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Sliver - Phillip Noyce (1993)


Cyril

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Syno:

Après un divorce éprouvant, Carly Norris, jeune directrice de collection chez un éditeur new-yorkais, emménage dans un immeuble high-tech appelé également "sliver". Quelques jours plus tard, Carly apprend qu'un des habitants de l'immeuble, Gus Hale, professeur de psychologie, a fait une chute mortelle et qu'il est le troisième occupant du sliver à mourir dans des circonstances inhabituelles.

 

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On parle de Color of Night, de Body of evidence, mais on en oublie hein je crois ?

 

C'est le film qui suit Basic Insctinct dans la carrière de Sharon, autant dire que l'attente était au maximum.

Je me souviens avoir demandé à un gars qui sortait de la séance comment était le film, il m'a répondu en ricanant que je devrais faire gaffe à pas salir le siège devant moi (j'avais 13 ans, j'ai pas forcément trouvé ça super drôle ... Crétin va)

 

Au final bof bof, je lui préfère largement son remake porno réalisé par Pierre Woodman, The Tower (surtout sa suite avec une séquence surréaliste d'inceste entre une actrice de + de 20 ans qui joue la teenager et son père libidineux)

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Ça a vieilli mais

La BO à base de massive attack et aenigma et la photo de Vilmos zigmond donne un beau cachet au film.

Le bluray est malheureusement censuré. Exit le plan où Baldwin suce le sein de Sharon.

La chronique du film dans le dictionnaire cinéma de Jean Tulard est à mourir de rire. Tulard casse tous les films de genre sauf sliver et basic instinct qu il considère comme des films "mythologiques" où Sharon stone représente la "déesse de la beauté "

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Découvert y'a pas très longtemps et c'est très sympa, mais surtout grâce à ses atours plus que son scénar dont on décroche rapidement : la b.o où on entend en effet Massive Attack et Enigma, la photo, l'ambiance chic/choc NY 90's, le duo vedette au top de leur bowté...y'a eu pire, y'a eu mieux, voilà quoi.

Et la grosse perte de la version censurée c'est surtout les fesses de Baldwin

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La chronique du film dans le dictionnaire cinéma de Jean Tulard est à mourir de rire. Tulard casse tous les films de genre sauf sliver et basic instinct qu il considère comme des films "mythologiques" où Sharon stone représente la "déesse de la beauté "

 

Ouiiiiiiii, c'est trop ça. On s'amusait à les lire avec un copain à la BU du temps de la fac. Grosses crises de rire! Le vieux est le spécialiste de Napoléon et Sharon Stone

 

Sinon SLIVER, j'aime beaucoup, un émoi certain en salle à l'époque. Massive Attack, le levage de poutre, les fesses de Baldwin, Enigma, le délire voyeur poussé à l'extrême. Un hit 90 incontournable.

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Noyce l'avait décrite dans une interview parue lors de la sortie (dans Impact ou Ciné-News ou je ne sais quel canard de l'époque).

Selon lui, le studio avait massacré le premier montage qui, en l'état, tenait du chef-d'oeuvre sombre et perturbant. On peut rêver...

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