alfie

La mauvaise qualité de l'image peut etre aussi due au fait que le film ait été tourné en 16mm.

Mais comment peut on leur confier 18.000.000 d'euros après leurs multiples bides ? Vive l'exception culturelle...

Marrant, même sur les films que j'adore, il suffit qu'elle en parle pour que je n'ai plus envie de les voir. Curieux...

C'est plus un "Malediction" italien, et c'est vrai que la fin est decevante.

Parker et Stone ont fait des réécritures avec Zucker notamment pour ajouter le personnage de Squeak. Mais le concept du baseketball et le traitement revient aux scénaristes de départ. Leur apport n'a pas été jugé aussi important pour mériter d'être crédité, c'est très courant. Ils ont aussi improvisé sur le tournage. Je pense que leur travail est équivalent aux réécritures de courte durée (2/3 semaines) où les scénaristes proposent surtout des variations autour de certaines scènes en changeant quelques dialogues, rarement une réécriture complète de la structure ou des personnages. Je ne connais pas la nature de leur contrat mais je pense que comme la plupart de ces scénaristes, ils reçoivent un revenu fixe, sans avoir droit aux royalties ou au crédit. Les Pierrafeu : le film a fait travaillé une vingtaine de scénaristes en tout, un record.

Hostel : Production Budget: $4.8 million Domestic: $47,326,473 + Foreign: $33,252,461 = Worldwide: $80,578,934 Hostel 2 : Production Budget: $10.2 million Domestic: $17,609,452 + Foreign: $17,997,823 = Worldwide: $35,607,275

http://wm.woob2.com/asterix_aux_jo/asterix_ba1_vxd.wmv Bande annonce.

Richard Cheese & Lounge Against the Machine est un groupe décalé basé à Los Angeles qui interprète des morceaux célèbres de rap, rock, metal et pop, façon musique de crooner. Le groupe a entamé leur ultime tournée mondiale qui s'achèvera en 2008. Désormais pour les voire en live, vous devrez vous rendre à Las Vegas... ou bien les engager à votre mariage ou toute autre festivité ! Lounge Against the Machine (2000) Tuxicity (2002) I'd Like a Virgin (2004) Aperitif for Destruction (2005) The Sunny Side of the Moon: The Best of Richard Cheese (2006) Silent Nightclub (2006) Dick at Nite (2007)

Eric... ton corps.. tes poils... ta pute !

Emily Wilson (Lindsay Lohan dans Meet the Spartans) Désolé

Oui on peut pas dire qu'il tire sur une ambulance vu le succès des gens qu'il cible. Maintenant on peut vous ramener le Festival Roblès si vous voulez...

Tellement bien vu. Cet album de Youn est vraiment de la parodie de haute qualité.

http://www.charlieharpersucks.com Pour ceux qui ont vu l'épisode, le site marche vraiment.

Le chanceux possesseur de cette magnifique partition que je suis vous fait profiter du verso de la pochette du disque. C"est comme pour le générique de fin, il faut bien lire toutes les conneries :

J'ai hésité à le mettre en section "Cinéma" Teaser : http://www.themovieblog.com/2007/10/meet-the-spartans-trailer Ne me remerciez pas surtout, ça fait plaisir, c'est pour moi.

Chabat continue son exploitation videos beaufs... J'ai pas mal ri aux Bricol Girls mais le concept était drôle une fois, quoi.

En plus. Mais meme y a 10 ans, non, au secours.

Deja j'aime pas sa tete de sale. Rien que la voir me donne envie d'eclater sa tete contre un coin de table en verre, et quand je l'entends, j'ai envie de me percer les tympans au cure dents. Rien que savoir que cet être vit, bouge... beurk, caca.

C'est un peu con d'en arriver à de tels extrêmes, mais sur le fond, il est vrai que de toute façon, les films au premier role feminin marchent moins bien que les films avec des héros. Mais c'est pas la solution magique pour en arriver à faire de bons films, tout court...

Si le duo Seltzer/Friedberg faisait du sous-Wayans faisant du sous-ZAZ, les producteurs tentent ici le sous S/F en parodiant donc des comédies (!?) comme Dodgeball (le gag de la clé à molette remplacé par... un flingue, youpi !) et plus généralement les films de sportifs, genre très américano-américain s'il en est. Si la parodie de comédie était plutot casse-gueule et apparemment sans intêret, les scénaristes de Not Another Teen Movie (dont deux sont crédités sur l'histoire de The Comebacks) s'en étaient bien sortis. Malheureusement la bande-annonce sent les gags bâclés, 1000 fois vus et surtout lourdingues à défaut d'être au moins efficaces. La parodie étant un genre exigeant au minimum un sens du rythme évitant le décrochage au moindre faux-pas, celle là risque fort de sentir le fion à Wonkley après une journée "intégrale des oeuvres des soeurs Olsen". De plus, le football américain n'étant définitivement pas populaire en France, le film risque bien de limiter ses chances de distribution au pays du football pas américain.

Je suis tombé amoureux quand je l'ai vu dans ce film et ensuite j'ai assumé ma sexualité quand je me suis aperçu qu'elle n'avait que 13 ans.

Un budget restreint de 67 Millions de dollars limite l'ampleur de cette réalisation (peu de plans de grue ou d'hélico) qui passe du 1er au 2nd degré avec un naturel déconcertant selon les scènes. Néanmoins il se dégage du film une certaine fraicheur, une volonté d'en donner le maximum malgré d'évidents problèmes de moyens. Pas étonnant quand on sait que le réalisateur a été story_boarder sur "Army of Darkness" de Sam Raimi, auquel il paie clairement son hommage lors de l'attaque de la forteresse. Alors oui, ça pompe un peu sur le Seigneur des Anneaux, particulièrement dans le derniers tiers (Ben Kingsley est un bon Gandalf), ça lorgne du côté de Xena (encore Sam Raimi) avec sa séduisante (bandulatoire oserais-je dire) guerrière hindou, mais ça rappelle surtout les péplums italiens (production De Laurentiis et équipe technique principalement italienne !) aux décors cartons pâtes, aux 200 figurants censés être 1000, aux plans figés pour les matte-paitings, au casting quatre étoiles (Colin Firth, Ben Kingsley, Aishwarya Rai, John Hannah, Iain Glen), aux seconds couteaux à la gueule pas possible et à la mythologie très librement inspirée de légendes disparates. Bref, une bonne surprise, courrez-y, ça risque fort de dégagez dès la semaine prochaine !