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Les gaspards - Pierre Tchernia - 1974


Basculo Cui Cui

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il passe demain a 20.35 sur DIRECT 8

 

Un veuf, Rondin (Michel Serrault), qui tient à Paris une petite librairie menacée par de vastes travaux d'excavation, s'alarme car sa fille de vingt ans, Marie-Hélène (Chantal Goya) a disparu sans laisser de traces. Il va à la police mais le commissaire Lalatte (Michel Galabru), qui prépare ses vacances, ne le prend guère au sérieux. Seul un facteur un peu benêt (Gérard Depardieu) vient en aide au libraire. Une série d'indices et d'incidents, dont la disparition d'un groupe de touristes au cours d'une visite des catacombes, amènent Rondin à conclure que la disparue se trouve dans les profondeurs du sous-sol de la ville. Il part donc à sa recherche, tandis que les travaux herculéens entrepris par le mégalomane ministre des Travaux publics (Charles Denner) sont en bute à d'étranges représailles venues d'en bas, tout en bas... plus exactement de Gaspard de Montfermeil (Philippe Noiret), chef débonnaire de ce peuple qui, on le sait, vit sous Paris depuis des siècles.

 

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je ne suis pas très comédie française mais celle ci je ne m'en lasse pas, une vision surréaliste de paris et de ses dessous, les gags sont très intelligents (le soldat inconnu qui rencontre jean valjean ) et quelle affiche !!!! rené gosciny n' a t il pas participer au scénario et aux dialogue ?

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  • 5 years later...

Fort sympathique

 

Une petite comédie franchouille saugrenue.

 

A la fois datée (le côté post-68, les grands chantiers dans la capitale) et toujours d’actualité (presque quarante ans plus tard, les travaux publics nous pourrissent toujours autant la vie).

 

Un humour bon enfant mais assez virulent aux entournures (sans avoir l’air d’y toucher, ça dénonce joliment certains travers).

 

En tout cas, on sent clairement l’apport de René Goscinny, co-auteur du script avec Tchernia

 

Les dialogues sont mortels.

 

Mention spéciale pour la première rencontre entre Serrault et Galabru (« On va mettre libraire », « C’est une fugue ») et le déjeuner Galabru / Denner (« Je vous voyais plutôt tête de veau et viande en sauce »).

 

Le casting envoie du lourd, entre la fine fleur du cinéma français d’alors (Noiret, Serrault, Denner, Galabru, Depardieu, Hernandez) et les seconds rôles féminins improbables (Annie Cordy et Chantal Goya ! ).

 

Sinon, le film est globalement assez poilant et assume complètement son côté « on part dans tous les sens mais on s’en tape ».

 

Des bonnes idées (Carmet en caviste, les locaux du ministère complètement de traviole, …) et une BO sympa.

 

Une comédie populaire, légère mais pas conne

 

Plaisant

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