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Backdraft - Ron Howard (1991)


Steve

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Brian et Steven McCaffrey sont les fils d'un officier des sapeurs-pompiers de Chicago mort en héros dans un incendie. Tandis que Steven a brillamment suivi les traces de son père, Brian, pour sa part, s'est détaché de ce milieu. Il tente néanmoins un retour vers la profession mais Steven, dubitatif quant aux motivations de son frère, va le mettre rudement à l'épreuve. En parallèle, le lieutenant Donald Rimgale est appelé à enquêter sur des incendies criminels visant à tuer d'anciens collaborateurs du maire.

 

Je n'avais pas revu le film depuis que j'étais gosse. Et c'est très très mauvais en fait. Ron Howard fait preuve d'une finesse monumentale tout le long du film, avec des pics comme l'intro avec la mort du père, façon clip émo, ou le parallèle entre Baldwin / Jason Leigh forniquant dans la caserne et Russell défonçant les portes de la baraque en feu Y'a des dialogues au mieux mièvres, au pire complètement improbables, l'histoire traine vraiment en longueur, et j'avais complètement oublié que De Niro était dans le film. Mais bon, le film se voit avant tout pour son feu, et de côté là, ça reste toujours potable. La scène finale est même franchement impressionnante ; d'ailleurs au Universal Studios Park on peut se retrouver au milieu de la fournaise et ça, ça vaut vraiment la peine.

 

hBqOpaRAXJc

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C'est marrant, je l'ai pas revu depuis gamin non plus, et l'autre jour, en lisant un truc sur Ron Howard, je me suis surpris à repenser à ce "Backdraft" et à me dire que je le reverrais bien. Bon, autant dire que tu m'as un peu refroidi, mais je tenterai qd meme à l'occaz !

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  • 3 years later...

Vu hier soir pour la première fois.

 

Clairement, ce n’est pas finaud. Histoire pourrie, avec une rivalité entre frères bien moisie, des situations mille fois vues, un héroïsme lyrique pourrigolo (l’intro notamment), des acteurs qui cabotinent, un esthétisme fin 80-début 90 qui vieillit mal…

 

Mais purée les rares scènes de feu sont assez tétanisantes. Entre la frontale en short sans respirateur au début dans l’atelier et la scène finale, la mise en scène rend l’élément feu hyper vivant, inquiétant….. surtout que la dimension sonore est ahurissante. C’est même plutôt là que Bacdraft m’a le plus plu.

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Z'etes méchants Backdraft c'est cool y a Kurt Russell en pompier avec des couilles grosses comme des melons, des incendies de malade, et une enquête policière qui, sans être méga-palpitante, tient assez bien en haleine. En plus les pompiers américains, c'est comme les flics américains, ils ont le style quoi, et moi voir des mecs qui ont du style, ça me plait.

 

Après le reste de la filmo d'Howard, je crois que j'ai vu que Willow (bien), Cocoon (bien), La Rançon (pas bien) et Apollo 13 (j'ai tenu 20 minutes mais bon j'avais 10 ans).

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Je me souviens l'avoir vu au premier rang d'une salle munie d'un écran maousse.

J'en suis sorti avec un mal de nuque effroyable.

Me souviens surtout de grosses flammes, de Kurt Russell qui explose gratuitement une fenêtre de voiture avec hargne pour y un passer son tuyau (la lance à incendie donc, pas l'autre), de violons, de Scott Glenn, d'une vague histoire de cul et d'une explication du "feu qui se cache et qui t'explose à la gueule quand tu ouvres la porte" qui donnait presque une dimension fantastique au film. Je ne sais plus si j'avais aimé ou pas, c'est pas forcément bon signe.

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Cela reste pour moi, le film sur lequel on se rabattait à l'époque quand on était refoulé des séances complètes de "Terminator 2". Souvenir d'un film à l'intrigue soap ou les scènes de feu servaient de cache misère assez efficaces, et d'un casting de luxe qui avait de la gueule quand même... pas vraiment envie de le revoir, mais à l'époque ça justifiait son rôle de paix social dans les cinémas!

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  • 5 years later...
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