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L'abime de morts vivants de Jess Franco (1983)


Dragonball

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Je suis pas d'accord, ce film est nul c'est tout.

Bon, il y a quand même un ou deux plans magnifiques sur les dunes avec le couché de soleil... Mais franchement, est-ce que ça vaut le coup d'acheter le DVD pour ça ?

 

Et bien, oui ! Je garde le mien comme quelque chose de précieux tout en sachant que je n'aurai sans doute jamais le courage de revoir ce film. C'est grave docteur ?

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Bon, il y a quand même un ou deux plans magnifiques sur les dunes avec le couché de soleil...

 

 

Tu es un peu méchant là quand même. Tu oublies ce plan magnifique où Franco zoome sur le gros popotin d'une fille en short!

Et tous ces plans où il s'y remet à trois fois pour filmer une toile d'araignée!!!

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Ce que j'en disais récement sur DD, peu de temps après l'avoir revu :

 

Je ne sais pas si c'est du à la joie d'avoir pu voir ce film dans une copie certes loin d'être parfaite (le Z2 français, passable mais tellement meilleur que la VHS sur laquelle j'ai déjà vu ce film il y a fort longtemps) ou bien à une trop grande clémnece de part, mais le fait est que j'ai pris beaucoup de plaisir à visionner "L'abime des morts vivants", alors que j'ai à propos de celui ci le souvenir d'un navet tout ce qu'il y a de plus soporifique.

Alors bon, évidement, l'abime des morts vivants est loin d'être un chef d'oeuvre et n'a pas la poésie de son copain "Le lac des morts vivants". Mais le cadre est orignale (le desert est toujours aussi photogénique), les quelques effets spéciaux ultra rudimentaire mais rigolos (le zombi aux yeux révulssés, celui réduit a une espèce de tête de mort avec 3 cheuveux qui se battent en duel !) et les scènes d'action assez régulières, si on excepte une petite baisse de régime au milieu du métrage.

 

 

Bref, un petit film sympathique, à réévaluer de toute urgence pour ceux qui en gardent un mauvais souvenir.

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J'ai eu du mal à aller jusqu'au bout, avec un sentiment de malaise a mater un truc aussi insignifiant...ou se sentir suicidaire de pouvoir etre attiré par autant de vide reconnaissant le Franco que j'avais découvert quelques années auparavant avec les Killer Barbies (autre "fleuron" du genre...).

Pourtant intrigué par la chose, en rematant certaines scènes en avance rapide, pour essayer de me convaincre qu'il devait y avoir quelques trucs a sauver ou un embryon de truc cohérent, certaines ambiances peuvent séduire, notamment sur la fin.

Certains films de Franco donnent l'impression de vraiment être réalisé par un dingue agonisant, déconnecté de toute logique, reperes ou chronologie.

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J'ai eu du mal à aller jusqu'au bout, avec un sentiment de malaise a mater un truc aussi insignifiant...ou se sentir suicidaire de pouvoir etre attiré par autant de vide reconnaissant le Franco que j'avais découvert quelques années auparavant avec les Killer Barbies (autre "fleuron" du genre...).

 

 

Euh... mais KILLER BARBYS c'est bien

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