✦CHRISTOPHE CLÉBARD ✦VANLIGT FOLK ✦DIAMANDA GALÁS (RIP ON/OFF) ✦MARIO DE VEGA Workshops: ✦SETH CLUETT ✦ANDY & TABEA GÜHL ✦HARSCH NOISE POUR LES JEUNES Mais toujours du cinéma: ✦ HOMMAGE À BARBARA HAMMER: QUEEN OF QUEER CINEMA ✦ DEREK JARMAN, LE POÈTE PUNK ✦ LA LUFF ÉDUCATION, OU QUAND LE CINÉMA ÉDUCATIF DEVIENT SUBVERSIF ✦ FRED BARZYK : CATHODIC UNDERGROUND ✦ THE FEMININE PHANTASY OF PENNY SLINGER ✦ CARTE BLANCHE AU VAFT (VIDEO ART FESTIVAL TURKU, FINLANDE) ✦ A FOCUS ON EXPANDED CINEMA : THE IN-BETWEEN COSMOS OF KATHERINE BAUER CARTE BLANCHE À LA FILM-MAKERS COOP L'OFF tire la prise: ✦ STANISLAS DELARUE PRÉSENTE : RÉSIDENCE KLANGTISCH ✦ LUC MÜLLER ✦ RODOLPHE LOUBATIÈRE ✦ DINCISE ✦ ABSTRAL COMPOST
  12. Eric

    The Twilight Zone (2019)

    Rod Steiger ? Tu voulais dire Rod Serling mais ton clavier a fourché...
  13. Eric

    Dracula - Tod Browning - 1931

    La version espagnole, tournée en même temps, est bien plus intéressante.
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