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Lord Ruthven

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Tout ce qui a été posté par Lord Ruthven

  1. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Bon j'ai vu la bête. Pour moi, ce n'est clairement pas le navet raciste, nazi et mysogine que j'ai pu lire. Certes, y'a une nympho qui branle un chien (!), mais autrement, les femmes ont plutot le beau rôle, comparé aux mecs qui sont des boeufs en rut. Ceci dit, Sheitan est un non-évènement, et reste tout sauf indispensable. C'est un court métrage qui s'étale sur une heure et demi, y'a des scènes trop longues, on s'ennuie pas mal, Cassel surjoue complêtement, y'a un énorme -et trop long- clin d'oeil à Dobermann sur la fin...c'est complètement imparfait, ça se cherche un peu entre la comédie (?) bien grasse et le film d'horreur de pote. J'ai presque envie de dire que c'est un film d'horreur qui ne s'assume pas. J'ai pas destesté. J'ai pas aimé non plus.
  2. OUEEEEEEEEEEEEEEE !! Bordel, avril, c'est loinnnnnnnnnn
  3. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Je ne parlais pas de qualité non plus, mais de différences de registre.
  4. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Moi je vois mal comment on peut mettre sur un pied d'égalite un film comme Taxi, qui quoiqu'on en pense est une comédie, avec des films comme Scarface ou True Romance, qui sont des polars. L'approche n'est pas la même. Entre rire d'un beur qui fume des joints et fait la course avec des flics présentés comme des benêts (ressort comique qui ne date pas de Besson, cf Sheriff Fait moi peur ) et faire un film de gangster violent sur un baron de la drogue, il y a quand même un monde.
  5. J'ai bien aimé, mais il faut reconnaitre que ce n'est pas le meilleur Scorcese...ce qui est un comble compte tenu du sujet. Ca commence plutot bien, je me suis retrouvé devant un Braveheart version guerres des gangs... Puis après il se passe plus grand chose, pas mal de politique, puis surtout, on se rend compte que le films ne devraient pas s'appeler Gang of New York, mais The Revenge of Amsterdam Vallon. Puis il y a Di Caprio. C'est bon acteur, rien à redire, mais ça reste Di Caprio. Amsterdam blessé, c'est Di Caprio avec du sang sur sa chemise, Amsterdam defiguré, c'est Di Caprio avec une balafre. Di Caprio ressemble toujours à Di Caprio. Je ne sais pas si je me fait bien comprendre, mais j'ai toujours vu Di Caprio faire ci et ça, jamais les péripéties d'Amsterdam. Sinon Daniel Day Lewis est impeccable sous sa fausse moustache. Reste la fin, une émeute qui tourne au carnage et son plan final qui montre que oui, New York, si ce n'est l'Amérique, est bien née dans la rue. Un bon film, quand on sait à quoi s'attendre.
  6. Tu as tout dit, un joli petit film. Je n'en retiens ni plus ni moins. "Who is Dragonfly ?"
  7. Second degré, je ne sais pas. Pour moi, le Loup Garou de Londres est le film tragi-comique parfait, comme savent le faire les Anglais justement. Ou comme le Retour des Morts Vivants. Un film que j'aime beaucoup.
  8. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Même pas vrai ! Ne serais-ce que pour le talent de Kounen.
  9. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    Oui mais Dobermann c'est un putain de bon film qui édente les bénitiers, comme dirait Wonkley.
  10. Lord Ruthven

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    ?? C'est pas l'histoire d'une bande de djeuns traqués par un paysan cinglé ?
  11. Ah d'accord. D'ailleurs Sir Frayling cause dans ce bonus. Mais quand bien même, cette pub pour le musée n'a rien à voir avec un "documentaire sur le nouveau style créé par Leone dans ses westerns" (cf la jaquette du collector, merci MGM )
  12. Celui là par contre je l'aime bien.
  13. Bah ça vaut pas la Montagne du Dieu Cannibale, où au moins y'a un mec qui sodomise un vrai cochon. Plus sérieusement, j'attendais -à tort visiblement- quelque chose de plus brutal et tendu que cela. C'est plus un drame qu'un survival.
  14. Bof, moi ça m'a pas mal ennuyé ce film. Je comprend pas trop sa reputation. En soi, il est bien, mais sans plus.
  15. Je remonte ça pour dire que sur le DVD collector d'Il Etait Une Fois la Revolution, il y a un documentaire éponyme. En fait, ça n'a rien à voir, c'est un reportage sans intéret sur un musée...Je comprend pas trop, mais c'est comme ça.
  16. A noter d'ailleurs que contrairement à ce que laissent présager les affiches, De Niro n'a pas un rôle d'importance -scenaristiquement oui, mais physiquement non-. Le film tourne surtout autour de Calogero.
  17. J'avoue que je ne sais pas trop si il fallait mettre ce film de Robert de Niro en cinéma ou en bis américain. Dans le doute, je l'ai mis ici, sinon merci de le déplacer. Il Etait Une Fois le Bronx commence un peu comme les Affranchis -les gangsters aux surnoms exotiques, le bar pleins truands, le gosse attiré par le Milieu-, mais au final, n'est pas tant un film de gangsters que l'histoire...du Bronx justement. La montée du racisme, l'arrivée du gettho Affros Américains, la musique...au milieu de tout ceci, l'amour de Calogero pour une jeune noire, Calogero tiraillé entre ses potes racistes, son père (De Niro), et le paternaliste Sonny. Tourné durant les années 90, Il Etait une Fois le Bronx, en plus d'être influencé par Scorcese -on notera un caméo de Joe Pesci- semble débarquer des années 80 et des films qui se faisaient à New York à cette période, avec son coté documentaire, sa caméra à l'épaule... Un peu déconcertant lorsqu'on ne sait pas à quoi s'attendre, Il Etait Une Fois le Bronx n'en est pas moins un excellent film, avec une Bo de haute volée, entre punk, soul...On oubliera pas de sitot cet attentat sur fond de James Brown.
  18. Il y a d'alleurs une scène de malade où un stock shot d'avion se fait courser par un stock shot de missile. Le monteur a de l'avenir.
  19. Tout commence dans un complexe militaire quelconque où Dolph et une poignée de bidasses sont chargés de récupérés un avion furtif. Dolph flingue une tripotée de gusses, s'empart de l'appareil et s'en va, tout va bien. Pour le récompenser de cette glorieuse mission, son chef l'envoi en vacance en Russie servir d'escorte à un sous-marin transportant un virus extrèmement nocif, au taux de mortalités de 100% : l'agent rouge. Après un retard d'avion et un trajet de taxi -conduit par un sosie de Popeck -, Dolph arrive sur place et tente de se rabibocher avec son ex, biologiste de la mission. Ce qui nous vaut d'irresistibles scènes où notre ami Dolph, inexpressif comme toujours, cours après une brune aux gros seins, une bague de fiancaille à la main. L'agent rouge, arme chimique fabriquée par les Américains puis chippée par les Russe est désormais remises aux Yankees par ces mêmes Russes, inquiet quand à la sécurité toute relative entourant cet amas de microbe. Hors, un commando Russe décide de profiter du transfert pour s'emparer de l'Agent Rouge, la finalité étant de bombarder New York et Moscou, afin de manifester leurs désaccord quand aux armes de destruction massive. Sitot dit, sitot fait, le sous-marin est investi, l'equipage mort, Dolph est assommée par un Russes plus costaud que les autres et la jolie biologiste capturée. Mais Dolph se réveille, s'énerve et après avoir rossé quelques Russes, récupère sa dulcinée. Celle ci s'inquiète : que faire pour empêcher la catastrophe, demande-t-elle à Dolph. L'intéressé a un plan tout prêt : "nous allons tous les tuer et balancer le virus dans un tube lance torpille". Yeah, ça c'est envoyé, bien joué Dolph ! Et oui, Dolph Lundgren c'est pour ça qu'on l'aime, il sait nous parler, sait ce qu'on attend et surtout, il ne prend pas de pincette. La suite du film est une sorte de Piège en Haute Mer mâtiné de Rock, où Dolph flingue et tabasse tranquillement sans qu'un rictus de compassion n'envahisse son visage. Un telefilm d'action efficace, quelques sautes de rythmes, mais très distrayant. Merci NT1.
  20. Un relecture sauce Prohibition de Pour Une Poignée de Dollars que j'aime particulièrement. Revu plusieurs fois avec le même plaisir, c'est violent, poussiéreux, pas drôle et Bruce Willis se prend pour Chow Youn Fat...tout ce que j'apprécie. Juste le duel final avec Christopher Walken me déçoit un peu. Trop court.
  21. Mon beau sujet ! Si j'avais su, j'aurai mis les images directement.
  22. Entre espionnage et action, Schwarzie joue un agent de la protection des témoins, soit dans les fait, les "effacer", faire qu'ils n'ont jamais existés. Evidement, un jour, tout ne se passe pas comme prévu. Film plutôt cool, avec une scène à la Duke Nukem où Arnold plombe du malfrat avec un fusil laser dans chaque main. Le scénario a le mérite d'être original.
  23. Si il n'y a que ça pour vous faire plaisir : http://www.alyssamilano-fr.net/photos-alyssa-milano-nue-embrace-of-vampire.php3
  24. "- Vous allez entendre une drôle de petarade !" La cabine, le siège auto, le lance-roquettes à quatre trous...que la fille fait tirer dans le mauvais sens ...
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