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the last man on earth - Ubaldo Ragona (1964)


Creepers

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Une mystérieuse épidémie s'est répandue sur toute la surface du globe, transformant les populations infectées en êtres semblables à des vampires. (ils ne supportent pas leur reflet dans un miroir, ne sortent que la nuit et détestent l'ail)

Semblant immunisé contre la maladie, le vie de Robert Morgan n'est faite que de sanglantes virées en plein jour, entrant dans les maisons qu'il trouve sur son chemin pour "détruire" les créatures qui s'y reposent...

 

Découvert ce soir et c'est vraiment un bon film fantastique qui nous décrit donc l'histoire du dernier homme sur notre bonne vieille terre.

Le rythme est assez lent, l'ambiance est bien installé et j'ai bien aimé la première partie où l'on observe le quotidien de Bob.

On reste dans le mystère sur l'origine de la maladie, la fin est tragique et l'ambiance générale assez sombre.

 

La vision du vampire pourrait preter à sourir aujourd'hui avec le miiroir, l'ail les croix et tout les clichés du genre mais le tout passe vraiment bien car ne sombre jamais dans le ridicule.

 

belle découverte pour moi !

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Vu sur un DVD US de chez Passion Production (acheté à 1 €!) comme les droits du film sont tombés dans le domaine public, on peut donc le trouver à très très bon marché

 

Zone 0

86 mn

Scope 2.35:1

Noir et blanc / Mono

 

J'ai adoré. Price est hallucinant, sa présence électrifie le film...superbe prestation (sa scène où il passe de l'hilarité aux larmes est la plus belle).

Très beaux décors, mise en scène très "géométrique". les scènes où les mutants attaquent m'ont curieusement rappelé... la Nuit des Morts-Vivants avec leur démarche ralentie, hésitante, maquillages blafards, cherchant l'humain barricadé dans sa maison

 

Cela n'excuse pas les erreurs de raccords parfois criants (les scènes de conduite de jour se transforment en nuit en plan rapprochés avec Price au volant) et la post-synchro parfois venue de l'espace pour les interpètes italiens

 

Mais cela reste à mes yeux supérieur à la version avec Heston, plus orientée sur l'action et plus marquée par des tics propres aux années 70 côté visuel. Look dépouillé et désenchanté au film qui me plaisent énormément.

Une très belle découverte.

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Un méga classique pour moi, j'ai même l'affiche dans mon salon.

Je dirais tout comme Superwonder, il ya quelques erreurs mais l'ensemble est vraiment excellent.

Le dvd Midnight movie est superbe, pas cher et contient des STF.

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Tout pareil que tout le monde, c'est vraiment un très bon film , non exempt de défauts, mais qui s'apprécie de la première à la dernière image.

Et Price confirme, comme si besoin était, qu'il était le plus grand acteur de l'histoire de l'humanité

 

Comment ça j'exagère ?

 

Je n'ai malheureusement jamais vu la version avec Ben Hur, je ne peux donc pas comparer, mais je sais déjà ce que je vais dire quand ce sera fait

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Tout à fait d'accord avec l'opinion générale. Lorsque j'avais découvert ce film en version italienne, voici déjà pas mal de temps, je me souviens qu'on s'est regardé interloqués, avec les potes - tous amateurs de cinéma fantastique, de Matheson, et de Price - et qu'on s'est demandé si les types qui avaient écrit tant de mal sur ce film l'avaient réellement vu !!!

Je le trouve excellent, du début à la fin, malgré les petites erreurs signalées (c'est assez curieux d'ailleurs, car ce genre d'erreur est facilement rattrapable en laboratoire, je me demande même si çà n'a pas été simplement oublié par le labo... On peut très bien "foncer" une scène tournée de jour et supposée se dérouler dans la soirée...). Quant à la ressemblance indéniable avec "La nuit des morts-vivants", la chronologie nous indique que c'est forcément Romero qui s'est inspiré de ce film. Ratio d'image mis à part, vous mettez quelques plans du film de Ragona / Salkow dans le Romero, personne ne s'en apercevra !

La version italienne, signée uniquement par Ubaldo Ragona, n'a que quelques plans de différence au départ (dans la ville morte), mais tout le reste du film est le même, au point que je continue à me demander qui en est le véritable auteur (mais çà, avec le cinoche italien, on a l'habitude !)

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