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Steve

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Messages posté(e)s par Steve

  1. Découvert à l'instant. Je ne sais que rajouter à ce qui a été dit au dessus. Je ne savais rien sur le film hormis que c'était plutôt une réussite, alors bien sûr la bonne surprise a été totale. Le film a quand même réussi à me faire faire des grimaces lors des plans les plus gores, ce qui m'a pas mal réjoui.

  2. [img]http://images-eu.amazon.com/images/P/B000A82IKW.01.LZZZZZZZ.jpg[/img] [b]LE NOUVEL ALBUM[/b] Première écoute plutôt satisfaisante, quelques bons gros tubes (Do You Want To, I'm Your Villain, Well That Was Easy, Walk Away,...) et un ensemble un peu plus bruyant. Mais bon on retrouve quand même le Franz Ferdinand groupe de rock pour demoiselles.
  3. Vu ce soir, et plutôt content dans l'ensemble. Des incohérences et des longueurs sur la fin, mais sinon magnifique photo, du rythme, superbe musique, des acteurs à qui on ne demande pas d'être bons mais d'être beaux. Michael Bay s'en sort pas mal, je trouve que son style colle finalement au ton du film, plutôt plaisant, si ce n'est que les cuts sur les plans à hélicoptères m'ont assourdi partiellement l'oreille droite. Une chose qui m'a fait réflechir : L'usine à clones, ça m'a fait bizzarement repensé au Disnaziland dans lequel j'ai bossé cet été : un monde où on ne voit pas au delà de ce qui a été recrée artificiellement, des gens habillés tous pareil, quand on franchi l'envers du décor, ça fait le même choc, et surtout "pas de proximité" : ça on me l'a sorti une fois alors que je voulais juste faire la bise à une collègue ! Dingue !
  4. J'étais persuadé que la jeune génération d'actrice était bonne pour la poubelle et la je tombe sur elle !

     

    Drôle, un super jeu, mignonne bref à des années lumière de ces horreur que peuvent être Cottillard, Courau, Tautou (qui a grave le melon) et autre Sylvie Testud.

     

    Reste Cécile de France qui sans être tjs parfaite est parfois agréable.

     

    Attends y'a pas que Cécile, y'a Ludivine, Morgane, Isabelle (Carré, qui a l'air d'être encore formidable dans "Entre ses mains")

  5. Effectivement une très bonne surprise que ce "Virgil". Une fois passé un début un peu chaotique (voix-off plutôt désagréable et introduction éclair - original et efficace mais forcément déstabilisant), un style s'installe. Et emmené par des comédiens d'une rare justesse (Jalil Lespert (incroyable), Lea Drucker (bluffante), Jean-Pierre Cassel (émouvant), Philippe Nahon (parfait)), le film nous accroche pour ne plus lâcher jusqu'à la fin. Le scénario est plutôt bien écrit, en tout cas on sent une certaine honnêté, et un refus de quelconque compromis commercial. Les personnages ont tous des comportements qui sonnent vrai, les coup de coeur et les coup de sang arrivent sans prévenir comme dans la vraie vie. Le film est assez violent, mais cette violence sert toujours l'aspect nerveux du film.

     

    A noter qu'avant le film, fut projeté le court-métrage "On achève bien les moutons" qui se déroule entièrement dans le Kebab/Grec qu'on voit dans film. Pas ultra drôle, mais assez péchu.

  6. Instructeur dans une compagnie aérienne, Yann Kerbec évalue la capacité des pilotes sur les simulateurs de vols dans des conditions extrêmes. Mais il a un problème : il a peur de l'avion, une peur panique liée à sa naissance et qui, dans sa jeunesse, l'a empêché de suivre la femme de sa vie au bout du monde.

     

     

    Rapidement et justement classé dans la catégorie "films de trentenaire" voire qualifié de "Bridget Jones" masculin, le film de Bezançon, plutôt bien écrit, rafraîchissant et drôle d'un côté, ne prend pourtant pas assez de risques. Alors la séance est agréable, quoique peu surprenante dans sa morale. "Ma vie en l'air" n'a rien du futur film culte, mais s'inscrit dans un certain cinéma français que j'aime bien. Une mise en scène qui se donne les moyens de faire les choses avec un minimum de classe, des comédiens à l'aise, et juste ce qu'il faut d'énergie pour recycler l'air après le prout dégagé par le bande-annonce de "Il ne faut jurer de rien".

  7.  

    Elizabeth Martinson est une infirmière qui ne vit que pour son travail. Quand un accident la réduit à l'état de "fantôme", elle est forcée de vivre comme elle l'a toujours refusé : jour après jour. Son appartement est reloué à David Abbott, un architecte esseulé qui s'attire les foudres d'Elizabeth. Elle l'empêche de jouir de l'endroit en paix mais David refuse d'abandonner cette nouvelle acquisition. Continuellement entrain de se bagarrer, ils sont en fait attirés l'un par l'autre...

     

    Trailer : http://www.apple.com/trailers/dreamworks/just_like_heaven.html

     

    Sortie le 23 Novembre chez nous

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