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Point limite zero - Richard Sarafian - 1971


Basculo Cui Cui

Messages recommandés

  • 1 year later...

un de mes films préférés !!!!

 

Kowalski ancien flic et ex champion de stock car fait le pari de relier denver a san francisco en 15h; roulant comme un fou, défoncé aux emphé avec la police a ses trousses, il sera aider par soul man, un animateur de radio non voyant; il deviendra un symbole de rebellion pour le pays; tout en ce remémorant son passé, sur sa route, il rencontrera un vieux chasseur de serpent, un couple de hippies, 2 autostoppeurs paranos et aggressifs; tournée en 1971, c'est un vrai film rock avec une bande son qui dégage; le groupe primal scream fera nettement référence a ce film en intitulant un de leur album "vanishing point" qui contient une chanson appelé "kowalski"; le début du 1er mad max rappelle certaines scènes de ce film; est ce un hasard ?

 

 

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Les mots me manquent: dans mon top ten sans hésiter! Je ne me lasse pas de faire de la pub pour cette course poursuite métaphysique. J'adore sans fin ces plans de désert infini et silencieux que seule vient troubler la Dodge de Kowalsky. Fuite désespérée, la mort comme seule issue. Chef d'oeuvre.

 

Go Kowalsky!

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je l'ai toujours pas et je l'ai jamais vu

 

 

 

Avec la bande de lancement du film: extra.

 

Sur cette version, manque la scène avec Charlotte Rampling. Je ne sais pas si elle existe sur une autre version DVD.

 

La scène existe bien sur le Z1 qui est fourni avec ses deux versions.

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  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Découvrir le film qui a inspiré tarantino pour son Death Proof, c’est découvrir également un film qui a sans doute inspiré Peckinpah pour son film « Le Convoi ». Mais Sam Peckinpah est sans doute un réalisateur qui a inspiré Richard C. Sarafian pour ce film, tant on retrouve des thématiques communes entre ce film et l’œuvre de Bloody Sam.

 

Un héros à l’ancienne, ayant des principes, un homme dépassé par son temps, un homme qui ne trouve plus sa place dans la société, un homme qui cherche un but à son existence, des marginaux,…

 

La grande qualité du film est de ne jamais tombé dans le « trop ». L’économie d’explication permet, au spectateur de se faire sa propre opinion, mais surtout il me semble de donner un cachet intemporel au film.

 

Même si la situation politique des USA est finement dessiné dans le film, rien ne tombe dans la revendication mais du rappel pour le spectateur (la condition des noirs, le Vietnam, Cuba, la guerre froide, la corruption de la police, la montée en puissance des médias).

 

Un magnifique film.

 

PS

je regrette le temps où les héros étaient mis en danger, des histoires dans lesquelles le pessimisme n’était pas juste un effet de style…

 

 

trop rare sont les films actuels et les réalisateurs(David Fincher avec The Game ou Alien 3, James Gray) qui osent prendre des risques avec leur personnages principaux

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