Aller au contenu

Lord Ruthven

Membre ZoneBis
  • Compteur de contenus

    7 767
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Messages posté(e)s par Lord Ruthven

  1. Pas aussi mauvais qu'on veut bien le dire. Effectivement, pas toujours très bien joué, ponctué de passages 80's qui rappellent d'autres nanars de la période (la mort et son ordinateur, le repas au quick où on s'attend à voir  débarquer Francis Huster...), mais aussi ponctué de belles idées visuelles. Film pas évident en fin de compte, il faut laisser à Delon le mérite d'avoir tenter la chose.

  2. Bon c'était bien en fait. Ceux qui ont joué à Sonic retrouveront l'univers de ci de là, les enfants y prennent visiblement du plaisir et Jim Carrey s'amuse.

    C'est rythmé, pas trop long, les humains sont pas lourds et la tentative de construire un univers autour d'une base inexistante en vaut bien une autre.

  3. Pas si mal mais il manque un truc. C'est là qu'on voit que la franchise est profondément reliée à New York. Ecto 1 en pleine cambrousse, c'est bizarre. D'ailleurs le meilleur moment du film est sans doute....le plan final sur New York avec le logo.

     

    Partant de là, le film fait ce qu'il peut, et fait d'ailleurs plutôt illusion dans son intro qui brasse de Planète Interdite à Evil Dead en passant par Fog.

     

    Après c'est plus routinier. Y'a pas vraiment d'émotions ou d'humour marquant, sauf peut être la scène des chamallow, assez Gremlins dans l'esprit. Ressortir Gozer, c'est la fausse bonne idée.

  4. Pas très bien foutu -tout est mis en place pour une baston avec Ramzy qui n'arrive jamais - mais pas déplaisant.

     

    La participation de Mike Tyson est du niveau du caméo de Ragnar : ça a sans doute fait plaisir à quelqu'un mais ça n'a pas grand sens.

     

    Le film a une tonalité bizarre, ce sera peut être le film de transition de Gastambide vers un cinéma moins Kaïra.

  5. Un chouette film, même si il abandonne son propos en cours de route pour nous parler de dépression et de crise du couple. 

    D'ailleurs le message a un peu le cul entre deux chaises. L'alcool a des bienfaits mais aussi c'est pas bien de picoler ? J'attendais davantage que cette réponse de normand.

  6. Sympa, une intrigue à l'anglaise qui fait presque regretter que l'histoire nous fasse sortir des murs du manoir (il y a même une  poursuite en voiture). Un vrai huis clos sous une nuit d'orage aurait été parfait.

     

    Après il faut bien admettre que,  pour celui ci ou pour Glass Onion, autant c'est sympa, autant niveau enquête et mystère ça va pas bien loin. 

  7. Gentiment ludique. Une belle brochette d'acteurs qui s'amusent, une intrigue pas trop simple mais pas trop complexe non plus -dont le fin mot pourrait être "PAAARCE QUEEEE !" -, le soleil de la Grèce....

    J'aurai quand même du mal a trouvé ça génial, mais c'est sympa.

  8. Le film est bizarrement construit, il se passe rien pendant 1h puis c'est les montagnes russes.

    Sinon oui c'est plutôt joli (merci Argento).

     

    Je dois bien avouer que depuis Hot Fuzz, les films de Wright me font un effet 😐 (voire dans les mauvais jours,  depuis Shaun of the Dead).

  9. La Mini Nes est en rupture, sauf sur Vlnted où ça devient le bon plan. Notamment des "pack" avec rallonges de manettes, ce qui est indispensable si on veut vraiment jouer.

     

    Le truc fait le taf. Faut quand même reconnaître qu'il y'a quelques jeux qui sont injouables/incompréhensibles. La nostalgie fait pas tout.

     

     

  10. Bon, Stephen King a repris la forme.  On peut même dire qu'il s'amuse :

     

    Après

    Exercice de style sympa pour King qui adapte son écriture en fonction de l'âge de son protagoniste.
    L'histoire est plutôt touchante et prenante, on retrouve la peinture de l'enfance douce-amère chère à l'auteur. Même si l'argument surnaturel est assez rincé.

     

    Billy Summers

    King combine roman noir et peinture de la classe moyenne et s'en sort plutôt bien. Pas une once de surnaturel ici, tout juste croise-t-on l'hôtel Overloock à l'occasion d'une virée dans le Colorado. Certes son personnage de "tueur à gage qui veut raccrocher après le proverbial dernier coup" n'invente pas l'eau tiède mais les chapitres défilent. Bizarrement, rappelle assez Joyland dans l'esprit.

  11. Django, c'est 1966, deux-trois ans seulement après Pour une Poignée de dollars, et quelque part , c'est déjà la fin. Tout y est crade, ordurier, excessif, il ne manque pas grand chose pour que ça tombe dans la parodie (Trinita justement est juste un pas supplémentaire de côté).

    Au détriment du "scénario" sans doute, bien que Franco Nero se démène plutôt bien pour faire exister son pistolero antifa.

×
×
  • Créer...