Aller au contenu

Cassidy

Members
  • Compteur de contenus

    12
  • Inscription

  • Dernière visite

À propos de Cassidy

  • Date de naissance 12/05/1993

Converted

  • INTERESTS
    Cinéma, Musique, Comics
  • LOCATION
    Josie's Bar

Cassidy's Achievements

Rob Zombie

Rob Zombie (1/6)

0

Réputation sur la communauté

  1. Cassidy

    Blade - Stephen Norrington (1998)

    DU Moïssakis pur jus (donc forcément une mention d'Eastwood).
  2. Disons que c'est nettement plus basé sur l'univers Ultimate des années 2000/10 (une Tante May plus jeune et moins souffreteuse, un Ned Leeds calqué sur le pote Ganke de Miles Morales*, un Spidey devenu le protégé d'Iron Man jusqu'à Civil War) que sur l'univers "classique" de la Terre 616. *le jeune Spider-Man noir et hispanique d'Into the Spider-Verse/New Generation
  3. Le seul film de Raimi n'ayant pas encore eu droit à son propre thread par ici il me semble... O7zvehDxttM Le célèbre trailer pré-11 septembre de l'été 2001 a refait surface dernièrement en version 4K/35 mm : JPL7UWN_hcM
  4. Et aussi la discussion entre les deux flics en bagnole (la digression chiante sur le contenu des sandwichs).
  5. Mon Emmerich préféré. Certainement pas un plaisir coupable dans mon souvenir, mais un divertissement très efficace (con mais bon, alors que devant la version de 2014, je m'emmerde un tantinet). L'atmosphère du New York pré-11/09 sous la pluie constante, le maire incompétent et boulimique (un tacle à Roger Ebert), les français mâchant du chewing-gum pour se faire passer pour des ricains, les scènes lorgnant sans vergogne du côté des raptors de Jurassic Park, etc...
  6. Et dans Le Blob aussi.
  7. Cassidy

    Vos TOP ciné all time ever tout ça

    Il n'y a pas longtemps, j'ai commencé à faire mon top. En gros j'ai choisi 50 de mes réalisateurs préférés (avec un film favori pour chacun) et ensuite il suffit de faire le tri pour arriver à un top 10. Je viens de revoir Danger Diabolik, et je pense que Bava va intégrer mon classement.
  8. Après l'excellent Y The Last Man (sans doute la meilleure série Vertigo des années 2000 avec Scalped et 100 Bullets) Vaughan se tourne vers le space opera, pour une version SF de Roméo et Juliette, se déroulant dans un univers assez original et décalé, dans le ton comme dans l'approche du genre et de ses codes. La caractérisation fait preuve d'une grande justesse, le scénariste a un sens certain de la formule comme en témoignent ses dialogues dont l'humour rappelle parfois Ennis (son idole de jeunesse) et un sens du rythme qui fait qu'on ne s'ennuie jamais, alternant efficacement la dramaturgie et les rebondissements, lui permettant de traiter des thématiques plus terre-à-terre, qu'il s'agisse de la création (l'enfant/future narratrice qui naît au début de l'histoire) et donc de la paternité plus globalement. Le style graphique de Staples de est également à l'avenant même s'il ne plaira pas forcément à tout le monde. Une des meilleures séries actuelles de chez Image en tout cas.
  9. Un très beau film injustement méconnu de la filmographie de Spielberg (un des rares à avoir fait un bide au box-office) plus intimiste qu'à l'accoutumée malgré l'événement historique dont il est question, car il retranscrit la grande Histoire à travers le biais de la petite histoire, à savoir la seconde guerre mondiale perçue par un enfant (joué par le tout jeune Christian Bale) un choix qui a tendance à lui valoir des comparaisons récurrentes avec Le Tombeau des lucioles, ce qui est assez logique vu le prisme choisi. Cette adaptation du roman de Ballard (Crash) permet également d'aborder ce conflit avec une vision plus réaliste et dramatique qu'avant pour le réalisateur (1941) qui se révèle très inspiré sur le sujet, notamment au niveau de la mise en scène admirable dans la gestion de l'environnement et de l'espace (le ralenti avec le gosse qui croit que le pilote le salue ). Momentanément orphelin, James/Jim devra faire tout ce qui est possible dans ce contexte pour s'adapter et ainsi survivre coûte que coûte, entouré qui plus est par les modèles discutables (Basie) du camp où il se trouve, qui lui servent de substituts des parents disparus. Le jeune héros se démarque par son rapport particulier et subjectif à l'événement, ce qui permet de l'aborder d'une manière assez rarement vue auparavant, Jim se détourne de tout cela, préférant la fuite dans son imaginaire réconfortant pour échapper à l'horreur du quotidien qui l'entoure perpétuellement (réarrangeant la réalité, interprétant à sa façon, créant une vision décalée qui apporte sa spécificité singulière à l'oeuvre). Fasciné par les avions, il est du coup un des seuls à ne pas les considérer comme des engins de mort (allant même jusqu'à assimiler la bombe A à une intervention divine). Cette tentative dérisoire se révèlera vaine puisque le gamin sera en fin de compte rattrapé par la réalité, donnant lieu à un constat amer qui fait que le happy-end semble très relatif. Le réalisateur signe là un film humaniste et émouvant (qui souffre toutefois d'un ventre mou persistant) portant sur la perte de l'innocence, et le fait de grandir trop vite, quand on voit le regard de Bale à la fin, on se dit qu'il est devenu prématurément un adulte, du moins qu'il n'est dorénavant plus un enfant. Le film marque ainsi une étape symbolique, importante (c'est compréhensible du coup qu'il ai eu du mal avec Hook qui le forçait à revenir vers un cinéma de divertissement plus positif et optimiste, avec justement un trajet inverse puisque le vieux Peter Pan apprend à renouer avec sa part d'enfance) qui amorce un virage crucial dans sa carrière, qui s'accentuera avec La Liste de Schindler et plus largement toute la période post-11 septembre de sa filmographie.
  10. Revu dernièrement pour la énième fois et c'est toujours aussi efficace. Cet opus a toujours eu ma préférence, et avec le recul c'est le seul de la saga pour lequel je n'ai aucune réserves.
  11. Salut je me présente, Cassidy, cinéphile de 22 ans vivant en région parisienne, grand amateur du 7ème art depuis Mathusalem, fan notamment de Verhoeven, Carpenter, Ozu, Friedkin, Tsukamoto, Buñuel, Peckinpah, McTiernan, Cronenberg et Lang (entre autres). Si je devais déterminer mon film de chevet ultime je dirais sans doute Predator (ou The Thing ça dépend des jours). La BD et les comics sont ma deuxième passion, notamment grâce à des oeuvres telles que Idées Noires, Rubrique-à-brac, Scalped, Preacher (comme mon pseudo le suggère) Sandman, X-Factor, Daredevil, en gros pas mal de séries Vertigo des années 90 et Marvel des années 80 pour résumer. À plus sur le forum !
×
×
  • Créer...