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True romance de Tony Scott (1993)


Dragonball

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"True romance"

 

 

 

 

 

Clarence, un jeune homme sans histoire, vient en aide à Alabama, une jeune prostituée a qui son mac, un débile dreadlocké qui se prend pour un black, fait des misères. Après avoir explosé la tête du goujat, Clarence prend la fuite avec alabana et ..... une valise remplie de cocaine. C'est le début des emmerdes !

 

 

Curieusement, pour trouver la quintessence du style de Tarantino, ce n'est pas dans un des ses films qu'il faut aller chercher, mais dans un dont il est seulement le scénariste, "True romance", polar ultra joussif rélalisé par un Tony Scott en pleine état de grâce, ayant déjà signé 2 ans auparavant le génial "The Last Boy Scout".

 

"True romance" se révèle, pour notre plus grande joie, encore meilleur à tous les niveaux, avec son couple rock'n roll (Christian Slater et Patracia Arquette) et des persos secondaires tous plus fun les uns que les autres (Denis hopper en encyclopédie vivante, Brad Pitt completement défoncé durant tout le film, James Gandolfini en tueur sadique, etc, etc).

 

Le film fourmilles de scènes est anthologiques aux dialogues géniaux(Le face à face Hopper/Walken, la visite de clarence chez le producteur) et de scènes d'actions impréssionnantes (Alabama "intérrogé" par James Gandolfini, le Gun fight final).

 

 

 

Un pure bonheur de fan de cinéma de genre.

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J'aime pas ce film, jamais aimé, brouillon et trop poseur pour moi. Tarantino par les autres, j'aime vraiment pas, c'est une caricature de son style (les références toutes les 2 phrases aux comics ou à ses films cultes, les "grandes tirades", etc).

Non, là, tu confonds avec Kill Bill !

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  • 2 years later...
  • 1 year later...

Revu hier soir en salles, ça faisait qques années que je l'avais pas maté, et j'ai tout simplement adoré le revoir ! Pourtant je le connais bien, je l'avais déjà vu 3-4 fois, mais je sais pas, là, en salles, en VO, belle copie, puis ds l'humeur qu'il faut surement, j'ai vraiment pris mon pied ! C'est vraiment bien foutu, superbe cast, magnifiquement employé et dirigé, très bon scénar, bien dosé, équilibré, drole, violent, touchant. Le film est très bien rythmé, on s'ennuie jamais, les dialogues font mouche, ça fourmille d'idées et Tony Scott, bien que sobre, emballe ça à la perfection. Et le score (qui repompe qd meme intégralement celui de "La balade sauvage", il faut le dire) est mortel ! Enfin voilà, un vrai bonheur, très content de ma séance !

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  • 2 years later...

La tagline résume bien le film : le Bonnie & Clydes des 90's.

 

2 heures fun et rock & roll qu'on ne voit pas passer. C'est jouissif, sans temps morts, drôle, violent avec des dialogues, des têtes d'affiches et des seconds rôles géniaux. Et je suis d'accord pour dire que Tarentino est meilleur scénariste que réalisateur ! On reconnaît bien sa patte mais sans les scènes de dialogues too much, chiantes et interminables !

Tony Scott emballe tout ça efficacement, de manière classique mais énergique.

 

Pour chipoter je trouve dommage que la présence de Christopher Walken tienne limite plus du caméo qu'autre chose, dommage vu qu'il est excellent. Par contre il y a le trop rare Bronson Pinchot que je surkiffe !

 

Bref, ce fut un bon

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  • 5 months later...

Revu sur le très bon blu-ray. Jamais revu en dvd d'ailleurs. Du coup pour le director's cut, j'ai pas senti les différences, ça faisait sans doute trop longtemps que j'avais vu le film...

J'avais adoré à l'époque, et je confirme une fois de plus. On a les dialogues épicés et les références de cinéphile/geek turbulent en pagaille d'un Tarantino, et toute l'esthétique frime et le sens du spectacle de Scott : et ça vieillira sans aucun doute très bien

J'avais oublié comme le film était sacrément violent (Gary Oldman qui se fait exploser la bite, le combat monstrueux dans le motel entre Arquette et Gandolfini ) tout en étant étrangement léger, sans justement sacrifié tout le premier degré. A ce propos, la fin alternative où Clarence meurt est franchement loupée et sabre complétement tout ce contraste. Bon heureusement, ce n'est qu'une fin alternative...

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  • 3 months later...
  • 5 years later...
Revu sur le très bon blu-ray. Jamais revu en dvd d'ailleurs. Du coup pour le director's cut, j'ai pas senti les différences, ça faisait sans doute trop longtemps que j'avais vu le film...

J'avais adoré à l'époque, et je confirme une fois de plus. On a les dialogues épicés et les références de cinéphile/geek turbulent en pagaille d'un Tarantino, et toute l'esthétique frime et le sens du spectacle de Scott : et ça vieillira sans aucun doute très bien

J'avais oublié comme le film était sacrément violent (Gary Oldman qui se fait exploser la bite, le combat monstrueux dans le motel entre Arquette et Gandolfini ) tout en étant étrangement léger, sans justement sacrifié tout le premier degré. A ce propos, la fin alternative où Clarence meurt est franchement loupée et sabre complétement tout ce contraste. Bon heureusement, ce n'est qu'une fin alternative...

 

J'aurais tout aussi bien pu quoter DPG mais vraiment d'accord avec nos 2 lascars, y a vraiment des films qui sentent les 90's, avec Thelma et Louise, on peut en dire tout autant du frangin.

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