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Magnificent 7 (Les 7 Mercenaires) - Antoine Fuqua (2016)


Benj

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L’industriel Bartholomew Bogue règne en maître sur la petite ville de Rose Creek. Pour mettre fin au despotisme de l’homme d’affaires, les habitants, désespérés, engagent sept hors-la-loi, chasseurs de primes, joueurs et tueurs à gages – Sam Chisolm, Josh Farraday, Goodnight Robicheaux, Jack Horne, Billy Rocks, Vasquez, et Red Harvest. Alors qu’ils se préparent pour ce qui s’annonce comme une confrontation sans pitié, ces sept mercenaires prennent conscience qu’ils se battent pour bien autre chose que l’argent…

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C'est trop long et trop balisé. Mais c'est sympa, les persos sont un peu caricaturaux mais ça reste raisonnable. Le scénar est digne d'un Agence Tout Risque et ça moi ça me suffit. La fille à des yeux de folie

Jamais vu les originaux, pas vraiment envie en fait.

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  • 6 months later...

Je ne sais, très honnêtement, pas comment vous avez fait pour vous enquiller cette croûte jusqu'au bout.

 

Je n'ai pourtant, d'habitude, rien contre ce que fait Fuqua mais là, c'est juste pas concevable.

Entre l'image d'une rare laideur, les acteurs qui semblent grimés pour un spectacle de fin d'année ou le rythme qui menace de faire tomber le spectateur dans une fatale catalepsie...

Au point de, sans regret aucun, lâcher l'affaire en cours de route.

 

Alors, je ne suis vraiment pas du genre à penser que tout était mieux avant ni à, par principe, cracher sur les remakes.

Mais il suffit d'en l'occurrence mater ne serait-ce que la séquence d'ouverture du Sturges pour se rendre compte, par défaut, du niveau du présent pathétique objet.

Poubelle.

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  • 1 year later...

Objection M. Panda, on peut reprocher ce qu'on veut à Fuqua mais pas d'avoir fait un film moche !

Pour ma part j'ai apprécié ce remake tout en ayant conscience de ce qu'il est pas.

 

Bonne chose, il se distingue du Sturges par son prétexte, le méchant de service étant un capitaliste pourri. Que les 7 Mercenaires en deviennent au passage plus bigarrés ne manque d'ailleurs pas de saveur. De ce virage à gauche, Fuqua peut mettre un peu de western spaghetti dans son classicisme et ça marche bien.

 

On ne va pas parler du casting, l'original etant hors concours avec McQueen, Coburn, Yul et Bronson , mais mention spéciale à Vince D'Onofrio.

 

Le dénouement façon Horde Sauvage effectivement, boucle la boucle.

 

Non, un chouette film.

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