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  1. C'est pas moi qui propose d'aller te faire enculer, de vouloir ta mort ou qui te traite de con. La haine, elle est du coté des moralistes qui se la jouent jury populaire (façon Pol Pot). Enfin bref, j'ai effectivement rien à faire ici. Je voulais juste connaitre le mode de pensée de ceux qui allaient voir barbake montain. J'ai vu. J'ai rien appris en fait, je sais depuis longtemps que les apotres de la tolérance sont les pires nazillons qui existent, donne leur un gun + l'assurance de s'en sortir et là je suis mort. Adios.
  2. Déja fait le doigt dans le cul, j'aime beaucoup par ailleurs, quand c'est bien fait.
  3. Tu vas donc voir un "film de cow-boy pd". Parce que c'est un film. Demain, ya un film sur le caca des crustacé en mer du nord, tu vas aller le voir, car c'est un film. Bien, je note. ps: "phobie" signifie "peur", hors les homo ne me font pas peur, tant qu'ils ne me touche pas au mauvais endroit, ils sont en sécurité avec moi.
  4. Je voulais pas perturber le petit confort moral de chacun ni réveiller les vieux réflexes de flicaille citoyenne, néanmoins, ça m'interresserai de savoir ce qui se passe dans la tête d'un hétéro qui va se farcir un tel film, ses motivations, ce qui le pousse à payer 9 euros la scéance, tout ça. L'homo-erectus contemporain de type parisianiste métro-sexuel ouvert à tous les grands themes débatus dans "ça se discutent" et reprenant systhématiquement les argument du journal Libération (ou des Inrock, au choix) est en quelque sorte un sujet d'étude pour moi.
  5. C'est clair, c'est pas Minute, c'est la Pravda.
  6. La tolérance, ya des maisons pour ça.
  7. C'est vrais que ça débute tout doux, j'ai même eu peur au début parceque ça ne décolle pas trop et ça ressemble à du film d'auteur européen. En plus, j'avais aucune idée de quoi ça parlait, et c'est vraiment un plus, l'effet de surprise quand on découvre dans quelle galère se met le hero est un vrai plaisir. Quand on s'est bien mis dans l'ambiance réaliste-film-d'auteur, le film part en vrille et en fin de compte, la langueure du début sert le reste. C'est vrai, c'est pas non plus un chef d'oeuvre, en sortant, yavait du pour et du contre, mais toujours est il que les image de ce film me trottent dans la tête depuis dimanche.
  8. Je donnais mon avis. Suis surtout étonné par les leçons morale, je croyais que chez les amateurs de bis et de déviances cinématographique, on pouvait dire ce qu'on pensait comme on le voulait (tant que c'est pas pour dire à un intervenant "je t'encule"). Je savais pas que j'étais tombé sur une bande de droitdlhommistes défenseurs des bonnes causes. Je m'excuse de penser qu'un type qui va délibérément voir barbake montain, qui paie sa place, qu'est même pas entrainé par quelqu'un d'autre, bref, qui fait la démarche volontaire d'aller voir une histoire romantique de cow-boy gay est un mec à qui je n'ai strictement rien à dire. Je sais, c'est mal.
  9. j'ai trouvé la fin trop morale, le gamin jette ses jouets de guerre et dit à sa maman que la guerre c'est pas bien et qu'on est tous frère sur la terre etc. Ca m'a un peu déçu.
  10. J'imagine le mec face au cinéma : "Oh, ya barbake montain, c'est un film sur deux cow-boy gay qui s'aiment d'amour dans les rocheuses, ça a l'air top, j'y vais!" Je sais pas, faut être malade mental.
  11. D'après ce que j'ai compris, c'est un film auto-produit, qui a mis du temps à se faire en fonction de l'argent qui rentrait, le réa a présenté une version de 50 min monté, mais sans son, aux producteurs, qui ont donné la ralonge. C'est en tout cas le film le plus impressionant au cinéma en ce moment, et compte tenu de l'image en NB-cinemascope très contrastée, c'est le genre de film à voir au ciné. Un des meilleur triller français de ces dernières année à mon sens.
  12. nan, j'ai pas oublié de mettre , j'imagine pas qui peut aller voir ce film de cow-boy gay romantique et à mon avis, c'est le genre de personne à qui je n'aurais rien à dire. Je précise que j'ai des amis homos qui sont mes amis parce que justement ils ne vont pas voir ce genre de film. Pour Barback Montain, j'imagine que c'est le même public qui achète les calendriers sexy-gay des rugbyman. Des crétins, quoi.
  13. Je me demande qui peut aller voir au cinéma une histoire romantique de cow-boy gay. Je crois que je ne pourais pas m'entendre avec ce genre de personne (j'ai un jour plaqué une fille quand elle m'a avoué que son film préféré était Philadelphia)
  14. Je parle de ces deux films en même temps ils sont vendu en double-DVD pour quelques mini euros de rien du tout et c'est vraiment pas mal. Bon, c'est vrai que quand on se procure un film à 1 euro, j'ai tendance a être bon public, mais je crois vraiment que Funny Man est une pépite. Le Lustig : Un zombie ultra-patriotique massacre tous les gens un peu trop démocrates/progressistes/irrespectueux du drapeau dans un bled. J'ai pris le DVD pour ce film, j'aime Lustig et le thème me plaisait bien (tradition du film zombie avec un message politique, miam) C'est bien fait, un peu trop moral à la fin à mon goût, c'est pas un nanard, ni un chef-d'oeuvre, c'est pour ceux qui aiment les personnages à la Freddy. Le Sprackling : Un type gagne un chateau anglais au pocker. Il s'y rend avec sa famille et son frère accompagné de trois-quatres parsonnes le rejoignent. Dans le chateau, il y a une sorte de bouffon monstrueux, comme le jocker des jeux de carte, qui massacre tout le monde de façon jubilatoire, en faisant à chaque fois des commentaires débiles, s'adressant parfois au spectateur. J'ai adoré. Ca part completement en vrille, c'est du grand n'importe quoi, une surprise toute les 3 minutes, c'est hillarant, bourré d'idées, un scénario écrit sous acide, c'est fou. Le mélange gore/fantaisie ravira ceux qui ont aimé la seconde partie de "the house of 10000 corps", quand ça devient une sorte d'alice au pays des merveilles sanglant. On peut aussi détester, car c très particulier, ça ressemble à une hallucination sous champignon, moi je suis rentré dedans la tête la première, c'est pour ça que j'en parle.
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