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Benj

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  • Date de naissance 22/09/1980

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Tsui Hark

Tsui Hark (6/6)

7

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  1. Benj

    Vos lectures du moment

    Watchmen - Alan Moore / Dave Gibbons Ça ne m'a pas transcendé plus que ça. Je voulais le lire puisque apparemment c'est l'un des meilleurs comics ever (c'est écrit sur le verso). Je ne suis pas comics de base donc premièrement le style graphique c'est pas ma came. Après je n'ai pas été fan de la double lecture avec l'histoire du corsaire et du kiosquier. Je pige, ça raconte le chaos etc... mais ça m'a rallongé la lecture pour pas grand chose au final. Et des inserts en fin de chapitre n'apportent pas grand chose pour la plupart. Après je l'ai lu après avoir vu le film, je connaissais donc l'histoire générale de base. Je préfère ce Rorschach facho, et qui est bien plus raccord avec la toute fin dans le comics. Et le but d'Ozymandias avec son poulpe est quand même mieux et plus forte que dans le film.
  2. En 1997 quand c'est sorti et que tout le monde en parlait ça me saoulait bien. Genre le cinéma de gauche plein de poésie avé l'accent qui chante, l'amour, le social, etc... Bon parfois ça fait vraiment théâtral, y a des dialogues qui ont été mis là juste pour dire sans dénoncer vraiment (la conversation de la voisine sur Cuba). Et parfois ça ne joue pas très bien, Gérard Meylan j'ai eu peur. Et bon perso, la joie de vivre et les sourires permanent à chaque repas parce que cong on n'est pas les plus à plaindre ressert moi un coup de pastaga, à un moment ça m’énerve légèrement. Mais au final j'ai bien aimé ce faux huis clos entre les murs de cette cour où tous les habitants se croisent. Ariane Ascaride est formidable, le gosse est marrant, y'a une baston de bar vraiment crade, et tout ce qui a attrait au social est plutôt soft. Je m'attendais à devoir sortir la corde façon La Loi du Marché mais c'est plus doux, moins grotesque.
  3. Donc un film de Chatilliez sur deux personnages grotesques qui rotent, pètent et volent. Au final c'est pas trop nase puisqu'on a quand même des moments sympas entre les deux acteurs à fond dans leurs rôles, quoique à la limite du cringe parfois. Y'a des petits gags ici et là qui fonctionnent. Mais c'est difficile tout de même de ne pas imaginer le regard autain d'un bourge comme Chatilliez sur une population qui ne demande rien. Alors c'était contrebalancé dans La Vie est un long fleuve tranquille vu que les bourges étaient aussi vilains que les pauvres, mais là y a pas ça, au pire les riches disent des choses pas gentilles sur les pauvres, c'est un peu léger tout de même. Puis on dirait qu'ils ne savaient pas comment finir leur film passé le gimmick des deux qui se volent l'un l'autre. Sinon Eric Berger je ne pourrais vraiment jamais.
  4. Bien aimé sans plus, je n'ai pas senti passer les 2h. Après y a ces flashbacks mal branlés qui cassent un peu le rythme, et des acteurs occidentaux au rabais vraiment moisis qui me rappellent un peu ceux qu'on engageait dans les vieux Godzilla. Puis ça pousse encore trop loin l'histoire avec la toute fin un peu trop dramatique pour pas grand chose. Song Kang-ho bouffe tout le casting.
  5. Ouais pareil que DPG. J'ai eu vachement de mal à rentrer dedans au début, tout le délire avec la fille edgy et le loubard au grand cœur là c'était difficile. L'humour chinois parfois c'est compliqué, et puis vraiment c'est difficile à suivre sur qui est qui et qui fait quoi. Heureusement qu'à un moment ils s'occupent vraiment de cuisine et c'est là que le film est mieux. De l'entrainement du chef moustache jusqu'au concours final en gros. Mais ouais avant faut se taper une grosse partie comédie énervante. Le pire c'est que j'ai eu l'impression de regarder un Besson de l'époque Wasabi/Taxi tant on voit qu'il a piqué ses idées sans vergogne.
  6. Infernal Affairs : Sympa, après j'ai pas trouvé que c'était la claque non plus au bout du compte. La réa est sobre mais offre quand même quelques beaux plans sans que ça parte trop loin. C'est le casting pour moi qui fait presque tout le film, le duo Anthony Wong / Eric Tsang est fabuleux, je suis moins convaincu par Andy Lau. Par contre Tony Leung quelle performance, entre la fragilité et la violence, c'était parfait. Infernal Affairs 2 : A part les 2 jeunes acteurs que j'ai trouvé un peu fades, je crois que j'ai préféré celui là au premier. Il est plus poisseux, la présence de l'oncle maléfique qui traine derrière offre un cadre un peu plus angoissant. L'origine story de Sam avec les thaïlandais (j'aime bien Eric Tsang même si c'est une ordure), sa femme (parfaite Carina Lau) et sa relation avec le jeune Ming, tout ça c'était pas nécessaire mais c'est bien fait. Après je trouve qu'ils en ont trop fait sur la relation Wong / Sam. Infernal Affairs 3 : Bon celui là il est vraiment indigent, l'aspect polar se retrouve foutu au second plan et du coup on se tape Andy Lau tout tourneboulé qui chouine dans les coins. Et ça essaie de rattraper l'intrigue de base avec des persos sortis de nulle part. Si il n'y avait pas tout le drama avec la psy qui dure une plombe et qui n'est pas intéressant, on aurait eu peut être un truc correct. Et vraiment l'acting d'Andy Lau dans celui là est encore plus nase que dans les autres. Globalement une bonne série de films, même si au final seuls les deux premiers sont à voir vraiment. Par contre je ne sais pas si je préfère le premier au Scorcese vu qu'il ne m'a pas laissé plus de souvenirs que ça.
  7. Hey c'était cool alors que je m'attendais à me faire ieche façon premier film bancal underground à la Hennenlotter (quoique il faudrait que je lui redonne une chance un jour). Mais non le coté cheap sert bien le film je trouve, les acteurs moches, les mecs poilus, les meufs à petites gougouttes et à tête de Gelfling, l'immeuble isolé. En gros les contraintes font les forces du film, même si les bestioles sont bof et même si y'a des acteurs aux fraises. Et c'est intéressant ne serait ce que pour les débuts du body horror, et pour Barbara Steele fin de la trentaine qui clope.
  8. Série biopic donc y'a forcément du drama forcé, mais finalement comme Pam & Tommy c'est assez qualitatif. Tous les acteurs sont bons, Kumail prouve qu'il est bon acteur dramatique et Murray Bartlett excelle une fois de plus après White Lotus. Puis bon y a une ambiance 80's/90's qui me renvoie à l'enfance alors forcément ça joue. J'aime bien l'idée que les gars qui produisent ces séries fouillent dans les tréfonds de la médiocrité et du trash de la pop culture des 80's/90's pour à chaque fois nous sortir des histoires dingues comme celles là.
  9. J'aime bien Brian Tyree Henry mais à un moment donné va falloir qu'il étende son registre d'acteur parce qu'à la longue jouer que des mecs qui ne sourient jamais ça va commencer à faire ieche. Sinon la série est cool avec ces différentes temporalités et son concept de la répréhension policière à la Minority Report. Mais on sent que ça aurait pu aller un peu plus loin, surtout vers la fin où tout est torché à la va vite pour finir en 8 épisodes, et du coup ça gache un peu tout ce qu'il s'est passé avant. C'est dommage parce que le futur proposé dans la série avait du charme et que les éléments cyberpunk (sans punk en vrai) distillés subtilement amenait un coté techno sympa.
  10. Benj

    The Countess - Julie Delpy - 2010

    Voilà je pense la même chose. L'idée de raconter l'histoire avec deux points de vue est pas mal, ça permet de recontextualiser. Mais au bout du conte, c'est un peu sans plus, rien de vraiment grave ni de raté, juste que c'est un peu lambda. Après il y a quelques passages de body horror bien foutus qui crispent un peu l'anus mais c'est noyé dans un drama romantico-ons'enbranle. On comprend l'envie de Delpy de ne pas sombrer dans le sanglant aussi. Bref, bien mais pas ouf.
  11. Oui bon bah c'est le meilleur des 3 clairement. Van Cleef et Clint en retrait pour laisser la part belle au grossier Tuco c'était la meilleure idée que pouvait avoir Leone. L'humour rajoutée est la bienvenue et permet de se détendre un peu au milieu du marasme de la guerre de sécession. C'est épique, c'est drôle, et on ne se fait jamais chier. Sauf quand on regarde la version longue et ses rajouts de VF dégueulasses, j'étais pas au courant et ça pique les oreilles quand ça arrive.
  12. C'est ce coté bisseux qui me dérange un petit peu. Gian Maria qui est à la limite du cabotinage du western spag ça m'a crispé un peu, mais heureusement que Leone a su le contenir. Ce qui ne sera pas le cas dans El Chuncho. Après il est parfait en fripouille crado et c'est le meilleur contre-pied face à Van Cleef et Eastwood. Je trouve le film sympa, y a de beaux moment, mais j'ai eu beau l'avoir vu plusieurs fois, y'a pas grand chose que je retiens et faut que je me force à aller jusqu'au bout.
  13. Je ne l'avais jamais vu celui là. Les westerns de Leone passent vraiment mieux que ceux des autres italiens, peut être parce qu'il y a le père Eastwood dedans. Le film est court et ce n'est pas plus mal. Moi j'aime bien quand Clint va quelque part pour foutre le bordel, et celui là c'est juste ça. Alors effectivement il n'y a pas le coté duo du suivant ni le souffle épique du dernier, mais c'est tant mieux car la trilogie va crescendo et c'est toujours intéressant de voir de là où c'est parti. Maintenant il va falloir que je regarde Yojimbo.
  14. Ça enterre le film lacrymale relou là de Noah Baumbach avec Scarlett. Déjà parce que ça ne cause pas que du divorce, et quand bien même c'est bien plus intéressant et plus drôle voire léger quand ça veut. Et surtout parce que ça arrive à manipuler un peu le spectateur, car quand arrive l'épisode 7 on se prend une claque dans le bec et on se souvient que dans une histoire racontée par un personnage c'est toujours bien d'avoir la version de la personne en face. Et Claire Danes dont je ne suis pas plus fan que ça actuellement aurait mérité un Emmy. Et content de voir que les 2 personnes qui ont réalisé Amercian Splendor soient à la tête d'une pépite comme celle là !
  15. Bon alors c'est en dessous du Shin Godzilla, mais avant celui de 54 et celui de Gareth. J'ai bien aimé qu'il y ai un gros hommage aux générations précédentes, par le design du gros G déjà, sa physique, ses déplacements crispés, la musique qui reprends plusieurs thèmes iconiques de la saga, le tout mélangé avec les techniques d'aujourd'hui. C'est presque comme une synthèse de ce qu'est l'univers de Godzilla. Avec ses défauts aussi, comme ce mélo un peu trop présent à mon gout, et cette fin ratée et inutile. Ou des acteurs pas forcément hyper charismatiques, le perso principal par exemple dont on a un peu de mal à être avec lui, le reste du cast s'en sort mieux. Et puis y a un coté patriotique un peu bof. Mais quand Godzilla débarque pour foutre le zbeul c'est l'éclate, et il démonte tout de belle façon. Il est juste là, comme une force de la nature et tu peux rien faire. Ça change de la surenchère des films US dans lesquels c'est toujours plus, le trailer de Godzilla vs Kong au ski avant la séance fout la honte aux amerloques.
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