Valérian (Luc Besson - 2016)

La vache c'était pénible. Je ne retiendrai que les 3 minutes d'un niveau de ringardise intolérable ou Rihana se fait hasbeener comme jamais.

Ah si il y a quand même une référence à Cannibal Ferox (à moins que ça vienne de la bd)

Clara Delavigne se fait crucifier par les seins ?

Aha t'es pas si loin que ça

De la part du génie qui m'a magically enchanted avec Braindead et les Feebles ça me rend triste.

Des gens se sont barrés pendant la séance, moi même j'ai hésité. Ça arrache la gueule mais sans classe. Et c'est le grand vide à tous les niveaux, scénario, dialogues, personnages...

Je me souviens plus de la bd mais le Valerian présenté ici est un con insipide (Besson avait mieux reussi sa Plisskenade avec Lockout) Dane DeHaan et sa gueule d'ado heroinomane c'est l'erreur de casting en ce qui me concerne.

Et déja que le scénar est pas top, Besson surenchérit dans le n'importe quoi avec l'enchainement Chabat-Rihana, une demi-heure de sur place sans intéret pour le déroulement de l'histoire (pourrie, mais qui se permet un dénouement à la Scoubidou...).

Par contre j'ai pas détesté Delevingne (alors que je l'avais trouvée pas top dans Paper Towns et sans intérêt dans le sans intérêt Suicide Squad). D'ailleurs le film devrait plutot s'appeler Laureline, j'ai l'impression qu'elle a plus de présence à l'écran et de toute façon on ne retient qu'elle tant Valerian est transparent. Et bon oui il y a des passsages qui arrachent sympathiquement les yeux mais non.

J'ai envie de le voir juste pour Clara en fait

Ouais à la limite elle sauve le film du désastre

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sa mère la pute le collier de barbe

Plaît-il ?

Durendal ressemble de plus en plus à monsieur météo des bronzés font du ski.

Panda, pour réhabiliter les colliers de barbe, poste des photos de Benzema et Robert Hue...épique

Les vrais savent.

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sa mère la pute le collier de barbe

pour que même le ravi de le crêche fanboy de service admette à demi-mot que c'est de la merde, c'est que ça doit être violemment nul quand même

C'est quand même le mec qui a "pleuré d'admiration" devant Lucy

je me suis endormi 2 minutes à la fin. L'intro est réussi mais assez pompière, ce n'est pas une surprise, Besson n'est pas connu pour sa finesse de sentiments. En dehors de ça, c'est joli mais c'est pas complètement ouf de dingue à se rouler par terre, je pense que les conditions de projo jouent pour beaucoup. Après que c'est long et inutile globalement, les 3/4 des trucs qui se passent pourraient ne pas se passer ce serait pareil.

Peut être a vouloir raconter 100000 trucs, ça raconte en fait rien. J'ai pas détesté mais ça m'est complètement passé par dessus la tête. l'effort est louable surement, décidément il manque toujours une personne pour dire au real : les écrit pas toi même, ça vire toujours au punchline mongolosse et au sentiments niveau collège.

Le seul truc de dingue qu'aura réussi à faire le film sur moi, c'est me faire tenir une video en entier de machin au dessus, et de trouver pas con, même si il a toujours sa voix et son air insupportable.

C'est quand même le mec qui a "pleuré d'admiration" devant Lucy

Ne jamais oublier...

Bah moi j'ai bien aimé. En tout cas, j'ai passé un bon moment et j'en demandais pas plus.

Certes, le gros problème, c'est le cast principal. Et c'est vraiment un big problème puisque le film porte quand même le nom des héros. En plus, ça fait 40 ans que la BD existe, les lecteurs se sont tous faits leur propre opinion du personnage de Valérian, et à mon avis, il n'y a que Luc Besson qui l'a imaginé ressemblant à Dane Dehaan.

Pour le reste, le scénar est assez basique, avec quelques incohérences, quelques facilités, mais tout avance à un bon rythme. On est loin de la purge "Lucy". Il y a surtout des idées de réalisation vraiment pas mal (le big market virtuel, la course poursuite dans Alpha...) qui montrent que Luc Besson en a encore dans le ventre (on pouvait en douter depuis son dernier bon film (Jeanne d'Arc pour ma part).

Mention moins à la musique d'Alexandre Desplat, qui est vraiment passe partout.

Bref, c'est loin d'être honteux contrairement à ce que j'ai lu un peu partout. Mais j'aime beaucoup le 5e élément, donc je suis peut-être juste client de la SF de Besson.

Je voulais lui donner une chance j'aime la BD (Pas super fan de Valerian a la base mais respect),

j'aime la SF et la bande annonce claquait pas mal donc on y est allé dès le premier jour.

=> j'ai trouvé ça complètement naze.

Je reviendrais pas sur le détail, ça a été dit partout mais bon, quand même :

=> une bestiole trop mignonne qui chie des perles ce qui est une source d’énergie infinie ... OKAY, de la sf a la besson,

=> le long passage Rianna

Meme Bowie au generique j'ai trouvé ça pourri

Je pense que ce type n'a aucun gout en fait

C'est pas le scoop du siècle.

Sinon, loin de moi l'idée de le défendre (et puis quoi encore) mais la bestiole qui chie des perles est, pour le coup, tirée telle quelle de la bédé.

Oui oui mais bon, BD qui a plus de trente ans, qui a depuis vu passer d'autres gros classiques et qui regorge de bonnes idées. Donc aller prendre le truc le plus comme base a son scénar, c'est un peu concon.

Je ne dis pas le contraire (on parle de Besson, hein). Mais l'ensemble a suffisamment de défauts pour ne pas en inventer ou en rajouter.

C'est marrant car l'autre débile dans sa vidéo dit qu'on s'intéresse à d'autres peuplades et qu'il y a plein de sous intrigues ... bon j'ai regardé 5 min hein. Mais c'est déjà le cas de la BD en fait. Ils partent, croisent des gens, font un truc, reviennent à leur point de départ pour repartir vers leurs aventures après avoir partagé le bout de gras avec une peuplade ... donc le mec qui pige pas faut juste la BD en fait

Ayé, vu. Je ne m'attendais pas à un scénar béton, et effectivement c'est de l'enfilage de perle chié par une bestiole de l'"espace. Mais QU'EST-CE QUE C'EST LAID !!!! Toute la partie "Avatar du pauvre sur la planète de l'Amour-Pocahontas-Schtroumfp"... Le ciel bleu, la mer, le sable, TOUT pue dans le film. C'est d'une laideur incroyable ! Et ça dure durant tout le film, avec des culs de sac narratifs qui gonflent le film à 2H20, type le passage avec Chabat (ça, coco, tu coupes de ton scénar, tu gagnes 10-15 minutes et ça dérange personne)... Bordel de bordel, c'est d'une vacuité totale, ça m'a bien fatigué.

Surtout que c'est la première fois qu'il y avait je trouve de vraies idées de cinéma, notamment au niveau de la performance capture. De ce soldat qu'on manipule à distance à cette course entre deux univers parallèles (filmé avec les coudes cependant) en passant par le passage où Riannah peut prendre la forme d'une autre personne, on voit un embryon de réflexion et de mise en pratique sur l'outil, et c'est plutôt bien vu. Mais le tout est emballé à la portnawak, c'est un film d'un mec à qui on n'a pas su dire comment utiliser son jouet. Je pense qu'à moins de faire de l'underground, être à la fois réal, scénariste et producteur, c'est dangereux pour le résultat final... Une preuve de plus.