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francois

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Tout ce qui a été posté par francois

  1. C'est pas moi qui propose d'aller te faire enculer, de vouloir ta mort ou qui te traite de con. La haine, elle est du coté des moralistes qui se la jouent jury populaire (façon Pol Pot). Enfin bref, j'ai effectivement rien à faire ici. Je voulais juste connaitre le mode de pensée de ceux qui allaient voir barbake montain. J'ai vu. J'ai rien appris en fait, je sais depuis longtemps que les apotres de la tolérance sont les pires nazillons qui existent, donne leur un gun + l'assurance de s'en sortir et là je suis mort. Adios.
  2. Déja fait le doigt dans le cul, j'aime beaucoup par ailleurs, quand c'est bien fait.
  3. Tu vas donc voir un "film de cow-boy pd". Parce que c'est un film. Demain, ya un film sur le caca des crustacé en mer du nord, tu vas aller le voir, car c'est un film. Bien, je note. ps: "phobie" signifie "peur", hors les homo ne me font pas peur, tant qu'ils ne me touche pas au mauvais endroit, ils sont en sécurité avec moi.
  4. Je voulais pas perturber le petit confort moral de chacun ni réveiller les vieux réflexes de flicaille citoyenne, néanmoins, ça m'interresserai de savoir ce qui se passe dans la tête d'un hétéro qui va se farcir un tel film, ses motivations, ce qui le pousse à payer 9 euros la scéance, tout ça. L'homo-erectus contemporain de type parisianiste métro-sexuel ouvert à tous les grands themes débatus dans "ça se discutent" et reprenant systhématiquement les argument du journal Libération (ou des Inrock, au choix) est en quelque sorte un sujet d'étude pour moi.
  5. C'est clair, c'est pas Minute, c'est la Pravda.
  6. La tolérance, ya des maisons pour ça.
  7. C'est vrais que ça débute tout doux, j'ai même eu peur au début parceque ça ne décolle pas trop et ça ressemble à du film d'auteur européen. En plus, j'avais aucune idée de quoi ça parlait, et c'est vraiment un plus, l'effet de surprise quand on découvre dans quelle galère se met le hero est un vrai plaisir. Quand on s'est bien mis dans l'ambiance réaliste-film-d'auteur, le film part en vrille et en fin de compte, la langueure du début sert le reste. C'est vrai, c'est pas non plus un chef d'oeuvre, en sortant, yavait du pour et du contre, mais toujours est il que les image de ce film me trottent dans la tête depuis dimanche.
  8. Je donnais mon avis. Suis surtout étonné par les leçons morale, je croyais que chez les amateurs de bis et de déviances cinématographique, on pouvait dire ce qu'on pensait comme on le voulait (tant que c'est pas pour dire à un intervenant "je t'encule"). Je savais pas que j'étais tombé sur une bande de droitdlhommistes défenseurs des bonnes causes. Je m'excuse de penser qu'un type qui va délibérément voir barbake montain, qui paie sa place, qu'est même pas entrainé par quelqu'un d'autre, bref, qui fait la démarche volontaire d'aller voir une histoire romantique de cow-boy gay est un mec à qui je n'ai strictement rien à dire. Je sais, c'est mal.
  9. j'ai trouvé la fin trop morale, le gamin jette ses jouets de guerre et dit à sa maman que la guerre c'est pas bien et qu'on est tous frère sur la terre etc. Ca m'a un peu déçu.
  10. J'imagine le mec face au cinéma : "Oh, ya barbake montain, c'est un film sur deux cow-boy gay qui s'aiment d'amour dans les rocheuses, ça a l'air top, j'y vais!" Je sais pas, faut être malade mental.
  11. D'après ce que j'ai compris, c'est un film auto-produit, qui a mis du temps à se faire en fonction de l'argent qui rentrait, le réa a présenté une version de 50 min monté, mais sans son, aux producteurs, qui ont donné la ralonge. C'est en tout cas le film le plus impressionant au cinéma en ce moment, et compte tenu de l'image en NB-cinemascope très contrastée, c'est le genre de film à voir au ciné. Un des meilleur triller français de ces dernières année à mon sens.
  12. nan, j'ai pas oublié de mettre , j'imagine pas qui peut aller voir ce film de cow-boy gay romantique et à mon avis, c'est le genre de personne à qui je n'aurais rien à dire. Je précise que j'ai des amis homos qui sont mes amis parce que justement ils ne vont pas voir ce genre de film. Pour Barback Montain, j'imagine que c'est le même public qui achète les calendriers sexy-gay des rugbyman. Des crétins, quoi.
  13. Je me demande qui peut aller voir au cinéma une histoire romantique de cow-boy gay. Je crois que je ne pourais pas m'entendre avec ce genre de personne (j'ai un jour plaqué une fille quand elle m'a avoué que son film préféré était Philadelphia)
  14. Je parle de ces deux films en même temps ils sont vendu en double-DVD pour quelques mini euros de rien du tout et c'est vraiment pas mal. Bon, c'est vrai que quand on se procure un film à 1 euro, j'ai tendance a être bon public, mais je crois vraiment que Funny Man est une pépite. Le Lustig : Un zombie ultra-patriotique massacre tous les gens un peu trop démocrates/progressistes/irrespectueux du drapeau dans un bled. J'ai pris le DVD pour ce film, j'aime Lustig et le thème me plaisait bien (tradition du film zombie avec un message politique, miam) C'est bien fait, un peu trop moral à la fin à mon goût, c'est pas un nanard, ni un chef-d'oeuvre, c'est pour ceux qui aiment les personnages à la Freddy. Le Sprackling : Un type gagne un chateau anglais au pocker. Il s'y rend avec sa famille et son frère accompagné de trois-quatres parsonnes le rejoignent. Dans le chateau, il y a une sorte de bouffon monstrueux, comme le jocker des jeux de carte, qui massacre tout le monde de façon jubilatoire, en faisant à chaque fois des commentaires débiles, s'adressant parfois au spectateur. J'ai adoré. Ca part completement en vrille, c'est du grand n'importe quoi, une surprise toute les 3 minutes, c'est hillarant, bourré d'idées, un scénario écrit sous acide, c'est fou. Le mélange gore/fantaisie ravira ceux qui ont aimé la seconde partie de "the house of 10000 corps", quand ça devient une sorte d'alice au pays des merveilles sanglant. On peut aussi détester, car c très particulier, ça ressemble à une hallucination sous champignon, moi je suis rentré dedans la tête la première, c'est pour ça que j'en parle.
  15. Vu hier. Très bonne surprise. Effectivement, les tronches et les jeux d'acteurs dont exeptionels et très réaliste, l'univers est très particulier, entre réalisme italien et film noir des années 60. L'image est plutôt belle, un joli noir et blanc qui m'a fait pensé à la photo de "boy meet girl" parfois, ou de "la maman et la putain" d'autre fois. Le film est vraiment marquant, dans le sens où on y repense pas mal après l'avoir vu. Fort potenciel culte.
  16. francois

    Sheitan - Kim Chapiron (2006)

    ***thread censuré***
  17. francois

    Hostel - Eli Roth (2005)

    Vu aussi , vraiment pas terrible. Long à démarrer, puis un peu d'action-horreur, mais pas longtemps et pas très intense, suspence bof bof, puis tien, c'est fini, ha bon ? Déja que Cabin Fever c'était pas terrible, on a la confirmation du non talent d'Eli Roth. Même genre de film qu'on regarde en faisant la moue en attendant le clou du spectacle qui ne viendra jamais. C'est dommage, car dans ses deux films, il met en place un environement pas mal (dans cabin fever, c'est chez les Redneck dégénéré, là c'est chez les slaves dégénérés), mais ça va pas plus loin.
  18. C'est clair que c'est pas un chef d'oeuvre, mais l'aspect exessif m'a interressé. C'est même dépouillé, des film giallo et autres slasher, Palumbro n'a gardé que les scènes de torture (pas de montée progressive de la terreure. En général, le mec rencontre une fille, 5 secondes pour faire sa connaissance, puis le plan d'après, elle est attachée en train de se faire torturer). L'acteur est un peu trop psychotique, pas un moment on pourait se dire que c'est un mec qui pourait être normal (sauf à la fin, scene du bus, mais c'est trop tard). Les moments où il se met à parler Allemand sont assez rigolo. Pour le coté nazi, c'est plus de l'humour je pense. Palumbro film un psychopathe nazi qui tortue des femmes, tue des enfants, fréquente les milieux interlope, est cannibal, a tué quand il était petit, etc... Bref, excessif à fond, assez rigolo dans l'ensemble. C'est du XYZ degrès assez taré.
  19. Vu aujourd'hui, c'est un slasher hyper excessif. Le type massacre des filles à la pelle en les torturant bien comme il faut. Il est neo-nazi, il tue aussi des petites filles, etc. Ca va très loin dans le gore. Dans la veine de l'ultra-violence US actuelle (Saw, films de Rob Zombie...). Esprit Snuff. Influence Argento (esthétique, sujet, nanas sexy). Mais pas vraiment angoissant (pas de suspence, suite de scènes crade, effet "too much", tueur trop prévisible). Un mon divertissement néanmoins pour les amateurs de slashers.
  20. Vu aujourd'hui, pour moi le meilleur Cronemberg. Fini le psychedelisme qui m'avait fait décrocher (Crash, le festin nu, le film avec les jumeaux, exsitenz, etc...), ce film là est un thriller magique, avec du rire, des sentiments et de l'ultra violence (et un peu de message philo-psycho mais juste assez pas trop, ouf). Une certaine sobriété que seul les grand maitre savent utiliser. Une intrigue qui part n'a de cesse de nous surprendre. Je crois que je vais placer ce film dans mon top ten , si Cronemberg continue sur cette voie là, c'est le bonheur.
  21. Comme il semble qu'il y ai des experts du mondo ici, j'aimerais avoir un conseil avisé; J'ai été particulièrement ému par les scènes sexy d'adio ultimo uomo , j'aimerais savoir si il existe dans le domaine du mondo ethno quelques must sur ce point précis. J'ai déja vu Shock Asia, mais un peu glauque dans le genre. Des curiosités filmées sur les moeurs tribales seraient bienvenues
  22. ma version de addio ultimo uomo choppée sur emule ne fait que 86 minutes. La scene de snuff semble mutilée (huhu) et dans cette version ça semble être un fake (cadré de si près que s'en est louche). J' ose pas croire que c'est une scène réelle. La cérémonie sexy (magnifique) semble être coupée aussi, la scene d'accouplement étant bien soft. J'ai pas trouvé d'autre version. Quel regret. Malgrès ça, un film fascinant.
  23. Suite à l'arret de Devil Dead's forum où j'intervenais sous le nom de nuit du chasseur, me voici. Grand amateur de ciné déviant depuis toujours, j'ai eu ma periode gore américain, psychopathe italien, frisson japonais, nanard français. J'ai fréquenté au début des années 90 les salles obscure du boulevard de strasbourg, squattées par des clochards qui fumaient pendant la scéance à deux films. Et aussi ma période film convenables genre cinéma de minuit. Emule a provoqué en moi une grave rechutte dans le coté obscure, je retourne à mes amours de jeunesse. Je fais actuelement le tour du mondo (quel pied !), je me fais une collection de pornos des années 70, je découvre le cinéma flippant d'avant les années 80. La vérité se trouve du coté de l'Exploitation. Je revient et je suis très content.
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