Jeremie Posté(e) le 23 septembre 2010 Share Posté(e) le 23 septembre 2010 A part Judd Nelson, ça va quand même Et il manque Emilio ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nice Panda Posté(e) le 23 septembre 2010 Share Posté(e) le 23 septembre 2010 Me suis toujours demandé ce qu'aurait donné Anthony Michael Hall dans "Full Metal Jacket", comme il en était question avant que Matthew Modine ne chope finalement le rôle... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
superflo Posté(e) le 24 septembre 2010 Share Posté(e) le 24 septembre 2010 Et il manque Emilio ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DPG Posté(e) le 24 septembre 2010 Share Posté(e) le 24 septembre 2010 Les filles ont mieux vieillis que les mecs dans ce cas précis ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomfincher Posté(e) le 22 juin 2016 Share Posté(e) le 22 juin 2016 Je le découvre seulement maintenant (grâce à Netflix). J'avais déjà vu Ferris Bueller que j'avais trouvé excellent, et je m'attendais pour celui-ci à une pure comédie et je ne l'ai pas eu. C'est très fun, rigolo, mais ce sont surtout les changements de ton qui déchirent. Putain la scène où ils découvrent qu'ils subissent tous les mêmes pressions, et comment c'est désamorcé avec l'histoire du pistolet de détresse. C'est du grand art cette capacité à passer des larmes au rire. Bon maintenant, faut que je me fasse Sixteen Candles qui est également dispo sur Netflix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
chatterie royale Posté(e) le 22 juin 2016 Share Posté(e) le 22 juin 2016 j'aurais sûrement un avis différent si je l'avais découvert ado mais quand je l'ai vu il y a quelques années et il ne m'a fait ni chaud ni froid.john hugues oblige c'est bien foutu mais les personnages ne sont pas bien subtils (la scène du déjeuner m'a paru durer une éternité), les changements de ton un peu grossiers et les dialogues sonnent parfois faux.j'en attendais sans doute trop, beaucoup le considérant comme "le" film définitif sur l'adolescence.sur un thème finalement très proche, à savoir un groupe d'ados qui en papotant et en vivant une expérience forte ensemble tombent le masque et s'ouvrent aux autres, j'ai préféré de loin Stand By Me. peut-être à cause de son épilogue triste, peut-être aussi parce que je l'ai découvert à l'âge propice...et maté 10 fois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jeremie Posté(e) le 1 janvier 2018 Share Posté(e) le 1 janvier 2018 Revu hier et toujours un chef d'oeuvre d'amertume et de lucidité, dont le côté théâtral me paraît toujours aussi radical pour un teen movie 80's. Le premier bluray est plutôt correct, mais y'a un côté lisse dans l'image qui me gêne un peu...Je crois pas avoir vu d'autres exemples à ce jour, mais Breakfast Club est l'un des rares films à être sorti au moins 3 fois en bluray dans le même pays Après l'édition 25ème anniversaire, l'édition 30th anniversary est sorti avec un nouveau transfert 4k, et il faut avouer que le changement est loin d'être bouleversant. Et ce mois-ci, c'est Criterion qui le ressort, avec cette même copie et plus de bonus, dont un de taille : 50 minutes de scènes coupées Je suppose qu'il y a dedans celle du rêve... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stéphane Posté(e) le 1 janvier 2018 Share Posté(e) le 1 janvier 2018 Je le prends directement ! Comme La nuit des mv chez eux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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