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D'après une histoire vraie - Roman Polanski - 2017


Jeremie

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Delphine est une écrivaine à succès venant de sortir un nouveau best-seller. Épuisée par le succès, elle doit aussi faire face à d'étranges lettres de menace. Lors d'une soirée, elle croise une fan, écrivant des auto-biographies dans l'ombre. La jeune femme, serviable et mystérieuse, lui apporte aide et conseils, jusqu'à commencer à s'infiltrer dans sa vie.

 

J'ai toujours pensé que Polanski n'avait jamais fait de mauvais film (juste des moins bons) : maintenant, on peut dire que c'est fini

Après un passage très silencieux à Cannes (jamais une bonne chose...), le nouveau film de Roman Pedobear est clairement ce qu'il a fait de pire, pas loin d'être son Passion à lui (et encore je crois que le De Palma est meilleur). C'est simple, on assiste à Misery + Single white Female + Swimming Pool. Pas une seule idée de mise en scène, deux scènes oniriques hideuses, une intrigue débile et déjà vu, et surtout ce duo d'actrices...hallucinant. J'aime beaucoup Seigner et Green (qui reparle français pour l'occasion), même dans la situation actuelle, mais là c'est pas possible. Seigner est filmée comme un jambon oublié derrière le frigo, et Eva Green...bon dieu. Y'a pas un seul moment où elle n'en fait pas des caisses, les meilleurs moments étant quand elle s’énerve putain mais la scène du mixer on dirait une méchante de Disney, impossible de garder son sérieux. C'est simple, la seule scène où elle est naturelle, c'est lorsque elle revient des courses à Intermarché

 

Bon voilà, grosse galère, grand moment de gêne, pire que le Ozon et son thriller pouet-pouet (qui était au moins assez sexy). Avec des caméos improbables, genre Noemie Lvovsky qui apparaît deux secondes dans un musée, Damien Bonnard (le mec de Rester Vertical) qui fait de la figu, Dominique Pino qui fait coucou...n'importe quoi

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Seigner est filmée comme un jambon oublié derrière le frigo, et Eva Green...bon dieu. Y'a pas un seul moment où elle n'en fait pas des caisses, les meilleurs moments étant quand elle s’énerve putain mais la scène du mixer on dirait une méchante de Disney, impossible de garder son sérieux. C'est simple, la seule scène où elle est naturelle, c'est lorsque elle revient des courses à Intermarché

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Merci de m'avoir fait pisser de rire au reveil

 

pour la p(e)ine, une vielle photo de manu:

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  • 11 months later...

C'est vrai que c'est pas terrible... Son plus mauvais ? Sans doute oui... Après, je trouve quand même ça regardable du coin de l'oeil. C'est très faible pour du Polanski, mais on en est pas encore à des ratages comme les dernier Argento, Coppola ou De Palma pour moi... Je vais pas recopier tout le texte de Jérémie, mais je le rejoins sur tout... Effectivement, Eva Green qui joue en français, c'est affreux... Le reste, aucun intérêt quoi, on suit ça mollement, on l'oublie en deux jours...

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