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Cleopatra Jones and the casino of Gold - Chuck Bail (1975)


Superwonderscope

Messages recommandés

 

 

Vu sur un DVD Z2 grec en scope 16/9 , VO anglaise mono sur 1 canal et st anglais. avec le film annince d'origine.

 

C'est beaucoup mieux que je ne l'imaginais! J'avais lu divers papiers l'annonçant comme inférieur à l'original...bé...ppour moi c'est le contraire .

 

Je le trouve beaucoup plus fun, mieux rythmé avec une collection de coup de tatanes (elle frappe la bougresse ) de Tamara Dobson qui valent le détour. De plus, de voir son acolyte asiatique (très jolie au demeurant) kicker tout aussi bien que de lancer des flechettes à froufrou rouge , spamal.

 

Le défilé de fringue que tamara Dobson fait , c'est aussi l'hallu totale. A l'instar de Pam grier dans Foxy brown, elle change de tenue à chaque scène, et les chapeaux Denfert rochereau défilent aussi...jusqu'à la tenue finale, très sexy et décolletée Les maquillage soutranciers complètent le tableau très chargé...mais malgré les platform shoes, cela ne l'empeche pas de courir, sauter, tirer dans le tas!

 

La niveau de destruction culmine avec le final qui atomise littéralement le casino de Stella stevens... les cascades vont bon train et le rythme faiblit très très peu. Bon point pour la scène de poursuite de Cleopatra Jones en voiture dans des ruelles sombres de HK.

 

Stella Stevens qui surpasse allègrement Shelley Winters (du premier opus) en perversion. Et elle kicke aussi, la gourgandine! Elle est en fait une variation de la lesbienne butch responsable de l'empire de la drogue locale (se déroulant à HK, coprod oblige)...on a donc droit à du gouzi gouzi lesbien, massage et tutti quanti. Figure régulière de la blaxploitation (Coffy et consorts,) la lesbienne est un cliché sur patte, séductrice, manipulatrice, dominatrice, bref du mauvais cote de la loi (et blanche, bien sûr, les lesbiennes noires étaient toutes du cote du bis italien ). Elle périra ici d'une pénétration sauvage... mais d'un coup de sabre il faut que le chatiment soit à la hauteur de son double crime (chef de file de la drogue et lesbienne qui oblige sa fille adoptive à faire tout ce qu'elle lui demande! quelle horreur! )

 

Au final, c'est vraiment fun, à prendre au second degré d'une BD colorée, dotée d'un scénario passe-partout mais qui va au moins droit au but. Dommage que la justicière vit là ses dernières aventures.

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  • 3 months later...
  • 2 years later...
  • 11 years later...

Chef-d'oeuvre ! Ca n'arrête pas de se poursuivre/frapper/flinguer/poignarder, l'enquête avance un peu au petit bonheur la chance mais ça va droit à l'essentiel et la fin dans le casino surfrappe (flinguage en moto, explosions, coups de tatane).

L'héroïne est super classe même si elle est habillée comme un maquereau de Harlem pendant la moitié du film.

Autant le premier Dynamite Jones m'avait un peu ennuyé, autant celui-là relève le niveau !

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