tromatoxic

Globalement le même avis en ce qui me concerne. Le film est très très long au début. Il se bonifie en avançant, avec des passages bien jubilatoires vers la fin, mais le total reste très moyen. Rien à voir avec un bon délire à Dodgeball, le film m'ayant plus fait penser à "small soldiers". Il s'agit d'un film essentiellement dédié aux enfants. Exit les délires habituels de Ben Stiller dope et cul.

J'ai fait une recherche sur le site mais curieusement rien trouvé sur cette excellente série diffusée sur 13ème rue. J'ai vu cette semaine le chef d'oeuvre de N.Ibanez Serrador et j'en suis encore retourné!! Aussi fort que le jennifer d'Argento! Spolier Un bijou de mise en scène qui rappelle très fortement "Innocence" de Lucile hadzilovich. L'art d'angoisser avec ce que l'on imagine être...

L'affiche du film nous apprend qu'il était interdit aux moins de 16 ans, surement à cause de sa profusion (pour l'époque) de nichons... L'un de mes premiers souvenirs d'érotomane, tout petit devant la télé avec mes parents...

Un film vraiment très special oui. Ca ressemble à du Robe Grillet ou à du Resnais tendance Marienbad. Avec de la bonne fesse

Vu sur ciné FX l'année dernière. Le film aurait pu être canon. Le thème, le décors, la sensualité et le décors sont là, mais au niveau traitement c'est pas ça. Le film est ennuyeux et la photo est beaucoup trop sombre (mauvaise copie? film abîmé??)

Vu hier. C'est une vraie bouse. Je me suis emmerdé du début à la fin. C'est looooooooooooong.... Personnages sans charisme, scénario sans enjeu avec chute de série Z. Aucune scène mémorable. C'est aussi un film très soft (alors que le bouquin est paraît-il plutôt hard) comme en témoignent les scènes du film porno clandestin, aussi cochonnes qu'un épisode de Benny Hill. En plus, c'est tellement mal réalisé qu'on confond les différents personnages (j'ai trouvé le film franchement difficile à suivre). Les personnages apparaissent et disparaissent sans cesse et au bout d'une heure dès que l'on en voit un réapparaître, on ne sait plus vraiment qui il est. Les acteurs ont un charisme zéro à part Hilary Swank. Quant à Scarlett Johanson, elle joue effectivement comme une table...

Vu cette semaine sur cine auteur. Un vrai étron. C'est laid et chiantissime

Film Eurociné à la paternité douteuse, mais attribué par Christophe Bier à Marius Leseour, cette LORNA est un film à pisser de rire. Vraiment! Sur un scénario sans aucun sens et souvent inompréhensible, le film traite grosso modo d'une sorte de commando envoyé dans un pays arabe pour venger une société de la perte d'un marché. Le plus croustillant du film reste les dialogues totalement idiots que l'on se fait un plaisir de décortiquer mot par mot pour y trouver notamment des jeux de mots cachés (comme dans la scène de la barque où à force de ramer l'un des personnags lâche que c'est pas gai- pagaie...) Ce qui est très drôle aussi ce sont toutes les scènes dans lesquelles Florence Cayrol trouve le poyen de se foutre à poil, notamment lorsqu'elle part en repérage en débarquant sur la côte (qui ressemble d'ailleurs plus à la normandie qu'à l'arabie saoudite). Mais sa meilleur scène reste son combat de karaté à poil contre les méchants!!!

Pareil! C'est le meileur film de son auteur et paradoxalement l'un des seuls inédits. Emouvant!

Ca y est voici le site : http://www.capdev.net/trimurti-seminaires/programme.asp?i_lang=2

Ce qui est amusant c'est de voir ce qu'est devenu Mario Mercier. Je suis tombé sur son site il y a quelques temps (désolé je ne le retrouve plus) et il anime une sorte de secte pour laquelle il fait du chamanisme je crois.

C'est le genre de film qui n'est visible qu'en salles... A l'époque quand je l'ai découvert, après avoir adoré les 2 premiers films de Dumont, j'ai fait un rejet total du film et je crois que c'était bien le but du réalisateur. 1H30 de couple mongolo en train de se rouler des patins dans le désert sans sexe c'est carrément imbuvable. Mais cette 1H30 d'hypnose gaga ne sert qu'à une seule chose : mettre en transe ou en état d'agacement pour mieux amener la chute finale. C'est un film concept, totalement hors norme. Quant au côté aspetisé de la chose je n'ai pas compris le choix de Dumont. Alors qu'il avait rajouté des scènes quasi X dans ses deux premiers films qui le justifiaient pas, "29 palms" est on ne peut plus sobre alors que son scénario ouvrait la voix à tous les excès. Dumont est décidément toujours là ou on ne l'attend pas.

C'était la première VHS que j'avais achetée chez UNCUT. Je confirme tout le mal qui a été dit plus haut sur ce film chiant à mourir.

Sharon stone y est magnifique... mais ouch... elle vise bien les couilles la garce!!

Suite et fin des photos [/img] ouf

Bon c'est bien galère pour intégrer les photos... Visiblement, on ne peut plus les mettre où l'on veut une fois le texte tapé Suite des photos : [/img] [/img] [/img] [/img] http://img219.imageshack.us/img219/9201/comteseixe13nt6.th.jpg' alt='comteseixe13nt6.th.jpg'>

Il s'agit de l'un des pornos de Rollin les plus fréquentables. Dans la campagne française chère aux productions de l'époque, des bourgeois (inévitable car le X n'a que très peu oeuvré dans le social, les pauvres ne faisant pas bander) habitent une belle demeure. Mais rode autour du manoir, une délicieuse voleuse vétue tout de noir. Pendant qu'Alban Ceray s'active dans le salon, La jolie voleuse pénètre la demeure et après avoir pris ce qui l'intéresse, à savoir une enveloppe, commence à se toucher, excitée par les talents de l'homme aux 1000 films X, notamment avec une bougie qui fouille son entrejambe velue. Une fois rejoint le parc, nous aprenons que l'enveloppe volée était destinée à la comtesse ixe en vue de son invitation à une soirée mystérieuse. Cette soirée n'est autre qu'un rassemblement de jeunes gens de bonne compagnie que la voleuse va rejoindre en usurpant l'identité de la comtesse ixe. Après avoir versé une substance dans le champagne, la voleuse commence à exciter tout ce petit monde par un strip tease. Très vite c'est la partouze... Ce qui permet d'apercevoir quelques beaux phénomènes de pilosités féminines, y compris sous les bras (on est en plein dans les seventies les gars) On y croise des sacrés touffes et du jolie monde, comme ici à droite Karine Gambier. Mais que se cache donc derrière cette usurpation d'identité??? ben faut voir le voir pour le savoir, vu que c'eset le seul coup de théâtre du métrage.

Ca y est j'ai reçu le DVD ce matin. Packaging sympa avec une couverture carton recouvrant le DVD plastique. Je n'ai eu le temps que de voir le début et l'image est très bonne compte tenu de l'âge du film. Présence d'une VO Italienne. Quant au sort de ma VHS... avant de la céder au plus méritant, je vais quand même comparer les deux versions avant... En effet, la version VHS que j'ai est une vieille copie de videoclub faite il y a une dizaine d'année... alors la jaquette, je ne me souviens plus très bien... J'aurais peut-être la bonne surprise d'y retrouver une version intégrale...

Sortie le 13 septembre prochain du nouveau film de Brisseau que j'ai pu découvrir soir en avant première au Métropole de Lille , suivi d'un débat avec Brisseau lui même et sa jeune actrice Lise Bellynck. Beaucoup de choses à dire tant cette séance m'a sorti par les trous de nez... Spoilers possibles Le film lui même : l'histoire est simple, c'est celle de son procés, tel qu'il aurait du être... Un réalisateur fait passer divers auditions à deux jeunes filles en leur demandant d'exposer leurs fantasmes et de se toucher. Il en recrute 3 à qui il fait miroiter un rôle, avant que cela ne se retourne contre lui. Sur la forme, le film est très moyen. Images ternes, peu de décors différents, une mise en scène lente et redondondante qui ressemble à celle, assez télévisée, des "choses secrètes". Brisseau a souhaité faire "un mélange des genres", râté, entre des scènes qu'il estime comiques (le fille qui glisse en faisant un strip tease???) et d'autres surrealistes (le surrealisme selon brisseau est de rajouter une symbolique à deux balles avec apparition de fantômes et d'anges, et reprises d'extraits sonores de l'"orphée" de Cocteau...) Le reste du film est constitué de scènes de cul, qui sont les seules à sauver. Brisseau va d'ailleurs beaucoup plus loin que dans ses derniers films sur le plan érotique et à mon avis le film sera interdit aux moins de 16 ans. J'arrive à ce qui fâche encore plus... Le fond du film est AHURISSANT. Dans la salle, visiblement très peu de spectateurs étaient au courant de son procès et ne lui ont posé que des questions lambdas très secondaires. Or chaque seconde du film transpire des rancoeurs de sa condamanation! Et le Monsieur Brisseau ne veut absolument pas que l'on en parle. Quand j'ai commencé à lui poser la question, il m'a interrompu pour passer à la personne suivante!!! D'ailleurs il a déclaré qu'il refusait toute promo télé pour ce film, au motif qu'il ne voulait pas que soient abordées les questions qui fâchent!!!! (C'est sur qu'en venant présenter le film à Lille, il espérait tomber sur un public de blaireaux finis...) Or, le problème est que le film est indissociable de son procès!!! Et ce qui fâche, tout en fascinant en même temps, c'est que tout son film n'a qu'un seul but : présenter Brisseau comme une pauvre victime des jeunes filles à qui il a demandé de se masturber dans 36 essais sans rôle à la clé!! Il était trop naïf, il n'a rien fait, et n'aurait été que manipulé par ces jeunes filles de 18 ans et quelques, lui le vieux roublard qui a mis à poil Vanessa Paradis et consorts.... Je me marre!! Et j'imagine la tête des juges et des parties civiles qui vont avoir une crise cardiaque en voyant ce brûlot!! Super glauque, infect... mais finalement assez jouissif et couillu.... Je n'ai pas le souvenir d'avoir vu un film aussi nombriliste, même si selon Brisseau le film ne s'inspirerait de son vécu qu'à hauteur de 15 % (Sic!!!). Bref un foutage de gueule total, confirmé par le débat après le film où Brisseau n'a pas eu les couilles de reconnaître que son film n'avait qu'un seul but : exprimer toutes les rancoeurs de son procès et le refaire comme il aurait voulu qu'il soit. Cette hypochrisie très agaçante était confirmée par son attitude lors des débats, à ne parler que de ce qui allait dans son sens et à couper la parole à tout le monde, y compris à la jolie Lyse bellynck qui n'a pas pu placer un mot vu qu'il répondait à sa place... Dommage pour elle, puisqu'elle était aussi coproductrice sur le film et avait l'air d'avoir des choses plus intelligentes que lui à raconter... En tout cas, c'était aussi troublant de voir cette jeune actrice en chair et en os, un brin timide, affronter le regard de ses spectateurs quelques minutes après s'être montrée sur un écran géant, une boule de verre enfoncée dans sa jolie chatte blonde...

C'est inodore le LSD

Je viens de le voir en salles (avec deux spectateurs devant moiqui se sont barrés de la scène juste après la parodie du couteau de Crocodile Dundee). Eh bien ma conclusion est très simple : c'est tout bonnement le meilleur survival que j'ai vu depuis ces quelques années. Wolf Crek c'était le film que j'attendais en allant voir détour mortel, haute tension, calvaire et la colline remake... C'est un film adulte, mûr, qui ne se perd pas dans des symboles ou des clichés à deux balles. Au début j'ai eu un peu de mal avec le tournage caméra à l'épaule et la multitude de gros plans, mais je m'y suis fait peu à peu. La première partie du film est certes peut être un chouillat trop longue mais permet de bien amener les personnages, qui sont vraiment très crédibles (à la diffférence par exemple des personnages puants de stéréotypes de la colline version AJA...) SPOILER Ce qui est aussi remarquable dans le film c'est le changement de perspective d'un personnage à l'autre. Alors que l'on s'attendait à ce que la jolie brune sauve tout le monde, elle se fait méchamment dégommer au trois quart du film... dès lors on perd tout repaire pour être dans le même état d'esprit que les personnages... bien joué! Et pas mal de références aussi, du chien andalou (le nuage qui tranche le soleil couchant) jusqu'à massacre à la tronçonneuse (Marylin Burns ensanglantée sur la route), etc...

Je viens de commander SS camp 5. D'après ce que j'ai lu ce n'est pas la version intégrale, mais cela me permettra de mettre au rebut ma vieille VHS et d'encourager cet éditeur pour sa belle paire de couilles (notamment pour le visuel de la jaquette où il fallait oser!). review soon

Je viens de le voir en salles et j'ai été franchement très très déçu. Tout comme dans "haute tension", c'est une impression de vide et d'ennui que je garde. Les gens qui l'ont vu avec moi ont eu cette même impression et la salle ne n'a pas semblée retournée... La première demie heure est assez agaçante avec des personnages sans aucun intérêt et sans charisme, répondant à tous les clichés du film de genre US. Donc nécessairement... faute de s'intéresser aux personnages... on se contrefout complètement de ce qui leur arrive ensuite (voir un contre exemple dans Délivrance par exemple). Parmi les sauvages, on assiste à un catalogue de monstre sans qu'aucun n'ait le charisme d'un M. Berryman ou d'un leatherface. C'est un simple catalogue, appuyé très lourdement par 20 références aux expériences atomiques au cas où on aurait pas bien compris.... Bref, très peu d'angoisse, un peu de portnawak (le gamin qui fabrique un piège avec le hochet a fait rire toute la salle) et des monstres qui n'inspirent jamais la terrreur.

Un mauvais point pour les jaquettes des versions françaises, beaucoup trop spoiler! J'ai vu il y a peu l'épisode de Carpenter. Il est excellent, même s'il ressemble beaucoup à "l'antre de la folie". Il comporte aussi des scènes parmi les plus gores vues chez Carpenter!

Ce film est vraiment un bijou! J'avais acheté le DVD espagnol sorti chez manga film qui offre une photo somptueuse (mais hélas pas de sous titre français pour ceux qui ne parlent pas la langue.) Après un générique bien dérangeant, le film dérape en mix improbable entre "island of death" et "de si gentils petits monstres". Dans la même collection j'ai aussi acheté "la résidence" que j'adore tout autant