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Geostorm - Dean Devlin - 2017


Desperado

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Dans un futur proche, face aux conséquences dramatiques du réchauffement climatique, l'humanité a construit un réseau de satellites pour empêcher les phénomènes extrêmes : ouragans, sécheresses et autres inondations. Mais le dispositif commence à connaître des ratés. Un village afghan est ainsi littéralement frigorifié alors que le thermomètre aux alentours culmine à 50 °C...

 

J'ai du mal à croire que ça a été produit par Brukheimer et réalisé pour 120 millions de dollars tellement les effets spéciaux font fauchés.

 

Sorte de mélange entre Armageddon et Le jour d'après, on a là un bon nanar, où Gerard Butler joue à nouveau les gros bourrins bien burnés. Les situations improbables s'enchainent et les catastrophes météo à un rythme suffisamment soutenues pour qu'on ne décroche pas, les hommes se font buter, les chiens survivent, les américains font tout, le président des USA est trop cool. Et le message politique qu'on nous balance explicitement à la fin du film a du être écrit par un élève de 4e.

Mais le gros problème de Geostorm, qui ne le met pas au même niveau qu'un La chute de Londres, c'est qu'il laisse sa pièce maîtresse, aka Gerard Butler,e débattre seul dans l'espace... alors que tous les trucs cool se déroulent sur Terre. Du coup, difficile d'accrocher au personnage. Parfait pour débrancher son cerveau un samedi après-midi/soir d'été.

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C'était, je crois, dans Mad qu'il était indiqué que le premier montage était si catastrophique qu'une partie du film a été retournée en sous-mains par Danny Cannon.

Faut-il donc croire que ça n'a pas changé grand-chose (ou que ce fameux premier cut était au-delà de tout)...

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  • 5 months later...
  • 1 year later...

Le Jour d'Après rencontre Armageddon, sur fond de complot politique (ça change un peu)

 

Il faut reconnaître qu'entre Roland Emmerich et Dean Delvin, la différence de style n'est pas flagrante : drapeau américain par ci, chien immortel par là, destruction massive d'un esthétisme sur...De là, deux idées viennent :

- soit le père Roland est un bon professeur

- soit l'inimitable touche d'Independance Day, Godzilla et de Stargate ne vient pas de celui que l'on croit.

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