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Julien

Messages recommandés

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Je lis ça en ce moment.

 

Très chouette ! Les textes de François Cau et Matthieu Rostac sont cools, informatifs juste ce qu'il faut, pas d'analyse branlette ou de gros pavé illisibles. J'apprends des petits trucs, et surtout ça me donne méchamment envie de revoir plein de films et lire des livres du King !

 

Belle mise en page par un ancien forumer !

 

Franchement pour 20 balles, ça fait très bien le job !

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  • 4 weeks later...

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Je termine ça. Mon deuxième Fante. Sympa mais je m'attendais à mieux qd même vu la réput'. Le perso looser de Bandini est plutôt attachant, mais bon, ça ne me transcende pas non plus...

 

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Je finis aussi ce bouquin. Très sympa. Choppé chez pix'n'love pendant des soldes, ça nous conte l'histoire de la Playstation (1) et de la Saturn. Ca remet les choses dans le contexte, explique un peu les coulisses, que ça soit dans la création, les rapports aux editeurs, le contexte économique de chacun, au Japon, aux US. C'est très bien fait et passionnant si on s'intéresse à tout ça. Plus des pages sur les jeux marquants de chaque console. J'aime bp !

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  • 4 weeks later...

Je viens de terminer l'autobiographie du père Jess Franco.... J'ai lu la critique élogieuse de Christophe Bier, et j'ai eu des retours enthousiastes concernant ce récit qui est certes intéressant, mais malgré tout frustrant. Franco y parle de sa jeunesse et de son parcours singulier qui l'ammènera à jouer dans des cabarets, à squatter la Cinémathèque française, à assister des réalisateurs phares de la scène espagnole des années 1950. Ses rencontres sont innombrables, parfois improbables, Franco ressemble à une sorte d'aventurier culturel qui crache dès qu'il le peut sur son homonyme de Général et son régime abjecte. Mais ce cochon se montre terriblement avare lorsqu'il s'agit de parler de ses films et de ses tournages. Il cite ici et là telle actrice ou tel acteur, parle en vitesse de Lesoeur, encore plus en vitesse d'Erwin Dietrich (au détour d'une phrase, par accident). La seule histoire de tournage qu'il nous offre est son expérience avec Orson Welles - et pour le coup, elle vaut son pesant de paella: entre sa contribution à "Falstaff" et le tournage foireux de "L'île au trésor", Franco semble avoir jonglé comme un fou mais semble surtout s'être fait joliment entuber.

Le bouquin est très généreusement complété par de précieuses annotations (Franco balançant passablement de noms de personnes ou de lieux inconnus de nous autres), de nombreuses photos et illustrations, mais aussi par le discours de JF Rauger lors de l'inauguration du cycle Franco à la Cinémathèque ou encore un article écrit par Javier Marias, écrivain et neveu de Franco, consacré à l'étrange personnage qu'est son oncle.

 

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Autobiographie d'Arcady. Rien de spécial à en dire, une bio, ça a d’intérêt que si on s'intéresse à la personne concernée, donc bon, j'imagine que personne en a rien à braire ici !

 

Juste, ça m'a permis d'apprendre qu'il était définitivement fâché avec Berry (ce qui confirme la réput' abominable de ce dernier) et que cette brouille est intervenue qd Berry a laissé tomber au dernier moment la suite de "L'union sacrée" !

 

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J'ai profité du confinement pour lire ce classique de la littérature américaine, et c'est effectivement plutôt chouette. Beau roman ds le Sud raciste des Etats Unis, du point de vue d'une petite fille. Un style fluide, des belles valeurs, un bon sens du suspense à une ou deux reprises, un bon bouquin !

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Même pas !

 

Sinon en anecdote drôle, on apprend que qd il a proposé "Le grand pardon" à Trintignant, il y croyait pas trop, et ce dernier, grand fan de course automobile, lui a dit qu'il faisait le film parce qu'il (Arcady) ressemblait à Jacques Laffite !

 

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J'ai profité du confinement pour lire ce classique de la littérature américaine, et c'est effectivement plutôt chouette. Beau roman ds le Sud raciste des Etats Unis, du point de vue d'une petite fille. Un style fluide, des belles valeurs, un bon sens du suspense à une ou deux reprises, un bon bouquin !

 

tu as vu le film? chef d'oeuvre!

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  • 2 weeks later...

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Un petit pavé de près de 650 pages qui m'auras quasiment fait tout le confinement, en lisant très lentement.

 

Vraiment bien accroché à la première partie thriller fantastique très sombre. Ensuite ça vire sf conspirationniste et c'est déjà moins mon délire mais ça reste bien fait. On s'emmerde jamais, les persos sont attachants, et les méchants, bien qu'un peu caricaturaux sont de véritables ordures. Un bon moment carré et efficace.

 

Il semblerait que ce soit le un des meilleurs Koontz et c'est plutôt étonnant qu'il n'ait jamais bénéficié d'une adaptation live, surtout que le bonhomme y a eu droit pour pleins d'autres bouquins, que ce soit à la tv ou au ciné . C'est pas franchement violent et ça doit pas coûter une blinde à adapter.

Bizarre aussi que le livre ne fut jamais réédité depuis les 90's, en France du moins...

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Mission secrète "Œil de Géant" de K.H. Scheer,

 

En prenant ce bouquin tout usé dans mon étagère, j'espérais me plonger dans un petit récit de SF bien rétro, avec un début, un milieu et une fin. Sauf qu'il s'agit du 22e tome d'une série appelée D.A.S. (pour Département Anti-espionnage Scientifique) par l'auteur des Perry Rodan, et que du coup je me suis retrouvé bien emmerdé de n'avoir aucun background et que bien des choses me sont apparues très confuses. Ceci dit, c'est assez amusant, car raconté avec un humour très pince-sans-rire, et on y découvre un "Second Empire" qui dirige la galaxie et quelques éléments qui ne sont pas sans rappeler l'univers d'un certain Star Wars. Rien de très folichon non plus, du moins rien qui ne me poussera à lire les 41 autres bouquins de la série....

 

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  • 1 month later...

J'ai commencé "L'école emportée" de umezu.

 

Ça faisait super longtemps que j'avais envie de m'essayer à cet auteur. Souvenir tenace d'une interview sur mcm avec quelques planches de makotochanquand j'étais ado. Je ne savais même pas qu'il avait été traduit en français depuis tout ce temps

 

c'est à peine croyable de se dire que c'est sorti en 1972, la plupart des séries télé fantastiques actuelles peinent à faire aussi bien. Elles seraient en plus bien incapables d'évoquer une telle violence envers les enfants.

 

Du coup j'ai très envie de me faire le film d'obayashi.

D'autres l'ont vu ?

Ils se traine un réputation médiocre et surtout peu fidèle au manga. Je risque de me spoiler des trucs ?

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Du coup j'ai très envie de me faire le film d'obayashi.

D'autres l'ont vu ?

Ils se traine un réputation médiocre et surtout peu fidèle au manga. Je risque de me spoiler des trucs ?

 

Je n'ai pas lu le manga, mais oui, tu risques

J'avais gribouillé une petite riviou du film après visionnement dans laquelle je confirmais la médiocrité du machin.

Ca donne une idée de la chose:

 

"The Drifting Classroom", c'est d'abord un manga horrifique culte de Kazuo Umezu. Quelque chose d'assez glauque, violent et tordu où une école remplie de gamins est projetée dans un futur apocalyptique via une faille temporelle; là, les enfants apprennent la survie, l'organisation en communauté, se battent comme des chiffonniers pour faire valoir leurs droits et affrontent des cafards mutants. Une fois passé à la moulinette Obayashi, il ne faut malheureusement pas espérer voir le réalisateur du génialissime "Hausu" rentrer dans le lard. Au contraire, le réalisateur, qui a mis beaucoup d'eau dans son saké depuis, oriente son métrage vers une aventure définitivement trop consensuelle. Du coup, cette entrée en force dans un monde obligeant les enfants à adopter des comportements adultes s'oriente vers un mode plus proche d'un idéal Bisounours, certes terni par quelques scènes de violence qui tranchent radicalement avec le ton passablement neuneu du film, guère aidé il est vrai par un casting qui peine à trouver le ton juste - d'autant plus que la moitié est tourné en langue anglaise, l'action étant situé dans une école internationale (l'occasion pour nous de rigoler du jeu approximatif d'un Troy Donahue en professeur d'anglais). Ce ton ne convient d'ailleurs pas à la mise en scène du réalisateur au passé expérimental, celui-ci n'hésitant pas à tourner des plans furieux aux mouvements parfois improbables, générant une sorte de sentiment d'urgence souvent inadapté. Les effets spéciaux sont rudimentaires pour la plupart, les transparences sont foireuses, les surimpressions hideuses et les décors simplistes. Ce qui avait du charme dans un "Hausu" complètement dégénéré ne fonctionne finalement pas dans un film en réalité plus terre à terre qu'il en a l'air. Reste les cafards mutants qui rappellent que les japonais n'ont rien à apprendre en matière de bestioles en caoutchouc. Le manga a connu une adaptation américaine, "Drifting School", avec Billy Drago et réalisé en 1995 par Junichi Mimura.
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Merci pour la review

 

J'ai maté quelques extraits et ça a l'air salement gentillet, mais à un tel point de kitsch que ça m'a encore plus intrigué en fait.

 

Je vais essayer de finir les mangas avant de craquer.

 

Je ne connaissais pas le mimura, il a l'air incroyablement à chier

Billy Drago et Henry Silva

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  • 2 weeks later...

Lester Bangs: Psychotic Reactions & autres carburateurs flingués

 

C'est l'un des deux reccueils de référence de l'un des critiques musicaux les plus légendaires - si ce n'est LE plus légendaire. Créateur du terme "punk rock", pourfendeur de la culture hippie, nihiliste, alcoolique, polytoxicomane, et génial défenseur de musiques décalées de 1969 à 1982, année de sa disparition à l'age de 34 ans, Bangs a été comparé à Hunter S. Thompson ou Bukowski, à moins que ce ne soit lui-même qui se comparait à eux. Toujours est-il que les articles regroupés dans ce bouquin sont aussi passionnantes que passionnés, on y parle des Stooges, du Velvet, beaucoup de Lou Reed, des Godz, des Ramones, Sex Pistols, Clash, il y a même la critique du film "The Incredibly Strange Creatures Who Stopped Living and Became Mixed Up Zombies". Ce qui est génial, c'est qu'il ne s'agit pas de simples comptes rendus d'albums, mais bien d'histoires ou de réflexion sur les modes, les mouvements, les époques, c'est incroyablement riche, ça déborde de partout, c'est bourré de remises en questions, d'éléments autobiographiques, d'autodérision (pour ne pas dire auto-humiliation) et un article peut facilement s'étaler sur plus de vingt pages.

La traduction française m'a semblée un peu boîteuse par moment, ce qui a brisé la fluidité de la lecture (je me métais à traduire ce que je lisais en anglais pour mieux saisir le sens... une sorte de reverse engineering littéraire, ce qui est très handicapant), mais pour qui apprécie la contre-culture musicale des années 70, c'est un must.

 

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  • 1 month later...

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Je suis en train de lire le dossier de l'été de SOCIETY sur Xavier Dupont de Ligonnes (en deux parties)

Je connaissais pas gd chose de l'affaire, donc c parfait, ça vaut tous les polars de l'été qu'on se tape à la plage !

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