alfie

Un chef d'oeuvre de comédie fantastique, qui m'a beaucoup rappeler les ZAZ sur certains gags ("Frog Man !")

Et tant que j'y suis : http://www.youtube.com/watch?v=5H_MnG_iuZg&mode=related&search=

Une bonne demi-heure de plus, où les personnages de Ben et La Torche sont beaucoup plus présents, à travers des sous-intrigues qui ont sauté à l'origine, parfois liés directement à Von Fatalis. Bref, on sait enfin ce qu'ils foutent de leur journée (même si c'est pas tres passionnant). Y aussi des moments impardonnables, comme dans la premiere version. Le genre de film qui fait prendre conscience de l'importance du montage.

Curieusement, le scénariste de SM3 et 4 a fait un travail de reecriture sur ce film (tout comme le scénariste americain de The Grudge cela dit).

ça lui permet surtout de faire sortir le personnel de sécurité afin de penetrer dans la salle de vidéo surveillance. Juste avant de prendre la voiture, il refait ses lacets pour reperer où se trouvent les caméras

C'est vrai que parfois y a des termes d'argots ou des jeux de mot pas franchement facile à percuter en vo. En y étant, je voudrais dire aux traducteurs (après avoir lu les sous titres des making of de Star Wars 3 et Casino Royale entre autres), d'arrêter de traduire "I'm confortable" par "Je suis confortable", et "comedian" par "comedien". Merci

Et grandement reecrite par d'autres scenaristes si ça peut te rassurer

You don't have to worry about the audience following every single story point, you don't have to worry about, “Hey, that guy just kicked a dog through a hedge. It's gonna make him unlikable.” You just have to make it interesting and involving. - Ted Elliott SPOILERS En toute franchise, j'ai regardé ma montre au bout de 2 heures (sur 2h40 de film), pourtant, ça m'a paru beaucoup moins long que les 2h15 de Spider-Man 3. Le film peine à se mettre en place et c'est dommage car la premiere scène nous fait d'emblée nous poser la question : Euh... on est dans une production Disney, là ??? Une heureuse surprise parmi d'autres qui parsèment le métrage. Le ton est donné : cet épisode sera plus sombre. Plus globalement, il sera moins manichéen : les gentils se trahissent mutuellement pour sauver leur peau, quand un couple de méchants arrive à voler la vedette au couple de gentils par l'intensité dramatique de leur romance. Comme pourraient s'exclamer les héros dans une scène de la première partie du film, c'est le monde à l'envers ! Les scénaristes n'ont jamais cacher travailler en dehors des standards narratifs du classique film hollywoodien. Cette absence de structure traditionnelle en 3 actes (ce qui n'annihile pas pour autant la structure dramatique) peut décontenancer pour peu qu'on ne soit pas réceptif à l'histoire. Mais soulignons l'originalité du parti-pris (ce qui ne signifie pas qu'il fonctionne avec tout le monde, mais c'est le cas de n'importe quel film), cette envie de confronter les spectateurs à une expérience sensitive et émotionnelle. Tel un grand huit, on passe de l'émotion pure lorsque Liz Swann voit son fantôme errant de père, à l'emerveillement devant la beauté des décors (les scènes de nuit lors de la traversée entre les deux mondes), aux frissons face aux mises à morts inattendues (etouffement par des tentacules glissant dans une gorge), aux rires provoqués par quelques répliques bien senties, jusqu'à une tristesse mélée de jouissance intérieure lorsque Beckett (pour avoir réussi à me faire éprouver de la peine envers une tête de cul, total respect à l'excellentissime Tom Hollander) descend les escaliers sur le bateau alors que tout explose autour de lui et qui périra dans les flammes, désabusé. Les scènes d'action sont très réussies dans l'ensemble même si on nous laisse sur notre faim lors du combat international entre... deux bateaux ! Néanmoins la scène finale est dantesque et réserve des morceaux de bravoure extrêmement jouissifs. On chipotera que la scène de combat du début est un peu cafouilleuse avec ses caméras à l'épaule qui donnent le mal de mer (!) mais les SFX en mettent plein la vue, alors enjoy quand-même ! Les acteurs vont du correct au formidable (Bill Nighy, Johnny Depp évidemment, Geoffrey Rush, Stellan Skarsgård, Keira Knightley). Malgré mes craintes, Keith Richards jouant de la gratte ne m'a pas fait sortir du film ; il possède un charisme indéniable et... la gueule de l'emploi pour ainsi dire. Le plus impressionnant est, comme il a été souligné plus haut, le travail pictural absolument colossal ! Verbinski a su s'entourer et lui-même met très bien en valeur les décors. Les costumes sont magnifiques et pour moi qui ne suit pas particulièrement attirer par la culture asiatique et son esthétique (j'avais peur par rapport au pitch du film qu'on y reste trois plombes ce qui aurait fait retomber mon interet par rapport aux deux premiers films), je dois dire avoir été bluffé par l'ambiance qui se dégage lors des scènes à Singapour. Les scénaristes osent tous les délires (Le désert de Jack, Calypso, le monde à l'envers...) et c'est sûrement la mise en chantier rapide du film associée à la roublardise des auteurs qui confiaient le scénario au dernier moment qui a permis au film certains excés. L'intrigue, puisque c'est la principale polémique est centrée autour des trahisons et au thème du choix que l'on fait ou que l'on se doit de faire qui est présent du début à la fin. Ce qui occasionnera une perte de repères au milieu du film (les scènes coupées faciliteraient-elles la compréhension ?), mais même si les multiples trahisons ne sont définitivement pas résumables et peuvent occasionner un rejet car il est vrai que ça bouge très vite en très peu de temps, tout ceci demeure cohérent aussi bien narrativement (hé oui !) que vis-à-vis de l'écriture typique des auteurs. A ce titre, la conclusion logique, sans céder à la facilité, donnée au destin de Will est exemplaire. La seule idée qui m'ait vraiment génée, c'est pourquoi la garde royale a choisi les deux plus abrutis pour garder le coffre... j'attendais un moment plus épique que l'écho fait au premier film pour un enjeu aussi important. Pas de prise de risque au niveau musical, on reprend pas mal du précédent volet si ce n'est cet élan Morriconesque à la guitare electrique, efficace dans l'ensemble. Quant à la fin du film, dommage qu'elle soit aussi ouverte, avec autant de details, même si finalement, quand on a apprécié ces 2h40, c'est bien ce que l'on souhaite ! Pas emporté par le debut , un peu déçu par la fin et pourtant... ça fonctionne, on ressort des images plein la tête en remerciant Johnny Depp d'avoir déjà donné son accord pour d'éventuelles suites. A film paradoxal, critique paradoxale. Eternel insatisfait, mais impatient de découvrir la suite. Malgré tout, il en faut du talent pour susciter une telle émotion. 5/6

Un point de vue interessant du scenariste John August : http://johnaugust.com/archives/2007/perils-of-coincidence

ELLE EST LIBRE !!!!!!!!!!!!!!

Videos de l'emission de la veille dispo sur le site de canal.

Ah donc je suis pas le seul à la trouver penible Sinon ça me fait de la peine pour James Huth qui est quasiment le seul français à avoir compris que c'est pas parce qu'on realise une comedie qu'il faut se foutre de l'aspect visuel

Vive l'ile aux femmes nues avec ses comediens de théééééééééâaaaaaaaaaaaaatre, son sous-Raimu, son sosie de Le Pen et sa chanson où on roule bien les "R". Par contre le morceau de salsa (samba ?) dechire bien Vive le nouveau générique des cuts Nanarland qui déchire mémé. Vive les personnages débiles des Rats de Manhattan et sa blondasse insuportable. Vive les organisateurs. Vive les jeux débiles. Vive la chemise de JF Rauger. Vive la cravate de Nikita. Vive le trop plein de bandes annonces qui a fait s'arreter la nuit à 10 heures. Vive les bandes annonces porno à 10 heures (Remplissez moi les trois trous : le film qui va...?)

Bon, comme prévu, c'était nul à chier Les memes qualités et les memes defauts que Date Movie. Points positifs : * L'histoire reprend celle du monde de Narnia, ce qui fait que même sans gags, l'histoire reste plaisante à suivre. * Le film est court : 1h09 sans générique. * Quelques gags surnagent dans le lot de vannes archi rabachées ou prévisibles. Mais pour donner le niveau, les meilleurs gags seraient les moins droles dans un Scary Movie version Zucker. Points négatifs : * Aucun sens du rythme. Meme si le film est court, les scénaristes écrivent comme pour une comédie normale (où il y a déjà théoriquement pas mal de rythme), ce qui fait foirer la plupart des vannes. Les scènes s'étiiiiiiiiiirent là où il faudrait ne laisser aucun repit au spectateur. En gros, c'est certainement plus fendard sur le papier. * Des references un peu trop americaines : Si vous ne connaissez pas la télé realité americaine, il y a certaines scenes qui laissent de marbre (encore plus, je veux dire ) * Certaines parodies restent droles meme si on a pas vu les films parodiés (Hot Shots! 2). Ici, ce n'est pas le cas ! De plus, on nous case un sosie niveau "C'est mon choix" de Daniel Craig qui apparait 8 secondes chez Narnia, comme ça on peut rajouter une référence gratuite à "Casino Royale"... mouais... * Les parodies de clips/chansons. Casse completement le rythme, le film n'en avait deja pas besoin ! * Enfin, ils s'obstinent à parodier des films deja droles (Nacho Libre, Pirates des Caraibes, Borat, Harold et Kumar). Aucun interet. Le gag le plus drole : Le héros, parodie d'Angel (X men 3), a des ailes de... poulet, et fait la poule quand il a peur. Le gag le moins drole : David Caradine qui cachetonne 1mn30 et fait du smurf... triste... Un gâchis assuremment. Mieux dirigés, les scenaristes pourraient peut etre pondre une parodie potable. 3/10 Malgré le 0% (oui ! 0% ! Comme les yahourts !) de critiques favorables sur Rotten Tomatoes (surement aussi dû au fait que le film n'a pas été projeté pour la presse), le film marche pas mal aux USA mais un peu moins bien que Date Movie : Il sortira en France sous le titre BIG MOVIE.

Ce que Charlie's Angels aurait dû être s'il n'avait pas était écrit avec les pieds! La meilleure adaptation de jeu video depuis Mortal Kombat ! L'image est belle, les filles sont belles, les choregraphies sont belles, le film va à l'essentiel (du combat, du combat, du beach volley, du combat !), ça dure 1h15, Eric Roberts vieilli super mal et se prend pour Steven Seagal mais on s'en branle ! Bref le seul defaut est qu'il est PG-13 sinon c'est l'éclate ! IL LE FOOOOOOOOOO !!!!!!!! 6/6

Vous souhaitiez les voir crever dans leur merde mais pourtant ils reviennent Jason Friedberg et Aaron Seltzer s'attaquent cette fois entre autres au Monde de Narnia , Snakes on the Plane , Pirates des Caraibes 2 , X-men 3 , Superman Returns , Nacho Libre ,Da Vinci Code ,Harry Potter , Charlie et la Chocolaterie (avec Crispin Glover dans le role de Willy Wonka ), Paris Hilton, et même Borat ! Le Trailer : http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoID=1458909704 Sortie américaine le 26 Janvier 2007. Sinon ça a pas l'air terrible mais j'irais quand meme le voir, comme d'hab

Craig est 1000 fois plus bourrin que Sean Connery (mais moins myso, epoque oblige), beaucoup d'audaces (la scene de Poker qui doit durer 20/30 mn, les dialogues plus crûs, la torture, l'histoire d'amour qui prend son temps, les scenes de comedie entre Bond et Vesper, la sequence du Gun Barrel integrée au recit, Martin Campbell qui filme comme Jean Marie Poiré dans certains plans ), très surprenant ! Niveau "incoherences", n'oublions pas que James Bond est repris à zero, et non pas une prequelle à Dr No ou je ne sais quoi. Par contre il existe trois orchestrations de la chanson generique : Celle dans le film, Celle dispo en telechargement il y a quelques semaines; Celle du clip. 5,5/6 (ben oui y a pas Q ni Moneypenny et on parle de James Bond quand meme) _________________

"Il faut se rendre aux Etats Unis. -Pourquoi ? - Parce qu'on a affaire à un serial killer. Et les serial killers, y sont americains !" et le coup de la disquette avec "FBI" dessus sans oublier la filature abandonnée en plein milieu pour aller bouffer au MacDo du coin

Première réalisation de Clint Eastwood, qui tient également le premier rôle, ce film raconte l'histoire d'un homme dont l'amante va se révéler une dangereuse psychopathe prête à tout pour être aimée de notre ami Clint, jusqu'à éliminer les "élements perturbateurs". DJ dans une station de radio locale, Clint diffuse des morceaux de jazz à la demande des auditeurs. Il tombe un soir sur une femme lui demandant de jouer le morceau "Misty" pour elle... puis un deuxième soir... En clair, c'est Liaison Fatale avant l'heure, et en mieux ! Là où le personnage de Michael Douglas n'avait que ce qu'il méritait, on compatit devant le calvaire de Clint au travers de scènes qui seraient anodines hors contexte. Là où Adrian Lyne nous montre à quel point Glenn Close est bouh vilaine méchante en faisant cuire le lapin domestique du môme de son amant , Eastwood nous montre un type qui rentre chez lui et voit cette femme souriante, rentrée par effraction, remplir tranquillement son frigo. Un film un peu long, un peu naïf (l'image d'Epinal du couple gambadant dans l'herbe encerclé d'un halo flou), mais assez maîtrisé pour un premier long métrage où la passion de Clint pour le jazz transpire comme son personnage du Manchot dans la trilogie des Dollars. Sans ce film, Liaison Fatale n'aurait certainement jamais vu le jour... Merci qui ? Merci Clint ! NB : Les amateurs de "Côte Ouest" reconnaitront la sublimement blonde Donna Mills dans le rôle de la fiancée de Clint.

Paramount Home Entertainment a annoncé la sortie en dvd zone 1 de Police Squad : l'Intégrale de la Série, pour le 7 Novembre 2006. Cette comédie satirique oppose le lieutenant de choc Frank Drebin et son Capitaine (Leslie Nielsen & Alan North) aux éléments criminels perturbateurs dans une grande ville. Par les créateurs de "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?". Ce dvd contient les 6 épisodes, parsemés de gags percutants et de dialogues incompréhensibles. Ce dvd comporte : Plein Ecran Anglais Mono & DD5.1 Surround Interview inédite avec Leslie Nielsen Featurettes making-of Commentaires Audio par les créateurs sur certains épisodes Bêtisier Et bien plus ! Quelques dialogues (dont certains repris dans les trois films) :

Seul regret, la photo du film trop terne et un scenar un peu mince malgré les 2h30 qui passent toutes seules. C'est plutot le debut qui est longuet. Les scènes avec Luthor sont geniales et y a plein de repliques marrantes : Quelques effets spéciaux ratés (z'ont toujours un problème avec les flammes en CGI) même si pour la premiere fois, Superman vole vraiment ! (sublime plan final), mais des acteurs au top (Sert à rien de comparer Routh à Reeve, personne lui arrivera jamais à la cheville) meme la mimi Lois Lane envers qui j'avais un gros à priori passe assez bien. 2-3 moments où j'ai versé ma larmichette (le generique, Superman sur le terrain de base ball, Superman et le gosse à la fin). J'ai apprécié le clin d'oeil à Reeve sur le dernier plan du film. Dommage qu'on ait droit à un generique de fin normal au lieu de reprendre le style du generique de debut. Sûr que Superman qui espionne son ex, ça fait bizarre, mais si on ne me l'avais pas raconté avant je pense que ça ne m'aurait pas fait autant tilté ; et puis Superman a été élevé comme un humain alors ne ferait-on pas la meme chose à sa place ? (Hollow Man style) Le coup du piano est excellent et vive la musique de John Williams en 5. 1 ! Y en a 4 qui me font cet effet là : Superman, Star Wars, Mission Impossible et James Bond.

Il a dit qu'il ne realiserait pas de suite, mais un "nouvel" episode à la Rob Zombie

A la premiere Nuit Excentrique, y a eu une bande annonce d'un de ses films avec un sous Fernandel. "Et puisque c'est un film d'Emile Couzinet, on y rit, on ira !"