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The Addiction d' Abel Ferrara (1995)


Dragonball

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"The Addiction"

 

 

 

 

Comment une jeune étudiante en philosophie de l'université de New York, passionnée de Nietzsche et de Heidegger, va basculer dans la violence et l'horreur pour finir dans la rédemption.

 

Une très belle et très soignée variation sur le vampirismes par un Abel Ferrara beaucoup excité qu'a l'accoutumé (il devait sortir d'une cure de désintox ! ).

 

Le noir et blanc colle parfaitement à l'ambiance à film "atmosphérique" et d'une étrange plénitude, plénitude précédent un final en forme d'upercut !

 

Classe !

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Ronflant, pompeux, chiant et bavard...

Le vampires qui philosophent et allégorise sur sur le sida en se faisant chier comme des poissons morts, ça m'a fait l'effet de 12 valiums écrasés inhalés d'un coup dans la narine droite.

 

Abel, reprend du crack !!!!

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Ronflant, pompeux, chiant et bavard...

Le vampires qui philosophent et allégorise sur sur le sida en se faisant chier comme des poissons morts, ça m'a fait l'effet de 12 valiums écrasés inhalés d'un coup dans la narine droite.

 

Abel, reprend du crack !!!!

 

T1 t'as dit pareil de Blood

 

En même temps je comprend cette façon de voir, ne l’ayant pas vu depuis sa sortie j’ai peur que le film me fasse cet effet aujourd’hui

 

Mais si on aime la nouvelle vague, le cinéma de Marker, Eustache, Truffault voir même Godard première époque. Si en plus on aime Paul Morrissey et Andy Warhol, le cinéma expérimental, d’art et d’essai, qu’on lit les Cahiers et Telerama, qu’on ne regarde que Arte…c’est quand même un bon début pour ce mettre aux films de vampire.

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Ronflant, pompeux, chiant et bavard...

Le vampires qui philosophent et allégorise sur sur le sida en se faisant chier comme des poissons morts, ça m'a fait l'effet de 12 valiums écrasés inhalés d'un coup dans la narine droite.

 

Abel, reprend du crack !!!!

Ben, ça change un peu !

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Mais si on aime la nouvelle vague, le cinéma de Marker, Eustache, Truffault voir même Godard première époque. Si en plus on aime Paul Morrissey et Andy Warhol, le cinéma expérimental, d’art et d’essai, qu’on lit les Cahiers et Telerama, qu’on ne regarde que Arte…c’est quand même un bon début pour ce mettre aux films de vampire.

 

Euh, ouais....

Morrissey / Godard / Warhol / Marker... Ils ont quand même chacun leur style, leurs thèmes de prédilections, leur façon de faire qui fait qu'au final, ça ne rime pas à grand chose de balancer des noms comme ça (je n'aime pas Godard, j'aime Morrissey). Ce que je veux dire, c'est que des films que certains trouvent pompeux, chiants et prétentieux mais que j'aime, j'en ai plein d'exemples (BEGOTTEN, LAST DAYS, THE FLEW...), mais à la différence de THE ADDICTION, je n'ai pas l'impression d'assister à une vaine (veine ?) entreprise qui ne mène nul part et qui donne l'impression que son réalisateur est en chute libre, qu'il ne sait pas trop où il va, qu'il semble être atteint d'une prise de conscience égocentrico-artistique surgit d'une tribu de neurones agonisants sous des résidus de cocaïne...

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j'aime, j'en ai plein d'exemples (BEGOTTEN, LAST DAYS, THE FLEW...), mais à la différence de THE ADDICTION, je n'ai pas l'impression d'assister à une vaine (veine ?) entreprise qui ne mène nul part et qui donne l'impression que son réalisateur est en chute libre, qu'il ne sait pas trop où il va, qu'il semble être atteint d'une prise de conscience égocentrico-artistique surgit d'une tribu de neurones agonisants sous des résidus de cocaïne...

 

 

Mais non, mais non, ce mec est totalement clean !

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Euh, ouais....

Morrissey / Godard / Warhol / Marker... Ils ont quand même chacun leur style, leurs thèmes de prédilections, leur façon de faire qui fait qu'au final, ça ne rime pas à grand chose de balancer des noms comme ça (je n'aime pas Godard, j'aime Morrissey). Ce que je veux dire, c'est que des films que certains trouvent pompeux, chiants et prétentieux mais que j'aime, j'en ai plein d'exemples (BEGOTTEN, LAST DAYS, THE FLEW...), mais à la différence de THE ADDICTION, je n'ai pas l'impression d'assister à une vaine (veine ?) entreprise qui ne mène nul part et qui donne l'impression que son réalisateur est en chute libre, qu'il ne sait pas trop où il va, qu'il semble être atteint d'une prise de conscience égocentrico-artistique surgit d'une tribu de neurones agonisants sous des résidus de cocaïne...

 

 

Oui mais les noms c’était surtout pour faire référence à la nouvelle vague française, parce que tu le veuilles ou non The Addiction c’est vraiment le Parfait mélange entre La Maman et la Putain et Bad lieutnant.

Ce film il fait nouvelle vague française à fond et surtout le récit mettant en scène une femme vivant une tragédie, je crois que c’est Truffaut qui disait en reprenant Max Ophuls « le cinéma c’est filmer de belles femmes en train de faire de belles choses ».

Putain ce film pour moi c’est la parfaite caractérisation de cette citation.

 

Mais dans le fond on est bien d’accord c’est plutôt chiant.

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  • 2 weeks later...

C'est vrai que c'est pas génial.

Faut peut-être qu'il prenne du crack mais qu'il arrête le LSD alors.

En même temps l'héroïne est une étudiante en philo, il s'est peut-être perdu dans cette fantasmatique propre aux étudiants de cette filière. Ca cite Nietzsche et Heidegger tous les trois dialogues, au bout d'un moment c'est normal qu'ils se sucent le croupion. Mal de crane.

Reste un très beau noir et blanc et une fantastique Lili Taylor.

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  • 13 years later...

Mitigé.

Ça frise parfois l'insupportable, mais sans jamais tomber dedans. Le beau N&B et la durée assez courte (1h22) aident à faire passer la pilule. Il ne se passe pas grand chose, c'est parfois pompeux (mon Dieu les citations de philo toutes les 5mn ), parfois lourdaud (les 500 images des camps) mais le film a un je ne sais quoi d'attachant qui fait qu'on ne décroche jamais complètement. Quelques belles (mais trop courtes) apparitions de persos quasi fantomatiques (Sciorra, Walken) amènent un peu de corps aux déambulations de Lily Taylor. La BO est hétéroclite. C'est pas abouti, mais j'ai qd même bien aimé. Ça m'a fait pensé à "Martin" de Romero par exemple, dans le genre film de vampire sans en être un... Une curiosité.

 

Vu sur le BR Arrow, très belle copie, ST anglais impeccables. Quelques bonus, mais j'ai pas encore eu le temps de les mater.

 

s-l300.jpg

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