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Rolls Royce Baby - Erwin Dietrich (1975)


Fabrice

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Hop, un soft-porn de Lina Romay qui n'a pas été réalisé par Jess Franco.

 

Lina interprête Lina, une "actrice" de cinéma et mannequin pour mags de cul à ses heures, qui est plus ou moins nymphomane depuis qu'elle s'est fait lutiner et abandonner à poil en pleine campagne par deux camionneurs adipeux et dégueux.

Manifestement Lina ne peut pas passer une minute sans se tripoter le bouton, comme nous le montre le film à intervalles réguliers. Rasage de foune, asticotage de motte et butinage par son photographe, Lina passe tranquillement le temps jusqu'à rencontrer un playboy des bacs à sable, un karateka à peu près lookalike de Chuck Norris qui aime surtout faire des katas la bite à l'air. Hilarant !

Lina séduit facilement ledit karatéka en lui faisant une démonstration de yoga à poil, et l'engage comme chauffeur de sa Rolls. Rolls dans laquelle Lina attend en nuisette transparente de rencontrer moult autostoppeurs moustachus trop contents de l'aubaine, et même une autostoppeuse toute aussi enthousiaste. Le film se termine sur un trio entre Lina, sa passagère et Chuck Norris.

 

Alors c'est simple, le film est parfait pour les fans de Lina Romay qui n'ont pas le courage de se coltiner un Franco pour profiter de ses formes rondouillardes. Elle nous fait profiter de ses charmes pendant à peu près 80 minutes sur les 84 que dure ce film. Ne rêvons pas cependant, tout cela reste quand même bien soft, une chatoune en gros plan, quelques cunnis et une turlute filmée en plan assez éloigné, et des pénétrations filmées de telle manière que l'on soupçonne fortement qu'elles soient simulées.

 

Sympa quand même, et nettement moins chiant qu'un Franco !

 

Tofs :

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Très sympa pour les fans de Lina, mais effectivement c'est pas du Franco. Le film est très répétitif (c'est ce qui fait d'ailleurs son charme naïf), et meme si les décors sont fort amusants, Dietrich n'a ni l'inventivité ni le gout du risque dont est capable Franco.

A voir absolument quand même.

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Critiqué dans le dernier Médusa (le 22, twenty two en anglais) , ce film est un véritable hymne à Lina Romay (j'aime bien moi Eric, désolé ) qui passe plus de la moitié du film à se palucher l'hémisphère sud avec une préférence pour le solo de mandoline en cressonière....

La musique est assez fascinante aussi, un thème qui traine dans la tête longtemps après la vision !

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