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Jeepers Creepers de Victor Salva (2001)


Dragonball

Messages recommandés

"Jeepers Creepers "

 

 

 

 

Un frère et une soeur sont piursuivit par une mystérieuse créature.

 

 

Un des plus beaux fleurons de la nouvelle vague de films d'horreur qui, au début des années 200 ont commencer à réapparaitre au cinéma, bien loin des slashers imbéciles et inoffenssif entrainnés par le succes de Screan et délaissant le second dégré imbécile de franchise usée jusqu'a la corde comme celle des Freddy.

 

Un film méchant donc, et malsain, semblant symboliser toutes les névroses de Victor Salva, son réalisateur, et évidement, un film très éffrayant.

 

Le monstre, à la fois séduisant et répoussant, est magnifique.

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Certainement un coup d'éclat dans le monde du film fantastique, mais il y a un je ne sais quoi dans la deuxième partie du film qui me dérange (aucun rapport avec la vie de Salva hein, c'est juste une remarque technique sur le script). Je trouve le deuxième épisode beaucoup plus soigné et excitant.

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Ca commence tres bien, une excellente premiere heure tendue comme un string, avec beaucoup de suspense et d'angoisse (Duel's style !).

Mais bon, une fois la creature revelee, ca devient un film de monstre basique, et plutot lent (et chiant).

 

Un tres bon film dans l'ensemble, mais ca aurait pu etre beaucoup mieux.

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J'adoreeee...

 

Vu au hazard dans mon ciné et grosse baffe à la sortie surtout qu'à l'époque on se tapait tout les post scream possible !

 

Un pur film de monstre avec une bestiole sublime et effrayante (le plus beau boogeyman depuis des lustres !) qui arrive après une première partie tendu comme un string.

 

Des scènes magnifiques, comme celle avec la femme aux chats ou encore la découverte de la grotte... chef d'oeuvre et culte pour moi !

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  • 8 years later...

Revu hier, et ça vieillit plutôt très bien cette affaire ! Le début est super tendu, tout déchire, le camion, le repère, l’ambiguïté, les rapports frère / sœur, l'antre du Creepers. Une pure tension s'installe et ne retombe jamais. Mais même après le petit changement de cap, quand on part dans le pur fantastique / horrifique, et qu'on dévoile la bête, ça défonce tout autant à mes yeux. C'est gore, bourrin, mais toujours avec un solide sens de l'ambiance, du cadre, de l'étrange, jusqu'à flirter avec une poésie macabre du plus bel effet. Non, vraiment, une totale réussite, atypique, presque anachronique quand on la refout dans le contexte de l'époque, et qui traverse les années avec un solide aplomb !

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  • 6 months later...

Revu sur le BR du double feature de MGM (sous titres anglais only mais VF). Aucun bonus hélas. Mais copie honnête. On ne l'aura sans doute jamais en France, alors autant profiter...

 

J'avais bien aimé sans plus à l'époque, et dans mes souvenirs, le film a finit par se ternir un peu. Et à la revoyure, ça a en effet vraiment très bien vieilli ! À l'époque, c'était clairement inhabituel mais avec le temps de ce genre de série b est devenue monnaie courante : mais il faut croire que Salva avait un vrai truc en plus (pour le coup ça s'appelle un cerveau, certes ).

Des audaces qui fonctionnent toujours (une fin inattendue et très noire, zéro romance), des scènes bien flippantes (putain le regard du Creepers lorsqu'ils le surprennent devant l'église ), des idées de réalisation superbes (très bonne utilisation de la profondeur de champ), une vraie connaissance des codes, un monstre à la fois classe et vraiment terrifiant, une dimension sexuée malsaine et passionnante, l'irruption de la chanson des Siouxie & the Banshees...

Un vrai petit classique du genre

 

dKJWivaqYy4

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  • 3 years later...
Revu hier, et ça vieillit plutôt très bien cette affaire ! Le début est super tendu, tout déchire, le camion, le repère, l’ambiguïté, les rapports frère / sœur, l'antre du Creepers. Une pure tension s'installe et ne retombe jamais. Mais même après le petit changement de cap, quand on part dans le pur fantastique / horrifique, et qu'on dévoile la bête, ça défonce tout autant à mes yeux. C'est gore, bourrin, mais toujours avec un solide sens de l'ambiance, du cadre, de l'étrange, jusqu'à flirter avec une poésie macabre du plus bel effet. Non, vraiment, une totale réussite, atypique, presque anachronique quand on la refout dans le contexte de l'époque, et qui traverse les années avec un solide aplomb !

 

Mais carrément.

 

Très impressionné par la mise en scène à la revoyure, Salva est toujours à la recherche d'un maximum d'efficacité, tout ça est très vivant. Et puis ce plan qui voit l'antre du Creeper prendre la lumière pour nous laisser découvrir les milliers de corps attachés les uns aux autres, ce plan, ce plan !!!

Ce plan est fou.

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