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Beowulf de Graham Baker (1998)


Dragonball

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"Beowulf"

 

 

 

 

Un guerrier solitaire arrive dans un chateau en proie depuis plusieurs mois a une étrange malédiction. Un monstre insaisissable décime en effet depuis quelques temps tout ce qui a le malheur de lui passer sous le nez. La peur au ventre, les chevaliers et les paysans du chateau, qui sont dans l'impossibilité de fuir, se sont peu à peu résolu a attendre la mort, non sans cependant y résister jusqu'au dernier moment. La venue de ce mystérieux guerrier leur redonne cependant un peu d'espoir. Tout n'est peu être pas perdu .......

 

En 1998, Christophe Lambert fait sa tournée promo pour son nouveau film. Comme d'habitude plein d'enthousiasme et sur de lui, il annonce fièrement un peu partout qu'on va assister à un grand spectacle d'aventure et d'action teinté d'héroic fantasy et que voci enfin venu le film de sa résurection.

 

"Beowulf", le chef d'oeuvre en question, débarque donc dans tout les bons cinémas et ce fait instantannément détruire par tout les critiques, des passionnés de la presse fantastique aux bobos hargneux de certains grands quotidiens français, en passant par les magazines télé, les revues généralistes et même suremement "Elle" ou "Marie claire" !

 

En effet, difficile pour un esprit cartésien d'apprécier un chef d'oeuvre, car en effet, c'en est un, comme "Beowulf", film un brin cheap ou Lambert, limite looké SM, fils peroxydé d'un démon et d'une humaine, combat les forces du mal afin de ne pas tomber lui même du coté "obscure" !

 

Au programme, nous avons donc une scène d'action endiablé ou christophe Lambert combat une bonne trentaines de guerriers grâce à des armes tout droit sortie d'un James Bond et effectues des pirrouette du plus bel effet, un chateau médiéval néanmoins pourvu d'un telephone , un craignos monster quasiment toujours entouré d'une épaisse brume (bien utile quand on est pas spécialement doué pour les SFX ! ), plein de chevaliers au look mi héroic fantasy mi post nuke, et même de la fesse bien fraiche !

 

A noter dans ce film la présence d'Otto Götz, homme de main baraqué dans un des derniers James Bond et surtout psychopate hystérique à la sexualité encore mal définie dans "Ma femme s'appelle maurice" de Jean Marie Poiré, autre chef d'oeuvre incompris par la critique, voir, par 99% du publique.

 

"Beowulf", c'est bien !

 

 

 

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  • 2 weeks later...

Vu l'autre jour sur RTL... Maman ! Qu'est ce que c'était mauvais ! Pauvres acteurs, pauvres effets spéciaux, pauvre scénario... Pauvre film quoi !

Le réalisateur ne sait pas filmer les combats, tous en gros plan fixe, ou alors, il s'est rendu compte trop tard que Christophe Lambert n'était pas l'artiste martial de l'année...

Lambert, parlons-en, est plus mauvais que jamais. Il arrive encore à nous placer son fameux ricanement.

Christophe est en colère ? Il fronce les sourcils.

Christophe est triste ? Il fronce les sourcils et baisse les yeux.

Christophe va jouir ? Il fronce un sourcil, et lève l'autre.

 

En fait le film vaut pour... euh... Ah oui, son magnifique plan final et les seins de Rhona Mitra...

Ca fait peu...

 

1/6

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Comme d'habitude plein d'enthousiasme et sur de lui, il annonce fièrement un peu partout qu'on va assister à un grand spectacle d'aventure et d'action teinté d'héroic fantasy

 

Si je peut me permettre, il disait aussi fièrement -sur Canal+- que Beowulf était une sorte de mélange entre Highlander et Mortal Kombat...

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  • 3 weeks later...

Ne pas oublier non plus la prestation mammaire (Noël ?) de Rhona Mitra, grande actrice qui s'est illustrée comme première Lara Croft officielle d'Eidos.

 

Elle a commencé potiche en mini-short dans les salons professionnels du jeux vidéo où elle se cambrait savamment, menaçant de ses deux flingues en plastoc et de son air "Grrr... je suis Lara, je suis dangereuuuuse !" tous les objectifs pointés vers elle. Et ils étaient nombreux, ça en a fait vendre du papier glacé.

Elle a aussi eu la gloire de faire deux disques sous l'identité de Lara (quoi, vous saviez pas que Lara avec sorti des diques ?), mais elle devenait trop envahissante pour Eidos qui l'a virée et remplacée.

 

Après ça, elle s'est logiquement dit que sa voie pour devenir une star de cinéma était toute tracée.

D'où Beowulf, dont la seule réussite artistique est l'éclairage de ses nénés dans un joli clair-obscure que n'aurait pas renié Latour. Nénés décidement forts jolis qu'on peut également voir dans l'Hollow Man de Verhoeven : c'est elle la voisine sexy chez qui l'homme invisible entre en secret (si si, pas à moi, vous vous rappelez très bien de cette scène).

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  • 5 months later...
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