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Steve

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Tout ce qui a été posté par Steve

  1. Steve

    Vice Versa - Pixar - 2015

    Un bon claquage de beignet en ce qui me concerne. Suffit de se taper tous les autres films d'animation à longueur d'année pour voir que Pixar a une vraie proposition artistique et narrative à chaque fois. Et si on peut avoir à redire sur l'interêt de Monsters University et Cars 2, des films comme Wall-E ou Up ne sont pas intouchables non plus (perso j'ai du mal avec la deuxième moitié de chacun de deux). Pour Inside Out, je trouve que ça trouve sa voix très vite et ne lâche plus en cours de route. Alors d'un côté, y'a moins de grosse surprise, mais impossible de ne pas être touché d'un bout à l'autre, tant l'univers créé est solide et magnifié par d'authentiques émotions dans le monde réel.
  2. Un caméraman accepte de se rendre dans une montagne isolée pour un travail bien payé. Mais son employeur est un peu plus étrange que ce à quoi il s'attendait... Précédé d'une bonne réputation pour un found footage, Creep se permet en effet de relever la barre en apportant progressivement une bonne tension et quelques nouveautés dans sa structure. Je préfère prévenir, sur les premières minutes on y est pas du tout, mais cela participe à la surprise générale qui fait qu'on s'attend à un truc à base de jump scares tout le long ; au lieu de ça, on tombe dans un truc qui pourrait presque s'intituler "Le violonneux - le film" et qui fonctionne en majeure partie grâce à Mark Duplass, parfaitement ambiguë jusqu'à la fin. Dispo sur Netflix France, donc n'hésitez pas. hYx5R6kbJTQ
  3. Steve

    Ant-Man (Peyton Reed - 2015)

    J'ai détesté de bout en bout et j'ai peiné pour ne pas m'endormir. Et j'avais pas d'à prioris sur Peyton Reed à la place d'Edgar Wright mais ça fait vraiment téléfilm Disney Channel de luxe. Seul truc à sauver : le Michael Douglas jeune est hallucinant.
  4. Trois ans après que Mike ait renoncé à sa vie de strip-teaseur, les Kings of Tampa sont eux aussi prêts à jeter l'éponge. Mais ils veulent le faire à leur façon – en enflammant la piste de danse lors d'un ultime spectacle époustouflant à Myrtle Beach et en partageant l'affiche avec le légendaire Magic Mike. Alors qu'ils se préparent pour leur finale et qu'ils se rendent à Jacksonville et Savannah pour renouer avec d'anciennes connaissances et se faire de nouveaux amis, Mike et ses camarades s'initient à de nouvelles acrobaties et évoquent le passé de manière surprenante… Le retour de Magic Mike donc, Soderbergh se contentant de la caméra et laissant la réal à son assistant du premier. Exit McConaughey et quelques autres persos oubliables du premier opus. On laisse également un peu le coté branchouille froid du précédent pour un film plus dans la lignée d'un Step Up chaud aux accents très féministes. La photo est léchée au possible (la scène du club de Jada Pinkett-Smith en Géorgie est inoubliable), le casting est franchement nickel (on notera les sympathiques apparitions de Amber Heard, Elizabeth Banks, Donald Glover et Andy McDowell), j'ai beaucoup aimé l'authenticité de la mise en scène et en particulier la direction d'acteur, donc pour moi le résultat est supérieur à l'original. Plutôt qu'une bande-annonce, un petit extrait: yZZCJtxqiSE
  5. Fini la saison 2. Ca fait plaisir, et ça se laisse voir sans problème d'une traite, mais ça n'atteint jamais les sommets de la saison 1. Ca manque d'un vrai fil rouge dramatique. A la limite toute la partie flashback sur l'enfance de Bojack, mais c'est en retrait. Quelques épisodes cultes néanmoins, avec le Disneyland de Todd, l'évasion du poulet, l'enregistrement du pilote de Mr. Peanutbutter, et la secte d'improvisation. Pour ceux qui ont vu la première saison donc ça vaut le coup. Sinon ça ne vaudra pas grand chose de prendre en route. c1B-2yOAxdU
  6. Dieu existe. Il habite à Bruxelles. Il est odieux avec sa femme et sa fille. On a beaucoup parlé de son fils, mais très peu de sa fille. Sa fille c’est moi. Je m’appelle Ea et j’ai dix ans. Pour me venger j’ai balancé par SMS les dates de décès de tout le monde… Jaco Van Dormael, remis sans doute de l'échec de Mr. Nobody, revient avec une petite comédie fantastique qui lorgne du côté de Jeunet, Gilliam et Gondry. Un plus petit budget, mais pas moins d'ambition, le film débordant d'imagination visuelle. Peut-être un peu trop. Cette manière d'illustrer le moindre bout de narration, bien que très bien exécuté à chaque fois, reste un poil fatiguant à la longue. Heureusement, le film est quand même très drôle et devrait conquérir un large public. Poelvoorde fait du Poelvoorde, Moreau fait du Moreau, Damiens fait du Damiens, Catherine Deneuve à contre-emploi mais ça devient presque une tendance également. Bref, pas de grosse surprise niveau casting mais ça fait le taf, et on s'amuse de bon coeur. Maintenant, le film se perd aussi assez rapidement en route, on a du mal à s'attacher à sa structure un peu chaotique, le montage passe d'une histoire à l'autre d'une manière assez frustrante, alors que dans Mr Nobody tout paraissait bien plus limpide. D'où petite deception quand même de ma part.
  7. Steve

    Adventureland - Gred Mottola (2009)

    Ah bah oui sur le coup ça m'est pas revenu, mais bien sûr, en plus c'est littéral. Merci
  8. Steve

    Adventureland - Gred Mottola (2009)

    Je ne le vois que maintenant. C'etait bittersweet comme on dit (tiens on dit pas c'est aigre-doux chez nous c'est vrai ca...). Kristen Stewart est trop chouquette et a un moment elle sourit. Quelques trucs m'ont bien fait marrer aussi, meme si c'est super cringey la plupart du temps, on s'y retrouve forcemement.
  9. Beaucoup plus apprécié que Kill List. J'étais franchement mort de rire vers la fin. C'est un peu le "C'est arrivé près de chez vous" anglais par moment.
  10. Euuuurrrrrg, c'était vraiment plus que mou du genou. Dans la catégorie des pires films à Oscar (ironiquement, le film n'aura obtenu aucune nomination) où tout le monde fait la gueule, a un job ennuyeux mais non-defini, et fonctionne à 99% sous anti-dépresseurs. Bien sûr, Aniston est enlaidie au maquillage, elle est odieuse avec son mari trop gentil, par contre elle se fait prendre par un beau latino qui réparait sa piscine, et puis elle a une femme de ménage mexicaine très serviable qui prie Jesus pour que sa maîtresse reprenne goût à la fin. Je cherche encore l'interêt qu'ont pu y trouver certaines personnes. Aniston n'est pas la pire des comédiennes, mais le rôle ne lui sied pas du tout. Dv0QEJq6cLw
  11. Steve

    Honeymoon - Leigh Janiak - 2014

    J'ai carrément adoré de mon côté. Non seulement les deux acteurs sont vachement bons, mais le film porte une certaine sensibilité, ça vogue entre Polanski et Cronenberg certes, mais sans facilité aucune. Ceux qui ont trouvé ça lent et passablement risible n'ont jamais été mariés
  12. En 4Dx un mec a reussit a ronfler a cote de moi J'ai eu envie d'etre indulgent ce soir, je voudrais pas pourrir completement le film, mais bon j'irai pas jusqu'a le defendre ici, surtout qu'une grande partie de l'experience fut de se faire demonter le bas du dos par les sieges 4Dx
  13. Revu ce soir après avoir tenté quelques épisodes de la série. C'était bien mieux que dans mes souvenirs. Visuellement ca claque (j'avais oublie que c'était Lubezki à la photo), Depp est de loin l'élément encore le moins supportable du film, le reste passe comme une lettre à la poste.
  14. Steve

    Spy - Paul Feig (2015)

    Susan Cooper est une modeste et discrète analyste au siège de la CIA. Héroïne méconnue, elle assiste à distance l’un des meilleurs espions de l’agence, Bradley Fine, dans ses missions les plus périlleuses. Lorsque Fine disparaît et que la couverture d’un autre agent est compromise, Susan se porte volontaire pour infiltrer le redoutable univers des marchands d’armes et tenter d’éviter une attaque nucléaire… Peut-etre le film de trop pour McCarthy. Ca se perd dans un gros budget a base de missions dans differentes capitales europeennes, y'a un peu trop de vedettes qui s'auto-parodient histoire de tirer la couverture vers soi, du coup l'heroine est un peu noyee la-dedans jusqu'a ce qu'elle finisse par exploser de vulgarite dans le dernier acte, mais c'est a peut pres uniquement sur ce ressort que le film tient. Dommage uHWUPD6QKkA
  15. Pareil, franchement cool. Le postulat fait extremement peur. Mais c'est la qu'on se rend compte du savoir faire des ricains en matiere de gros buddy-movie. Ca ne s'arrete jamais a juste ce postulat, on apprend a comprendre un peu mieux les motivations des persos, les persos secondaires sont aux petits oignons, et c'est super bien rythme. Melissa McCarthy est tres tres bonne dans ce role, qui lui donne l'occasion de montrer une palette plus large que ce que j'avais vu jusqu'a present.
  16. Steve

    Le Mytho - Dennis Dugan - 2011

    Je rattrape mon retard sur les Sandler de temps en temps. Des fois je trouve ca pas mal du tout en fait. Pour celui-la, c'est le cas. Faut etre tres bon public, on est d'accord. Mais le courant passe tres bien entre Sandler, Aniston, les gosses et Nick Swardson qui perso m'a fait hurler de rire. Le seul hic, c'est le couple avec Nicole Kidman un peu plus vulgaire que le reste (vu le film de depart, faut le faire) et le perso de la nouvelle petite amie Palmer qui impose le deroulement du script sans vraiment trop de justification. Sinon franchement sympa a regarder une soiree d'ete comme celle-la.
  17. Sans dec, clair que pour un film sur Aladdin, ca manque un peu de minorite visible (sur l'affiche en tout cas).
  18. Steve

    NIFFF 2015

    Je voulais tant venir. Mais ça ne va pas être raisonnable de mon côté au final. Par contre un de mes étudiants a un long métrage en compétition. Je dis pas le nom pour pas influencer le jury
  19. Ah toi aussi t'as zappe sur ca sur Netflix Pareil, revu y'a deux jours. J'ai plus aime que la premiere fois. Je trouve Russo tout a fait classe et fichtrement sexy en plus. J'aime beaucoup l'esthetique erotico-soft de ces annees, j'avais 16 ans et ca me rappelle de belles annees
  20. A l'origine de simples organismes monocellulaires de couleur jaune, les Minions ont évolué au cours des âges au service de maîtres plus abjectes les une que les autres. Les disparitions répétitives de ceux-ci, des tyrannosaures à Napoléon, ont plongé les Minions dans une profonde dépression. Mais l'un d'eux, prénommé Kevin, a une idée. Flanqué de Stuart, l'adolescent rebelle et de l'adorable petit Bob, Kevin part à la recherche d'un nouveau patron malfaisant pour guider les siens. Nos trois Minions se lancent dans un palpitant voyage qui va les conduire à leur nouveau maître : Scarlet Overkill, la première superméchante de l'histoire. De l'Antarctique au New York des années 60, nos trois compères arrivent finalement à Londres, où ils vont devoir faire face à la plus terrible menace de leur existence : l'annihilation de leur espèce. Bof. Très bof. C'est vraiment calibré pour les gosses et seulement les gosses. Passé l'intro, c'est en pilotage automatique. Les gags ne sont pas vraiment recherchés, ceux basés sur les stéréotypes anglais sont super lourds, et la bêtise des minions ne fait pas vraiment un film. Restent les voix de Pierre Coffin, toujours bien dans le ton. Sachant que le film aurait cartonné quoiqu'il en soit, c'est déplorable de ne pas avoir pris plus de risque dans son intrigue. Wfql_DoHRKc
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