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Knock Knock - Eli Roth (2015)


benjamin c

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  • 7 months later...

Quasiment (= pas du tout) de promo du film qui sort aujourd'hui...

Je n'ai ni vu Death Game, ni Green Inferno, mais j'avoue que j'ai eu du mal à savoir ce qui a motivé Eli Roth. Plus qu'au torture porn, au home invasion et aux films de séquestrations (Hard Candy et on en passe), le film rappelle finalement beaucoup plus les thrillers domestiques des 90's. C'est pas péjoratif venant de moi hein mais disons que je m'attendais pas trop à ça : grosso modo la scène la plus violente du film est une fourchette plantée dans l'épaule. Donc...

 

J'ai toujours beaucoup de mal avec Reeves malgré tous les efforts qu'il fait pour avoir une filmo de plus en plus bis, les deux hystero cassent assez vite les couilles...et ça ne va tristement pas bien loin. La fin très conne à la

Funny Games du pauvre

ne fonctionne pas, et les motivation des deux pintades sont complètements nazes

avec tout ce qu'elles laissent, dont un témoin/victime, j'ai beaucoup de mal à croire qu'elles ne se soient pas déjà fait pincer

. C'est pas ce qu'on a vu de pire cette année, mais c'est pas vraiment bon non plus...

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  • 2 years later...

Bien vu le coup du thriller domestique 90's, c'est ça !

L'impression que tout le film est construit sur son final, la grosse idée du genre cauchemar ultime à l'ère des réseaux sociaux. Les deux pouffiasses sont aberrantes mais la situation parait fort probable finalement... et comme j'adhère à ce final, qui m'a fait hurler de rire, pas désagréable comme film

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  • 2 years later...

J'ai trouvé ça plutôt agaçant, la faute aux deux pouf têtes à claque qui fatiguent au bout de leur deuxième scène. Mais ce qui est le plus désespérant, c'est qu'Eli Roth, qui devait bien se rendre compte que son scénario était extrêmement prévisible, ne cherche jamais à surprendre. Il se borne à suivre un récit un peu con et sans imagination - ce qui rappelle là encore ces fameux "thriller psychologiques" des 90's (qu'est-ce que j'ai pu détester cette vague ). Même sa mise en scène est un peu plate.

Sinon, vous saviez que Lorenza Izzo, la fille qui incarne la jolie peste brune, était sa femme?

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  • 3 weeks later...

Curieux. D'un côté c'est original pour du Eli Roth. Et force est de constater que le bonhomme est à l'aise dans l'exercice du thriller domestique.

 

D'un autre côté, la fin a un message bizarre façon "l'adultère c'est mal" (effectivement, c'est pas bien) et "les réseaux sociaux, attention" (certes).

Du coup je peux pas donner tord à Eli Roth, mais je l'imaginais pas en père-la-morale.

 

D'autant qu'à côté, le réalisateur laisse toujours échapper sa nature féministe. Keanu Reeves passe clairement pour un gros con incapable de faire ceinture trois semaines.

 

Drôle de film, où chaque réflexion peut avoir sa réciproque.

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