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Tout ce qui a été posté par DPG

  1. Et hop, là c'est moi qui ne t'aime plus !
  2. DPG

    Land of the Dead (2005) de George Romero

    J'ai pas encore lu les avis, je voulais rien savoir sur le film. Et donc je l'ai vu là, cet aprem' Je suis pas le plus grand fan de la trilogie de Romero. J'aime bien les 3 films, je respecte leur place ds l'histoire du genre, mais ça s'arrete là. Je dois meme avouer que je préfère les remakes de Savini et Snyder pour etre tt à fait franc. Et ben pourtant j'ai bien aimé ce 4e volet. Il trouve bien sa place avec ses grands frères, c'est bien foutu même avec assez peu de budget, Romero a encore des choses à dire. Le contexte social est plus présent que ds les 3 films précedents pour moi, je dois dire que j'ai toujours trouvé que l'aspect politico-social des 3 autres était largement surestimé. Ici c'est bien foutu, sans en faire 3 tonnes, le message est clair et efficace. C'est gore même si on a vu pire ailleurs. Et surtout ce qui m'a plu, ce sont les personnages. Aussi bien le héros que les rôles plus secondaires, je les trouve bien écrits et bien joués globalement, et c'est pr bp ds l'interet que l'on a à suivre le film. Voilà, pas le chef d'oeuvre du siècle, mais vu le challenge auquel s'attaquait Romero, et les attentes auxquelles il devait faire face, avec un budget limité, je trouve qu'il s'en sort avec les honneurs.
  3. Vu que tu penses pareil de "xXx 2" ça me donne encore plus envie d'y aller ! Verdict ds la semaine
  4. DPG

    Hot Boyz - Master.P - 1999

    Oula quel souvenir penible que ce "Hot boyz", vu une fois à l'achat et jamais revu depuis et j'en ai vraiment pas envie tellement c'etait à chier....
  5. "Mon Dieu faites que ce film soit une merde et qu'on ne voit plus jamais Dupontel salir des ecrans de ciné..."
  6. DPG

    "Big guns" (Duccio Tessari - 1973)

    Delon à 70 ans qd meme, c normal de vieillir quoi...
  7. Oui, je dois dire que j'ai detesté aussi "Volcano High", ça eclairera pt etre les opinions..
  8. Une escapade italienne pour notre ami Alain, pourtant bien moins connu que des illustres films comme "Rocco et ses frères" ou "L'eclipse". Néanmoins, il en ressort un excellent polar comme on aimerait en voir plus souvent. Le pitch : Un tueur à gages employé par la mafia, Tony Arzenta (Delon), désireux de se "ranger des voitures", voit sa famille disparaître dans un attentat fomenté par ses employeurs qui ne partage pas son choix. Commence alors pour notre homme, écorché vif, zombifié par la vengeance, aux aguets, une vendetta d'une violence sans limites. Dit comme ça, forcement, ça donne envie. L'histoire rappelle très fortement le "Big heat" aka "Reglements de comptes" de Fritz Lang (une autre bombe soit dit en passant), plusieurs scènes sont même très proches, mais ce film là est pourtant bien singulier. Mené tambours battants, ce film se rapproche des meilleurs polars italiens 70's (bon j'en rajoute un peu là, vu que j'en ai peu vu en fait... ), fusillades, poursuites en voitures, violence sèche, persos tous très charismatiques, tantot hommes d'honneur, tantot crapules sans morale, on a là un pur polar comme on en voit plus. Le personnage de Delon rappelle un peu "Le samourai" mais une sorte de Samourai humanisé, normal, il est sicilien. Ses liens avec sa femme et son fils, puis plus tard avec la jeune fille qui va l'aider, son amitié fraternelle avec son ami, ses rapports avec ses parents, rien ne manque pour permettre de rentrer dans le personnage et d'en saisir les différentes facettes. Mais une fois parti en guerre contre les pontes de la mafia, il ne fera aucune concession, laissant libre court à sa colère et à une violence expeditive. Tuco disait chez Leone "Quand on flingue, on raconte pas sa vie", Delon l'a compris et execute cette maxime à merveille. Tout ça porté par une musique 70's qui colle pile poil (et une chanson pour le generique d'intro à pleurer, il me la foooooooooo ), une jolie lumière en accord avec la mélancolie de son héros, une fin abrupte mais très belle, et une mise en images très efficace de Duccio Tessari, artisan bien connu des fans de bis italien. Delon a du apprécier car il confiera à ce même Tessari la realisation du "Zorro" qu'il tournera 2 ans plus tard. Un film donc assez peu connu ds la filmo du Dieu Delon, assez peu diffusé à la télé française il me semble, mais dispo ds un DVD tout à fait honnete. A redecouvrir d'urgence donc
  9. DPG

    Vos lectures du moment

    Un grand monsieur. Pas mal d'anecdotes touchantes.
  10. Sardou et particulièrement le Connemara comme l'a souligné Niko, je l'ai entendu bp plus souvent ds des soirées etudiantes qu'en boite (Dieu Merci). Ca conclue toujours pas mal de soirées medecine par exemple. Dans le genre divers et variés, fo tester les bodegas, là le DJ vous enchaine tout et n'importe quoi sans crier gare, g entendu recemment Sardou enchainé avec du Miss Kittin. Ca calme.
  11. Surement pas moi ! Déjà je l'avais choppé d'occaz, et bien je l'ai revendu aussi sec. Un des films que j'ai trouvé les plus mauvais ces dernières années (je dis pas que c un des plus mauvais, mais rassurez vous, ya des trucs surement pires que je m'epargne ). Je saurais pas trop en dire plus car j'ai déjà quasiment tout oublié, mais le concept à priori sympa et fun virait très vite au n'importe quoi le plus total, les combats m'avaient gavés il me semble, et c'était filmé avec les pieds. Enfin voilà, vous aurez compris que je ne me range pas du coté de la defense...
  12. J'avais trouvé ça mortel en salles. Donc acheté illico en DVD et revu. J'étais alors un peu moins entousiaste mais qd meme, même si la 2e partie est clairement moins réussie et que Assayas s'emmele un peu les pédales, ça reste plutot bon pour moi, voire très bon pour certains passages, japonais notamment.
  13. Et ben c'est rare mais je suis plutot d'accord avec SWS ! Vu cet aprem' donc, et c'est bien loin de la bombe qu'on me vendait depuis des mois. A peu près les memes reproches à faire au film que notre ami donc je vais pas repeter point par point, mais voilà, pour moi ça reste au niveau du film de fanboy, de ce que vous voulez, OK ça sent le vécu le pub, la playstation, mais ça suffit pas pr faire un grand film. Sympa qd meme, mais pas plus.
  14. Un des plus beaux films de l'histoire du cinéma pour moi. La relative lenteur, je la perçois comme un choix qui s'accorde parfaitement avec le ton nostalgico-mélancolique du film. Puis j'aime les films où des gens reviennent chez eux longtemps après. Puis la musique me colle des frissons à chaque écoute, le passage où les gamins courent avec la flute de pan derrière est une scène qui me fout la chair de poule à chaque fois par exemple. Chais pas, je saurais pas forcément en parler pdt 3 plombes mais je trouve vraiment ce film magnifique, quasi parfait.
  15. DPG

    Opération peur : Mario Bava (1966)

    Beaucoup moins convaincu, c'est simple je l'ai vu ya moins d'un an sur le DVD Mad et j'en ai aucun souvenir déjà De ce que je me rappelle, c effectivement plutot joli sur un plan esthétique, mais qu'est-ce que c'était chiant.... Sur ce que j'ai vu de Bava pour le moment, je crois que c'est vraiment pas pour moi comme cinéma... (à deux-trois exceptions près qui sont mortelles ceci dit)
  16. DPG

    Sitges & San Sebastian 2005

    Oula malheureux c trop tard pr moi tout ça, je serais déjà remonté dans la ville où il pleut et fait mauvais même en juillet, si je vais ds le coin ce sera plutot un mois, voire 2 avant ça donc.
  17. DPG

    Sitges & San Sebastian 2005

    C'est quand San Seb, je trouve pas la date là, et j'irai pt etre si c pas trop tard vu que j'ai des amis juste à coté ?
  18. Je pense que le principal problème, est qu'en allant voir ce film, tous les gens que l'on croise sur des forums ou dans la presse... vont pas voir UN FILM, ils vont voir UN FILM DE TIM BURTON. Vous me direz que c'est aussi valable pour Spielberg, Tarantino, et j'en passe et des centaines d'autres, et c'est tout à fait vrai. Mais pour Burton, je crois que ça accentue encore le phenomène, tant ses premiers films marquent un style fort, et un style qui était de toute façon destiné à evoluer, ne serait-ce qu'au niveau de ses thématiques (un "Mars attacks" c très fun, un "Ed Wood" c très touchant, mais il va pas en refaire 15 de la sorte, ou même 2, contrairement à je sais pas moi, un Scorsese qui pourrait torcher 10 films de gangsters et qui satisferait toujours du monde, même si Dieu merci il en se contente pas de ça). Donc voilà, pour moi "Charlie" est un excellent film, je comprends bon nombre d'arguments des détracteurs, car il a des partis pris très tranchés. Qu'on trouve les Oompas horripilants, les décors trop colorés, ou tout un tas de choix esthetiques pourris, chacun ses goûts, et c'est normal que ce film ne fasse pas l'unanimité finalement. Après ce qui m'enerve, c'est de lire (pas specialement ici hein) tout et son contraire. Si Burton "fait du Burton" on rale, on dit que c prévisible, qu'il se parodie, etc... s'il fait autre chose, on se plaint, c'est plus le Burton qu'on aimait, il a changé, etc... Et ça c'est un peu pareil avec les reals dès qu'ils commencent à construire une "oeuvre" j'ai l'impression. Des fois, j'en viens à regretter l'époque où on avait pas l'age de savoir vraiment ce qu'on voyait, où on ne connaissait pas les 2/3 du film par internet avant meme qu'il soit sorti, où on aimait tel ou tel film sans parfois même savoir qu'ils étaient fait par la même personne , sans mettre un seul nom de real sur un film tt simplement. J'ai connu Burton comme ça, en voyant "Batman", "Beetlejuice", etc.... presque par hasard j'ai quasiment vu toute sa filmo en salles en fait alors que ce n'est pt etre qu'à partir de "Sleepy hollow" que j'ai eu conscience que "j'allais voir un Tim Burton", j'aime tous ses films à des degrés divers allant du "sympa" au "chef d'oeuvre", et ça m'ennuie de voir comment il est parfois traité aujourd'hui.....
  19. Un peu la flemme de developper en long en large et en travers, mais moi j'ai trouvé ça génial, ça pête de couleurs, mais sans jamais être l'ecoeurement, c bourré d'idées, de fraicheur, à la fois tendre et grinçant, inquiétant et touchant, le film est vraiment bien équilibré. Un "léger" bémol pour les Oompa dont j'ai trouvé les prestations disons inégales, mais même avec ça, ça reste un putain de bon film ! Vive Tim
  20. [img]http://images.amazon.com/images/P/B00008MJ8H.01._SCLZZZZZZZ_.jpg[/img] Toujours aussi beau à en pleurer [img]http://images.amazon.com/images/P/B00000D9TF.01._SCLZZZZZZZ_.jpg[/img] Parce que ça faisait un bail que j'avais pas reécouté la voix de canard de B-Real "Tequila Sunrise, bloodshot eyes Realize we're all born to die So get the money nigga!"
  21. DPG

    les sitcoms

    RUDE AWAKENING !!!!!!!!!!! AVEC SHERILYNN FENN : Sinon tout plein de plus connues, de Seinfeld à Friends, en passant par du moins bon, mais "Rude awakening" est moins connu, mortel, et il le foooooooooooooooooodrait en dvd !!!
  22. S’il est un cinéaste qui ne laisse pas indifférent le public, c’est bien Spike Lee. Du cinéma politique, engagé, qui soulève de nombreux problèmes, un traitement qui fait plus ou moins dans la finesse suivant les œuvres, œuvre qui commence à vraiment avoir de la gueule à l’heure où notre Spike atteint presque la cinquantaine sans avoir mis trop d’eau dans son vin. Un petit bilan du bonhomme. « Nola Darling n’en fait qu’à sa tête » (1986). Triangle amoureux entre une femme et deux hommes, ce film a eu un énorme succès à sa sortie tant public (7 millions de $ de recettes pour un budget de moins de 200 000 $) que critique (Prix de la jeunesse à Cannes) et a propulsé son real’ sur le devant de la scène, le classant comme LE realisateur noir à suivre. Un film sympathique, très frais, où l’on sent déjà bien la patte de son auteur, même si ça peut paraître un peu brouillon en le revoyant aujourd’hui. (Kassovitz l’a largement pillé pour son « Métisse ») 3/6 « School Daze » : Pas vu « Do the right thing » : Une journée dans une pizzeria New Yorkaise, qui vire à l’émeute quand une dispute survient. Une vraie bombe. Tout le long sur le fil du rasoir, mais une pure ambiance, on transpire avec eux, on se croit vraiment dans le quartier. Pas mal de thématiques là aussi, de la bavure policière aux problèmes de cohabitation interraciale, on peut ne pas toujours être d’accord mais on ne peut nier la force du cinéaste. Pas mal de scènes restent en mémoire « Fight the Power ». Le tout porté par un casting assez éblouissant (D.Aiello, J.Turturro, S.Lee, et nombres de seconds roles qui feront carrière comme Martin Lawrence) 5/6 « Mo Better Blues » : Pas vu « Jungle Fever » : Relation d’amour interraciale plus conflit familial avec un perso accro au crack. Une vraie réussite, là aussi des acteurs brillants pour un sujet fort. Lee pointait du doigt des trucs qui aujourd’hui paraissent plus acceptés mais que l’on ne voyait pas au cinéma à l’époque en tt cas. Une BO de Stevie Wonder et des apparitions de Samuel Jackson qui marquent à jamais. 5/6 « Malcolm X » : Pas vu hélas, très décrié, surtout quand Spike Lee s’est approprié le projet, expliquant à Sidney Lumet que ce n’était pas à un blanc de réaliser ce film. Je comble ça au plus vite… « Crooklyn » : Une jolie chronique, inspirée tout comme « Mo’better blues » par le père de Lee qui était jazzman. Magnifique B.O. donc of course, et un beau film. Simple, montrant que Lee peut être autre chose que le chien prêt à mordre le méchant blanc. Mineur mais réussi. 4/6 « Clockers » : Projet prévu initialement pour Scorsese, qui produira finalement, ce film est un de mes préférés du réal. Ces clockers sont des jeunes qui dealent en bas des projects des ghettos N-yorkais, le nom venant du fait qu’il passe toute la journée ici et font le tour du cadran de l’horloge. Certains veulent s’en sortir, d’autres sont tout simplement paumés, à la recherche du père qu’ils n’ont pas eu et qu’ils retrouvent en Delroy Lindo, le fournisseur. Une enquète policière se livre en parrallèle et Keitel et Turturro permettent au film de sortir un peu du ghetto et de varier les points de vue. J’aime bp le traitement des personnages là encore, les zones d’ombre, les détails du quotidien comme les trains éléctriques de Strike. 6/6 « Girl 6 » : Projet beaucoup plus léger. Une jeune actrice qui ne trouve pas de travail fait du téléphone rose pour gagner un peu de thunes. Mais petit à petit, elle se prend au jeu. Ma foi, Theresa Randle est plutot sympathique, certaines situations sont vraiment drôles, les cameos sont sympas (Madonna, Tarantino, ..) et la BO est de Prince si je ne m’abuse. Mais ça reste assez léger et pas génial non plus. Mais je le trouve quand même plus réussi que ce qu’on peut en lire ici ou là. Anecdotique mais pas déplaisant. 3/6 « Get on the Bus » : Pas vu « He got Game » : Lee est fan hardcore de basket et des Knicks de NY. Il livre donc enfin un film sur le sport et les dérives du business. Ici il est question d’un jeune homme, qui doit choisir l’université ds laquelle il va s’inscrire. Prodige du basket, tt le monde se l’arrache, s’il choisit une université en particulier, il pourra éviter la taule à son père, qui y est depuis un moment pour avoir tué « accidentellement » sa mère. Etant fan de basket aussi, j’ai bp aimé, une belle reflexion sur un rapport père / fils assez conflictuel, avec un vrai propos sur les magouilles des facs, et l’envie toujours là de sortir du ghetto. Denzel est nickel et Ray Allen, basketteur pro, s’en sort avec les honneurs. 4,5/6 « Summer of Sam » : L’histoire d’un serial Killer qui sévit durant un été particulièrement chaud à NY. On en a surtout parlé à l’époque parce que c’était la 1ere fois que Spike Lee s’éloignait du milieu black et qu’aucun des protagonistes du film n’étaient noirs. Il en reste un film qui ne m’a jamais vraiment convaincu, un peu long, aux personnages pas tous réussis. Il faudrait que je lui donne une seconde chance à l’occasion, en l’état de mes souvenirs, c’est le Lee que j’aime le moins. 3/6 « The Very black show » : Pas vu “La 25e heure” : Souvent présenté comme son chef d’oeuvre, son film le plus mûr, le plus abouti. Et bien je dois dire que je suis totalement d’accord avec tout ça. Et même largement plus. Je le mets dans les meilleurs films de ces 10 dernières années, je l’ai découvert cette année, vers Noel, et j’ai du le revoir 5 ou 6 fois depuis déjà. Un pitch simple, un gars va aller en prison pour plusieurs années, il lui reste 24h à passer pour régler avant d’y aller. Famille, fiancée, mafia, amis. Le plus beau film sur l’après 11 septembre. La plus belle déclaration d’amour à NY. Un film très beau, des personnages bouleversants, j’avais juste un léger bémol sur la fin lors de la 1ere vision, puis en fait tout me va très bien comme ça. Pas loin du film parfait. 6/6 « She hate me » : Un gars perd son boulot, il se fait alors payer par des amis lesbiennes pour les aider à tomber enceintes. Un film un peu bancal, un peu fourre tout, ce qui fait à la fois son charme et ses faiblesses. Lee veut peut-être traiter un peu trop de sujets, des malversations financières de grands groupes à l’homoparentalité, le film se perd un peu en route et a un problème de rythme. Mais il reste des belles scènes, des numeros d’acteurs savoureux, et un film qui a un charme certain. 4/6 Voilà, j’ai sauté qques trucs que Spike Lee a fait à côté, des documentaires, des projets télé, il a aussi fait des clips (« They don’t care about us » pour Michael Jackson notamment) pas mal de pubs (Nike pendant un moment mais d’autres aussi), bref un gars complet, une œuvre avec une vraie personnalité, un bonhomme pas toujours aimé de tous, un gars qui compte selon moi.
  23. Très bonne itv de Jackie sur Dvdrama, il parle de pas mal de trucs, economie du cinéma, totu ça et dis que les "Rush hour" sont de vraies merdes. http://www.dvdrama.com/news.php?12043&page=1
  24. Bah il avait 25 ans à l'epoque du 1er, mais bon..... Sinon moi aussi big fan, le film ideal pour un après midi de glande mais toujours pas vu le 3 helas....
  25. DPG

    Melrose Place (1992)

    Suivi un peu aussi. Au début ça a été programmé sur TF1 pour remplacer "Beverly Hills" ds la tranche 19-20 du samedi il me semble, comme je matais "Beverly Hills", j'ai maté aussi. Puis j'ai un peu décroché par la suite, ça partait un peu trop ds ts les sens. Mais j'ai revu qd meme des episodes à gauche à droite qd c repassé en fin aprem'. Je comprenais rien, tt le monde couchait avec tt le monde, ça m'allait.
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