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Steve

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Tout ce qui a été posté par Steve

  1. Steve

    Daredevil - Netflix (2015)

    J'espere que la suite me contredira, mais j'ai du mal a me faire plus d'un episode par semaine. J'en suis au 3eme. Je trouve que Foggy est insupportable, Daredevil n'a pas trop de charme, et les scenes de cour de justice font un peu peine. Sinon le visuel du reste est plaisant, et j'aime bien les flashbacks, je veux en savoir plus sur les origines, et je pense que ca va finir par decoller et que tous ces defauts seront effaces. Sinon en l'etat, ben je trouverai ca du niveau de tout ce que Marvel fait, c'est a dire sans vraie saveur...
  2. Steve

    Oculus - Mike Flanagan (2013)

    Pareil qu'au-dessus. On a envie d'aimer le film pour sa premiere partie qui donne du sang neuf a un vieux concept. C'est une sorte de sous-Ring, mais c'est bien filme et la structure est cool. Malheureusement y'a un moment ou ca ne prend plus du tout. Et ça finit même en cata en prenant le contrepied de ce qu'ils avaient fait jusqu'a présent. Dommage. Mais quand même, a l'origine quand le film était sorti j'avais vraiment un très mauvais a priori, alors qu'il faut être honnête, c'est encourageant pour la jeune generation.
  3. Steve

    Furious 7 (James Wan - 2014)

    Ca lui fait quel age maintenant a ton fils Bast ? J'avais vu le Furious 6 avec le mien quand il avait 8 ans, ca lui etait passe completement au dessus de la tete. Par contre, la il a tellement kiffe le 7, qu'on a du se faire un marathon Fast & Furious pendant le weekend de Paques. Ce qui au passage me fait re-evaluer la saga. Par ordre de preference: 1. The Fast and The Furious: Tokyo Drift 2. Furious 7 3. Fast Five 4. 2 Fast 2 Furious 5. Furious 6 6. Fast & Furious (4) 7. The Fast and The Furious (1) fiTSOpAlI60
  4. On pense effectivement à Lynch et Cronenberg cités précédemment sur ce thread. Le film a énormément de qualité (c'est très classe pour un film mini-budget tourné en 18 jours, l'actrice a un charme fou, la Béo est top, le concept de soif de célébrité comme maladie c'est cool), mais j'ai trouvé la métaphore trop littérale. C'est un paradoxe j'en ai conscience, mais je ne saurais le décrire autrement. C'est la première partie qui fait souffrir le reste en fait, on aurait du se passer de quelques détails qui ne sont apparemment présents que pour expliquer noir sur blanc ce qui va passer. Et c'est dommage, car on entend directement la voix d'un auteur blasé et ultra-cynique sur Hollywood dès qu'il met en images le culte satanique. La deuxième partie est plus réussie, là où on suit la lente agonie et la sacrifice de Sarah, avec cette fin plus poétique, moins descriptive. Dispo sur Netflix France.
  5. Steve

    Furious 7 (James Wan - 2014)

    Passons vite fait sur l'intrigue décousue et aussi débile que le reste de la saga, sinon plus. Pas grave, c'est peut-être l'épisode qui contient le plus d'action. Donc fini les interminables scènes de diners avec enchiladas et coronas, avec animosité de pacotille ou regards croisés on-est-une-belle-famille : ça s'enchaine à un rythme hallucinant, et tout les grosses scènes d'action sont plus chtarbs les unes que les autres, à faire pâlir Michael Bay. D'habitude, ça a tendance à m'endormir, mais ici les changement de décor, de véhicule, et de duo d'acteurs épicent un peu la sauce. James Wan épouse le style de Justin Lin, en ajoutant sa touche perso, en particulier un mouvement de caméra qu'il sur-utilise ici. Le gros point fort également : tout le monde est au top, de l'équipe principale aux nouveaux persos secondaires. Comme Dwayne Johnson (ici un peu sous-exploité quand même) à l'époque de Fast Five, Statham et Tony Jaa font une sorte de renaissance, leurs scènes de combat étant très généreuses. Kurt Russell traverse le film à la cool, avec un perso qui évite de justesse le cliché de ce genre de film. Furious 7 inclut donc tous les persos de la saga, en faisant le lien final avec tous les autres films, en particulier Tokyo Drift dans une sequence un peu WTF Et enfin cette fin, on l'appréhende, on sait qu'ils vont vouloir nous faire chialer, et on essaie d'être un grand bonhomme et de retenir ses larmes, mais ce plan final bordel, fallait le faire et ils l'ont fait.
  6. Le pitch même du film fait qu'on a affaire a un scenar assez répétitif. Cotillard assure oui, mais les obstacles sur sa route sont un peu trop "sur-écrits" a mon gout.
  7. Ce que le film manque en originalité, il le compense avec un visuel généreux, un trip assez sombre, et l'interprétation émouvante de certains acteurs. L'Australie a définitivement une belle nouvelle génération de cinéastes de genre qu'on peut leur envier.
  8. Les blessures et les secrets d'une famille remontent à la surface avec l'arrivée d'un des membres de la fratrie, perdu de vue depuis longtemps... et toujours considéré comme le vilain petit canard. Ca met vraiment 5-6 épisodes pour démarrer comme il faut, mais ensuite difficile de décrocher. L'intrigue principale est super bien ficelée, l'histoire presque banale d'une famille avec des fantômes dans le placard, mais on arrive à avoir des persos biens en chair, bien lâches, qui hérissent tellement on reconnait bien la nature humaine. Tous incarnés par des acteurs qui tabassent, c'est là le principal (Kyle Chandler, Sissy Spacek, Ben Mendelsohn). Pas un claquage de beignet parce qu'on peut un peu chipoter sur des petites intrigues secondaires qui font un peu l'effet de gras, la caméra à l'épaule pas toujours à propos, un twist un peu en mousse à la toute dernière minute, et quelques scories habituelles de séries, mais franchement ce nouveau format de mini-série est efficace (True Detective, Fargo). kMubi56dfE0
  9. Une jeune femme s'engage dans l'armée afin de rompre avec ses racines rurales et s'ouvrir à de nouveaux horizons. Mais, à son corps défendant, elle se retrouve à Guantanamo Bay pour y surveiller les prisonniers djihadistes, et partager son quotidien avec d'autres soldats de son équipe tout aussi agressifs. Elle va alors entamer une relation particulière avec l'un des détenus… Mmmm, j'en avais sans doute de trop grosses attentes. Kristen Stewart au tournant de sa carrière, Payman Moaadi qui avait impressionné dans "Une séparation", David Gordon Green à la prod, et un sujet sensible et actuel. S'il reste quelque chose de réussi dans le film, c'est le portrait de cette recrue féminine de l'armée américaine, son background, ses motivations, ses aspirations, son humanisme, c'est un beau rôle, et Stewart l'habite drôlement bien. Après, sur le côté non seulement idéologique, mais aussi simplement dramatique de la chose, c'est très très mièvre objectivement. Il y a beaucoup de raccourcis qui sont fait afin d'alimenter la relation entre Stewart et le détenu. Et le dernier acte du film est trop artificiel pour que ça fonctionne sur un public un tant soit peu cinique. Vraiment dommage, potentiel vraiment gâché pour ma part. _QMG7WTd-Mg
  10. Reclusive small town locksmith Angelo Manglehorn (Al Pacino) has never quite recovered from losing the love of his life, Clara. Fixated on her memory, he feels closer to his beloved cat than the people around him and prefers to find comfort in his work and daily routine. Still, he forges on with his tenuous human connections, maintaining intermittent contact with his son, taking misplaced pride in a former protégé gone astray, and establishing a cautious friendship with a kindhearted woman from the local bank. As this solitary man approaches the possibility of new love, he finds himself at a crossroads between remaining consumed by the past and embracing the present. Pour ceux qui ont suivi la carrière de David Gordon Green, on le retrouve ici dans un projet qui fait en quelque sorte la fusion entre les mélos de ses débuts et les pointes d'humour de Prince Avalanche. Pacino fait le job, Holly Hunter se trouve ici un rôle un peu simplet mais qui valait le coup au moins pour une jolie scène avec le père Al; y'a aussi Harmony Korine dans un second rôle extravagant qui dénote carrément du reste du film; Explosions in the Sky à la béo, bof... Et au final, c'est vraiment un petit film indépendant pour festoche qui devrait avoir du mal à trouver un semblant de succès. Mais Gordon Green a de la ressource, on attend juste LE projet qui le remettra dans la cour des grands.
  11. Hongi, le jeune fils d'un chef de tribu Maori, doit venger l'assasinat de son père afin d'apporter la paix à son clan et d'honorer les âmes de ses proches. Pour mieux lutter contre ses ennemis menés par leur chef Wirepa, Hongi va devoir s'aventurer sur les Terres Mortes et forger une alliance avec un grand et mystérieux guerrier qui règne sur la région depuis de nombreuses années. Un revenge flick lambda au niveau de la construction, mais qui a la particularite de narrer la rivalite entre deux clans Maori dans la Nouvelle-Zelande pre-colonisation. Tourne donc en langue Maori, on s'ennuie lors des phases spirituelles gnan-gnans, mais quand ca castagne, ca deboite pas mal. C'est un style d'art martial encore nouveau, on pense a ce que The Raid avait essaye de faire a l'epoque (d'ailleurs c'est XYZ films qui s'occupe des ventes du film), c'est plein d'energie, la bande-son un peu electro par moment joue pas mal, cependant la mise en scene ne deborde pas d'originalite. Uq6adVUyLTU
  12. Steve

    Chappie - Neil Blomkamp - 2015

    Du coup, avec tout ce buzz négatif j'en attendais pas grand chose mais c'était divertissant. Quelques points négatifs comme le duo Weaver/Jackman qui fait vraiment figuration. L'intérêt d'avoir ces deux acteurs est franchement nul quand on voit les rôles qui leur ont été réservés. Ninja et Yo-Landi jouent comme des pieds et on se demande pourquoi le film decide de leur accorder une telle fin. Enfin y'a des problèmes de rythme très très vite et on a l'impression que le film dure 2h30 au final. Malgré ça, le perso de Chappie est intéressant et y'a du talent derrière la visualisation du film. Comme District 9 en fait qui souffrait des même qualités et défauts. Hans Zimmer a retrouve ses synthés, plutôt pas mal. Accessoirement, la 4Dx est recommandable.
  13. Une famille suédoise passe ensemble quelques précieux jours de vacances dans une station de sports d’hiver des Alpes françaises. Le soleil brille et les pistes sont magnifiques mais lors d’un déjeuner dans un restaurant de montagne, une avalanche vient tout bouleverser. Les clients du restaurant sont pris de panique, Ebba, la mère, appelle son mari Tomas à l’aide tout en essayant de protéger leurs enfants, alors que Tomas, lui, a pris la fuite ne pensant qu’à sauver sa peau… Mouaif. Pas convaincu par ce film au très bon bouche à oreille pourtant. Je viens de me rendre compte qu'on avait vu son film précedent à Cannes avec Guncrazy, ça s'appelait Play, et c'était mortel. Ici, même si on est dans la même veine de psychodrame glaçant, je n'ai accroché à absolument aucun des personnages. C'est ultra-demonstratif, et ça s'étire sur deux looooongues heures. Ca se veut destabilisant, avec des cadrages parfois très mauvais mais certainement voulu, et un montage qui n'aide pas à donner un peu d'émotion. Je passe. eDrEjtUsoms
  14. Pas mal. Autant dire que le virage "dramatique" du film m'a completement surpris. Dans le genre pathos familial, ça pèse une tonne mais c'est convaincant en fait dans le contexte. Sandler par contre a vraiment un problème pour jouer la colère. Il reste figé, on dirait Michael Scott qui fait semblant de s'énerver. Ca doit être quelque chose dans "Anger Management"
  15. Kidnappée lorsqu'elle était adolescente, Kimmy a passé 15 ans au sein d'une secte, entourée de quatre autres filles de son âge, en pensant qu'elle était l'une des seules survivantes de l'Apocalypse. Le jour où elle est enfin libérée, c'est un tout nouveau monde qui s'ouvre à elle, rempli d'infinis possibilités. Devant ses yeux innocents et éblouis, New York lui semble gigantesque et c'est là qu'elle est bien décidée à refaire sa vie, même si elle n'a aucune idée de ce qu'elle veut en faire... la nouvelle sitcom de Netflix. Ce ne sera pas pour tout le monde sur ce forum. Y'a du bon et du moins bon. D'un cote, c'est tres type humour New Yorkais, et n'offre rien de vraiment original dans l'intrigue tout au long des episodes. Sur le papier, ca pourrait donc vite lasser. Mais si on apprecie le style d'ecriture de Tina Fey et consorts, les dialogues atypiques, les nombreux moments surrealistes, on peut y trouver son compte. Je me suis bing-watché le truc ce weekend, et je ne l'ai pas regretté. xl0oFwBipbs
  16. Steve

    Rush - Ron Howard (2013)

    Je ne connaissais absolument qued a cette histoire, alors ca m'a plutot tenu en haleine. Donc divertissant, j'avais meme plein de questions par rapport a ce que les evenements du film ont pu change par rapport aux regles de F1, mais y'avait pas de carton de fin pour expliquer ca. Et la, par contre j'ai deja presque tout oublie.
  17. Ivan Locke a tout pour être heureux : une famille unie, un job de rêve… Mais la veille de ce qui devrait être le couronnement de sa carrière, un coup de téléphone fait tout basculer… T'aimes Tom Hardy, tu vas être servi. Dans le cercle sans cesse grandissant des huit-clos extrêmes avec un acteur devant la caméra (Buried, All Is Lost, Gravity, 127 Hours, Moon, Phone Booth, Hours avec P. Walker), Locke ne vole pas sa place. C'est un film de petit malin avec moults grosses ficelles scénaristiques. Ca fonctionne quand même quand on est bon public. Après est-ce que l'exercice de style a une vraie proposition de cinéma : on peut raisonnablement se poser la question. Hardy a un gros charisme, mais côté mise en scène on a fait le tour très très vite. lMCnptjbT84
  18. Stockholm, 1982, à l'heure où le disco explose, trois collégiennes, Bobo, Klara, Hedvig, tout juste 13 ans, décident de former un groupe de musique pour prouver que le punk n'est pas mort... Et pour crier très fort ! Ca fait plaisir de revoir Moodysson, tout juste 15 ans après Fucking Amal, remettre sur le couvert avec le film d'ados qui a la patate. On pourrait lui reprocher d'employer exactement le même style et les même procédés, mais ses jeunes actrices sont épatantes. Très mignon du début à la fin. UNzi8K-b5TA
  19. Steve

    Chef - Jon Favreau (2014)

    Sous le titre #Chef
  20. Steve

    Young Ones - Jack Paltrow - 2014

    Je ne sais pas a quoi vous vous attentiez. Moi j'ai trouve ca plus que correct. C'est parfois pretentieux (la structure en chapitre qui se sert a rien) et previsible, mais l'univers est suffisamment coherent, les acteurs prepares, la mise en scene persuasive que j'aurai vraiment du mal a critiquer le resultat pour un budget qu'on devine limite.
  21. Sutter est un adolescent brillant, drôle, charmant... et très porté sur la boisson. Son quotidien est chamboulé par sa rencontre avec la timide Aimee, une jeune femme totalement différente de lui. Tout la creme des jeunes acteurs hip du moment est la. Faut dire qu'ils sont vraiment doues, tous. Pour peu qu'on soit sensible a ce genre de film inde US romantico-dramatico-teenageo-cool, ca evite la mievrerie et les passages obliges du genre. Touchant et vivant. Meme le dernier acte du film avec le pere du heros qui semble se contenter de ficelles un peu faciles trouve finalement une raison d'etre plutot convaincante. __WxR-TsnVA
  22. Carl Casper, Chef cuisinier, préfère démissionner soudainement de son poste plutôt que d’accepter de compromettre son intégrité créative par les décisions du propriétaire de l’établissement. Il doit alors décider de son avenir. Se retrouvant ainsi à Miami, il s’associe à son ex-femme, son ami et son fils pour lancer un food truck. En prenant la route, le Chef Carl retourne à ses racines et retrouve la passion pour la cuisine et un zeste de vie et d’amour. En voyant le topic Cowboys vs Aliens remonter, ca m'a rappele que j'avais vu et franchement apprecie le dernier Favreau, qui est en tout point plus recommendable que tout ce qu'il a pu faire comme blockbusters puerils. Ici, on ne s'ennuie pas une seconde, les acteurs sont super genereux, ca sent l'ete, la creme solaire, et les tacos. L'exemple meme du feel-good movie. Il ne se passe rien de bien dramatique, c'est juste un road trip familial plein de bonnes intentions. Largement recommendable donc. JWJvbi6J7XE
  23. Beaucoup aime en ce qui me concerne. C'etait parfaitement le film que j'avais envie de me caler un dimanche soir. C'est elegant, bien mene, bien produit, bien joue. Le casting est tres bon d'ailleurs, car on a l'habitude de voir les acteurs concernes dans des roles diametralement opposes.
  24. Ouais je sais pas trop quoi en penser. J'ai tellement peu apprecie les deux premiers films que celui-ci avec sa proposition differente, plus doux-amer, m'a surpris. C'est evidemment bien moins drole a la surface, mais comme ils s'essaient a faire de Alan et de Cheung les deux personnages principaux, on rentre totalement dans leur monde, et le moins qu'on puisse dire c'est que c'est un trip particulier du debut a la fin, qui n'a rien a voir avec la debauche surfaite des deux premiers opus. Sentiment plutot positif pour ma part donc.
  25. Steve

    Whiplash - Damien Chazelle - 2014

    Le court original ZIl-TagNRiE
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