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Steve

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Messages posté(e)s par Steve

  1. Merci Cyril. J'ai vu le forum en rade hier, j'ai eu pitié de toi en pensant que tu essayais une enième fois d'installer cette mise à jour.

     

    En tout cas, le forum passe très bien sur mobile, c'était l'interêt premier j'imagine. Y'a que les vidéos qui ne marchent pas encore toujours. Sur Windows Phone, c'est pas la même, aucune ne marche, mais même sur iPhone j'ai vu que par exemple celle de Rogue One n'apparaît pas, alors que celle de 10 Cloverfield Lane marche, alors qu'elles sont toutes les deux sont sur Youtube (en regardant comment Nice Panda avait posté la vidéo, j'ai vu qu'il avait inclus le code ?v= dans le balise YT, donc ça doit être ça). Sinon peut-être qu'il y a un meilleur plugin pour mettre les aperçus de vidéos dans le thread au bon format, là c'est élargi en format portrait.

     

    Enfin, au niveau de la hiérarchie du forum en haut, "Home" renvoit à zonebis.com, tandis que "Board Index" renvoi à la page principale du forum. Peut-être que tu veux le garder comme ça, mais là souvent j'ai eu envie de revenir à la page principale, j'ai cliqué sur "Home" et me suis retrouvé sur zonebis.com

  2. Merci bien Riton. Je savais que je pouvais compter sur toi. En plus, ca tombe bien, depuis j'en ai vu deux autres que tu n'as pas mentionnés: TAG et Tokyo Tribe. On ne peut pas dire qu'il se répète. C'est même pratiquement impossible d'imaginer que ces films viennent du même cerveau. Je vais continuer avec tes recommendations.

  3.  

    En Inde, la vie du futur héritier au trône du royaume du Mahishmati est menacée par des conspirateurs. Heureusement, une des dames de la cour, parvient à le sortir elle-même du palais. Blessée et poursuivie par les gardes, elle arrive jusqu’au pays voisin et meurt noyée juste moment où le bébé est pris par des villageois. Une vingtaine d'années plus tard, le jeune prince nommé Shivudu (Prabhas Raju Uppalapati), est devenu un homme courageux et fort, doté d’une âme noble et généreuse, ignorant tout de ses origines. Un jour, il rencontre Avantika (Tamannaah Bhatia), une jeune guerrière qui est à la tête d’un groupe de rebelles. Elle fait la guérilla à leurs côtés pour libérer son pays, le royaume du Mahishmati tombé sous la coupe du perfide et cruel Bhallaldeva (Rana Daggubati) qui retient la reine Devasena (Anushka Shetty), prisonnière depuis vingt-cinq ans. Amoureux de la jeune femme, Shivudu décide d’embrasser sa cause et son combat.

     

    Tollywood à son meilleur, t'entends ? Le top du kitch avec des moyens monstrueux, une fresque avec un Moïse tamoul en deux parties (la suite arrivera en 2017), on passe des clichés les plus honteux du film indien qui veut jouer dans la cour d'Hollywood à l'émerveillement face au challenge remporté. De temps en temps, ce genre de film fait vraiment du bien

     

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  4. Je vais être le seul qui ait été plutôt dans le film jusqu'à ce que ça charcle. Je m'attendais à de la pièce filmée, mais la balance entre tension à couper au couteau et le grain de folie intermittent me tenait en haleine. Et puis le chapitre 6 patatra, Quentin pert l'inspiration et veut finir son film comme il a fini presque tous les autres,

    en massacre (et il s'autocite presque avec Reservoir Dogs)

    . Dommage dommage.

  5.  

    1630, en Nouvelle-Angleterre. William et Katherine, un couple dévot, s’établit à la limite de la civilisation, menant une vie pieuse avec leurs cinq enfants et cultivant leur lopin de terre au milieu d’une étendue encore sauvage. La mystérieuse disparition de leur nouveau-né et la perte soudaine de leurs récoltes vont rapidement les amener à se dresser les uns contre les autres…

     

     

    Alors attention c'est pas le film le plus terrifiant de ces dernières années comme tentent de le vendre les différents distributeurs, mais le but du film n'est clairement pas de faire sursauter les ados en mal de sensations, mais plutôt de reproduire cette atmosphère sinistre et malsaine des colonies américaines du 17ème siècle, où la paranoïa puritaine était probablement à son paroxysme - c'est proche de l'époque du procès des sorcières de Salem). En cela, Robert Eggers n'a fait aucune concession sur la reconstitution : se concentrant sur une famille excommuniée d'une plantation, qui se reloge à l'abris de la civilisation, à l'orée d'une forêt, Eggers choisit d'épurer sa mise en scène de tout ce qui pourrait être anachronique (déjà par le choix de faire parler ses personnages en vieil anglais, ensuite par ses éclairages au plus proche de la lumière naturel). Passé une très violente mise en bouche, The Witch s'attarde ensuite à voir petit à petit les membres de cette famille s'aliéner de manière perverse. Cela repose donc énormément sur la capacité des acteurs à rendre vivant l'hystérie religieuse de cette époque-là. Et la bonne surprise, c'est qu'ils sont tous absolument convaincants et effrayants, du patriarche à sa femme dont les possibles pêchés les consument, aux enfants tous aussi formidable de justesse. Le film n'hésite pas aussi à se lancer sur des pistes de reflexions parallèles intéressantes comme l'éveil à la sexualité dans un contexte puritain ou la parabole sur la capacité américaine toujours contemporaine à la paranoïa et à l'auto-destruction. La marque d'un grand film.

     

    On pense à un peu à du Polanski période Rosemary's Baby (certains diront aussi The Shining ou L'exorciste) mais c'est bien histoire de rapprocher le film de quelque chose tant il apporte beaucoup de sang neuf et existe très bien par lui-même.

     

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  6. Passé la première partie pas très convaincante à Tokyo même, le film devient effectivement très attachant une fois arrivé au Minnesota. Comme dans Fargo, Kumiko rencontre une floppée de persos secondaires sympas et uniques et comme le dit Yatta, le film arrive à raconter une histoire qui pourrait être ultra déprimante en soi, avec des moyens assez légers. Une bonne surprise. Et c'est rigolo de voir à quel point le film des frères Coen a créé sans le vouloir une mythologie autour de l'aspect film culte entre la série dérivée et cette histoire basée sur une obscure légende urbaine.

  7.  

    Dans les années 50, attirée par la promesse d'un avenir meilleur, la jeune Eilis Lacey quitte son Irlande natale et sa famille pour tenter sa chance de l'autre côté de l'Atlantique. À New York, sa rencontre avec un jeune homme lui fait vite oublier le mal du pays... Mais lorsque son passé vient troubler son nouveau bonheur, Eilis se retrouve écartelée entre deux pays... et entre deux hommes.

     

    C'etait mignon mais je ne sais pas comment le film a pu se retrouver aux Oscars. Okay la reconstitution de l'epoque est bien jolie et Saoirse Ronan est charmante comme tout, mais passe le dilemme d'avoir le coeur dechire entre deux pays, c'est bien leger j'ai trouve.

     

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  8. Ben tu vois, dans BvS, c'est pas un si gros probleme la destruction, car c'est présenté comme une reflexion méta dès le debut (LE premier sujet du film c'est quel fut l'impact humain de la catastrophe de Metropolis dans Man of Steel). Du coup on a ca en tete a chaque fois qu'une grosse baston survient.

     

    Nan le probleme c'est vraiment le rythme, y'a pas vraiment de structure en actes, ca part dans la surenchère pour placer tous les elements important du nouveau Batman, ceux de Superman, leur combat parce que c'est l'argument de vente du film mais qui évidemment se terminera en respect et amitié (le truc du coup est complètement malvenu parce que ca se passe en 15 secondes), Lex Luthor qui fait son propre film de son côté (et on ne comprend rien à ses plans machiavéliques), et enfin l'intro de la Justice League qui va faire bander les nerds, mais qui arrive vraiment comme un cheveu sur la soupe. Rien que la fin est interminable, on dirait Le retour du Roi de Jackson, y'a au moins 10 fois où t'as l'impression que c'est soit Snyder qui veut finir le film sur un truc symbolique, soit Warner qui veut finir sur un cliffhanger.

     

    Du coup je peux pas dire qu'on se fasse chier, c'était moins cul-cul et impersonnel qu'Avengers, mais on est passé à côté d'un bon truc si Warner avait pas paniqué à la dernière minute.

  9. Il y avait certainement de bonnes intentions (des themes intéressants et une mythologie qui peut fonctionner sur le papier, visuellement ca defonce), mais en l'état, c'est un désastre je trouve. Pourtant je me suis senti plus concerné tout le long que pour un Disney Marvel, mais la structure du film est un bordel sans nom. Ca part dans tous les sens, et au début, on se dit pourquoi pas, au moins on a pas le temps de s'attarder sur les très mauvais dialogues, et les raccourcis scénaristiques. Mais ca n'arrête jamais, y'a au moins 3 films en un, et sur la longueur ca pardonne pas. A revoir en version longue dans 4-5 mois.

  10. Plutôt sympa, une sorte de conte de fées pour adultes plutôt bien rythmé, bien filmé, avec du bestiaire en plutôt en dur qu'en 100% CG. On pense un peu à The Descent, même si on n'atteint pas les mêmes hauteurs, la faute peut-être à une structure un peu prévisible. Dans un genre un peu similaire de huit-clos dans une maison avec un couple, j'avais préféré par exemple Honeymoon l'année dernière, plus intriguant au niveau psychologique. Le réal va maintenant s'occuper du reboot de The Crow.

  11.  

    Envoyé en Irlande par son entreprise afin d’élaborer un nouveau projet de recherche, Adam Hitchens s’installe, avec sa femme et leur bébé, en plein cœur d’une forêt mystérieusement épargnée par le déboisement industriel. Mis en garde par les habitants du village voisin contre une terrifiante menace qui pèse sur leur fils, le couple fait d’abord preuve de scepticisme, avant de réaliser qu’ils seront seuls à lutter contre les gardiens de ce « sanctuaire »…

     

    Plutôt sympa, une sorte de conte de fées pour adultes plutôt bien rythmé, bien filmé, avec du bestiaire en plutôt en dur qu'en 100% CG. On pense un peu à The Descent, même si on n'atteint pas les mêmes hauteurs, la faute peut-être à une structure un peu prévisible. Dans un genre un peu similaire de huit-clos dans une maison avec un couple, j'avais préféré par exemple Honeymoon l'année dernière, plus intriguant au niveau psychologique. Le réal va maintenant s'occuper du reboot de The Crow.

     

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  12.  

     

    Un petit film fait avec les moyens du bord (crowdfunding, faveurs et autre) mais qui en jette un max. Ca mélange pas mal de références, de E.T. à David Lynch, avec une louche de Gaspar Noé, mais le résultat a vraiment de la personnalité, et sait tenir son pari sur la durée, même lors de gros changements de rythme. On ne sait pas trop où le film veut en venir, mais on reste hypnotisé par une puissante experience audiovisuelle. Le film est à voir absolument en salle, à moins d'avoir un bon home cinema et aucun voisin au kilomètre à la ronde

     

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  13.  

    Nobby Butcher n’a pas de boulot, mais cela ne l’empêche pas d’être heureux. Il a tout ce dont il peut rêver dans la vie : le foot, une petite amie géniale… et neuf gamins. Pour que son bonheur soit complet, il ne lui manque que son petit frère, Sebastian, dont il a été séparé quand ils étaient enfants. Après trente ans de recherches, Nobby retrouve finalement la trace de Sebastian à Londres. Il ignore que celui-ci est devenu le meilleur agent du MI6… Leurs retrouvailles tournent à la catastrophe, et voilà les deux frères en cavale. C’est alors qu’ils découvrent un complot visant à détruire le monde… Pour sauver l’humanité – et son frère – Nobby va devoir se lancer dans sa plus grande aventure. Pourra-t-il passer de l’état de bouffon niais à celui d’agent secret ultrasophistiqué sans faire trop de dégâts ?

     

    Nouveau film de Sacha Baron Cohen donc, qui cette fois se grime en gros chav. Ca a la mérite d'être court (à peine 1h25), et d'enchaîner soit des scènes d'action à la gopro soit les gags les plus vulgaires qui soient. Leterrier emballe honnêtement la partie course poursuite, tandis que Cohen et ses acolytes repoussent les limites de la comédie rated R. De ce côté là, ce sera au choix absolument consternant, ou bien franchement fendard à voir en groupe. J'ai pas choisi mon camp, le tout étant tellement disjoint (au contraire d'un film des Farrelly auquel on pense un peu), mais j'avoue avoir eu quelques enchaînements de réactions

     

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  14. D'accord avec Benj, c'est une honte absolue ce film. Je trouve Amy Schumer assez sexy, donc de ce cote la, le film aurait pu fonctionner sur moi, mais passé la premiere demi-heure, Apatow abandonne totalement, et ramène des guests stars le temps d'improviser des scenes sans queue ni tete. En meme temps, il n'a pas ecrit le film, c'est Amy la responsable a priori. Mais c'est le bordel complet, on se désintéresse complètement de l'intrigue principale. Et les "gags" tombent complètement a plat. Le truc de John Cena et son homosexualité refoulée, c'est franchement indigne.

  15. Pfffff, j'ai trouve ca d'une lourdeur. Ca m'a paru durer 8 heures. Absolument aucune emotion, c'est froid et pas si beau que ca. Ou alors c'est en salle que ca avait le plus de gueule. J'ai vraiment le plus grand respect pour le travail de Gans, je peux revoir Le pacte des loups tous les 2 ans en étant toujours émerveillé. Mais la, rien n'y a fait. Triste. J'ai vu le film en version doublée anglaise, mais les acteurs principaux se sont doublés eux-memes.

  16. Alors j'ai vu ca sur mon ecran HD, et je dois dire que le visuel passe super bien. Pas de soucis de ce cote la, peut-etre qu'en salle ca pique les yeux en effet, mais j'ai rien eu contre le choix du numerique personnellement. Ensuite j'ai beaucoup aime le film J'avoue que je n'avais pas les references en tete, n'ayant vu que le Deodato il y a assez longtemps deja, donc je dois etre une meilleur cible que la plupart d'entre vous. Le point de depart est ironique et donc assez amusant, le rythme est plutot bon, et c'etait bien degueu (y'a que le gag de la chiasse qui rappelle vraiment qu'on a affaire a un sale gosse immature). Donc vraiment j'ai toujours ete client de Roth, c'etait meme le cas pour sa prod chilienne Aftershock, et donc c'est le cas ici aussi. Hormis ca, j'ai trouve tout aussi amusant les coulisses du tournage avec la tribu peruvienne. On fait un pataques du tournage de The Revenant, mais celui-la avait l'air tout aussi irresponsable

  17.  

    Infectés par un mystérieux virus, des écoliers deviennent des créatures sauvages et meurtrières qui menacent les enseignants...

     

    Très bonne surprise, non pas que tout ce touche Elijah Wood ne m'ait fait douter une seule seconde. On est assez proche de l'esprit Troma, le cote bricolage en moins. C'est évidemment très drôle et très gore, le contre-point d'un film comme The Children. On rentre très vite dans le vif du sujet, l'humour n'est jamais trop répétitif, et la bonne humeur est communicative.

     

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  18. C'est très beau et très nerveux mais un peu vide quand même. Et puis ça commence comme un film d'action pour finir en polar très sec et déprimant. Je ne suis pas totalement rentré dans le truc. Peut-être en le revoyant dans quelques années, ça marchera mieux, parce que là les cartels mexicains / war on drugs c'est un peu has-been quand même en ce moment Reste Emily Blunt qui est super badass, elle aurait bien fini dans mon top cutie 2015 si j'avais vu le film à temps

  19. Très très bonne surprise en ce qui me concerne. J'ai trouvé le tout hyper-maîtrisé. C'est beau, touchant, tout en étant super glauque ; le malaise venant surtout du fait qu'il est pratiquement impossible de ne pas sympathiser avec le perso principal. Reynolds est parfait d'ailleurs. Je suis intrigué par le prochain film de Satrapi du coup, l'adaptation de L'Extraordinaire Voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, qui pourrait frapper un très gros coup.

  20.  

    Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, entouré de sa femme Satima, sa fille Toya et de Issan, son petit berger âgé de 12 ans. En ville, les habitants subissent, impuissants, le régime de terreur des djihadistes qui ont pris en otage leur foi. Fini la musique et les rires, les cigarettes et même le football… Les femmes sont devenues des ombres qui tentent de résister avec dignité. Des tribunaux improvisés rendent chaque jour leurs sentences absurdes et tragiques. Kidane et les siens semblent un temps épargnés par le chaos de Tombouctou. Mais leur destin bascule le jour où Kidane tue accidentellement Amadou le pêcheur qui s'en est pris à GPS, sa vache préférée. Il doit alors faire face aux nouvelles lois de ces occupants venus d’ailleurs…

     

    Bon 7 Césars tout ça. Mais c'était une bonne petite baffe quand même. Après, il ne faut pas être allergique aux films dénués d'intrigue au sens classique du terme. C'est poétique, contemplatif s'il le faut. Il faut accrocher au concept pour être récompensé par certaines scènes qui font franchement effet, grâce à une mise en scène inspirée et à un panel d'acteurs assez incroyables il faut dire.

     

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