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Dirty Flichty

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Tout ce qui a été posté par Dirty Flichty

  1. Quelques photos d'elles pré-réduction mammaire :
  2. Oui alors ça j'ai vraiment du mal à y croire. Un New-York dévasté en fond, des vidéos entre chaque casse-tête qui rappellent fortement celles faites pour Lost dans le même esprit, et un site au design et à la conception trop soignée pour que ce soit fait par des amateurs. Quant à Ethan Haas, ce nom apparait uniquement dans une série appelée The Class dont une des actrices joue dans le film produit par Abrams. Coincidence ? Peut-être pas... Mais perso j'aime bien cette façon d'entretenir un certain mysticisme et univers plus ou moins cohérent autour d'un film.
  3. Dirty Flichty

    HOSTEL 2 - Eli Roth, 2007

    Le problème c'est pas tant que le film soit téléchargé, c'est que des soit-disant professionnels de la critiques fassent des reviews d'après un workprint dégueulasse. Enfin perso je trouve ça pathétique (mais puisqu'apparemment c'est Eli Roth qui l'est....).
  4. C'est sorti il y a quelques jours. Quelqu'un aurait-il eu l'occasion de feuilleter ça ?
  5. Un must-see, assurément :
  6. Depuis le temps que je voulais revoir ce clip : Joséphine Jo - Nouveau Riche
  7. Alors pour commencer, Hogfather (Le Père Porcher de par chez nous) est loin d'être un choix pertinent pour une première incursion live dans le Disque-Monde. Etant le 20ème livre de la série, les personnages ont un background assez riche, il est dès lors difficile de faire rentrer le néophyte dans l'univers de l'écrivain barbu. Mais ce choix tient plus de l'impératif commercial qu'autre chose. En effet, quand on sait qu'Hogfather rentre dans le cadre des programmes commandés par la chaîne anglaise Sky One pour les fêtes de noël, on comprend mieux le pourquoi du comment. Et puis après tout c'est pas si stupide que ça, à noël on regarde la TV en famille, le public ciblé sera donc assez large, un bon moyen de fédérer du monde et de donner suite à d'autres adaptations si jamais ça cartonne. Feuilleton au budget faramineux de 6 millions de livres (après ça dépend du nombre de pages de chacun) constitué de 2 parties d'une heure trente, Hogfather représente cependant une semi-déception. Même si ça m'a fait incroyablement plaisir de voir s'animer mes personnages littéraires préférés, je reste vraiment sur ma faim. Ca a l'odeur et la couleur du Disque-Monde, mais ça n'en a jamais le charme et la fantaisie. Tout l'humour disséminé dans le feuilleton fait vraiment cul-serré comparé aux bouquins. J'oserais presque dire trop british (alors que justement Pratchett évite cet écueil lorsqu'il écrit). Alors bien sûr je souriais, plus que je riais (sauf pour le Born To Rune au dos d'un manteau de sorcier, en référence à Accrocs du Roc), mais plus parce que je me remémorais un tantinet la vanne ou le gag dans le bouquin. L'autre problème étant l'adaptation en elle-même, beaucoup trop littéraire. A un point où, malgré les décors et les effets spéciaux, on a l'impression de regarder du théâtre filmé. Tout passe par les dialogues, copier/coller directs du livre, et quasiment rien par l'image. Du coup on se fait légèrement chier devant à attendre le prochain échange de répliques savoureuses. Même pour le découpage on a l'impression que Vadim Jean a simplement repris celui du livre, les espaces entre les paragraphes amenant les changements de lieu et/ou de personnages (c'est en partie pour cette raison que je ne fais pas de comparaison livre/téléfilm au niveau de la trame narrative, l'autre étant que j'ai la flemme). C'est aussi mou que le nom du réalisateur/scénariste quoi. Ca manque de tonus et d'énergie. Je vais pas être trop méchant non plus, c'est vraiment soigné, ça a de la gueule, c'est pas cheap (sauf quelques décors par ci par là), y a de bonnes idées (la Mort est plutôt réussie : un crâne sans expression ni mouvement de mâchoire dont on ne fait qu'entendre la voix, c'est simple et ça fonctionne ; l'ordinateur de L'université Invisible est sympa aussi) mais personnellement j'ai trouvé la première partie inintéressante au possible. La seconde est déjà plus attrayante, peut-être parce qu'on s'attarde plus sur mes persos favoris : les mages de l'Université Invisible. Mustrum Ridculle et Cogite Stibon powa. Et là encore, on touche au point sensible de l'adaptation : les personnages. A la lecture des bouquins, on s'imagine des individus au physique cartoonesque (en étant sûrement influencés par les dessins de feu Josh Kidby) et par conséquent voir des êtres humains "normaux" amoindrit l'impact comique de la chose. L'exemple le plus frappant étant Carotte et Chicard, plus pathétiques que drôles, ce dernier étant complètement loupé ("À priori et plutôt par défaut qu'autre chose, il appartient à l'espèce humaine" nous dit Pratchett, là on a juste un mec assez petit avec deux grandes dents de devant, super). Dans l'ensemble, ça recueille toute ma sympathie pour la tentative mais si du côté de la transposition de l'univers, c'est une réussite, pour l'ambiance et l'âme même de la série, on en est loin. Mais d'après ce que j'ai pu lire ici et là, les fans sont super contents et n'auraient jamais rêvés mieux, donc ne m'écoutez pas, je suis un vieux con aigri et blasé. Ca me va. Quelques captures pour donner envie (ou pas) : Et en cadeau bonus, le caméo du sieur Pratchett himself :
  8. J'ai pas le coeur à disserter mais pour faire bref : tout ce que toi t'as trouvé naze c'est ce qui me fait dire que la saison 4 est ma préférée. Donc pas pour tous les fans de cette série en fait. Et c'est à peu près pareil autour de moi (dans un périmètre de 2 kilomètres 300, au delà on parle pas la même langue).
  9. Dirty Flichty

    Vos concerts bis

    Projo de courts de Jan Svankmajer + concert de Gâtechien et Le Singe Blanc. Sauf qu'à la place de Gâtechien on a eu droit à un groupe strasbourgeois nommé Like in Primal Scum vu que le batteur a la toxoplasmose (il a mangé les crottes de son chat). La noise hellaienne laisse la place au post-rock ethéré. C'était vraiment bien fichu, efficace, bonne mise en place et tout le toutim sauf que bon : juste un groupe post-rock de plus. Ils ont écouté Explosions in the Sky, ils le font bien, mais faudrait penser à se forger une pitite identité tout de même. Bonus : la batteuse était zoliiiiiiiiiie. Après c'était Le Singe Blanc et là.... putain que c'était bon : 2 basses/1 batterie/un max de bruit. Entre Ruins pour le chant déjanté et les passages nawakesques, Nomeansno pour la section rythmique avec riff de basse en boucle qui avance, qui avance et Kurt pour la dynamique quasi-élastique incroyable créée par le groupe. Le final était dantesque avec des nouveaux titres encore plus hardcore que le reste, du grand art. Ca envoie le steack mec. Ca faisait un bail que j'avais pas pris autant de plaisir pendant un concert.
  10. Y a pas mal d'éditions, un comparatif ici : http://www.dvdcompare.net/comparisons/film.php?fid=9465 Une critique du zone 2 UK : http://www.therewindforums.co.uk/forums/viewtopic.php?p=74367 Du zone 3 Coréen : http://www.dvdbeaver.com/film/DVDReview2/comeandsee.htm Et même une édition suédoise avec VF et STFR : http://www.dvdforum.nu/?upc=387010012573
  11. Pour ceux que ça intéresse, l'excellent BO de Gene Page (grand monsieur de la soul) est dispo à 6€ sur Selectadisc. http://www.selectadisc.co.uk/product_page_selectadisc.asp?tid=6286
  12. hé ben pour moi c'est du tout bon. Début de saison tip top cool, rythmé as fuck, avec son quota de rebondissements plus ou moins téléphonés (dans tous les sens du terme). En tout cas j'adhère à fond à l'idée de série évolutive, au concept non figé. S'ils font une saison 3 du genre : les rescapés, 10 ans après, je dis banco. Je trouve ça vraiment jouissif (quand j'écris un truc, c'est vraiment mon but : une histoire sans fin avec des persos qui évoluent, vivent, meurent, en accumulant les péripéties et sur une durée plus ou moins longue). En plus les scénaristes ont aucune pitié envers les persos, bravo.
  13. Ah ben copinage oblige, mais pas que. Je suis abonné au mag et la (longue) critique + la (très longue) interview respirent la sincérité. Ils ont mis 5/5 parce qu'ils ont réellement adoré. Un des journalistes, Goffette je crois, avait suivi le tournage d'Enfermés Dehors (Dupontel étant l'autre parrain de Brazil) et criait son admiration pour l'homme, les acteurs, le film etc.... Il était donc évident qu'à la sortie on aurait le droit un avis dithyrambique. Hé ben non, le film a "seulement" eu 3/5 et ils n'ont pas caché leur déception. Tout ça pour dire que même si la chose est amusante pour Tideland, ils restent un minimum objectif (mais vraiment un minimum, c'est aussi pour ça que j'aime le mag).
  14. C'est justement cette absence de fil directeur, de scénario linéaire et balisé qui fait que je me suis engouffré sans problème dans l'imaginaire du film et de Jeliza-Rose. Il y a un malaise palpable et progressif qui fait que des sentiments comme la fascination et la révulsion se mêlent parfois (la séquence finale avec le train est plus qu'osée, presque plus que toutes les allusions pédophiles/nécrophiles et j'en passe qu'ont bien voulu retenir les journaleux. Un film jusqu'au-boutiste et suicidaire et qui ne ressemble à rien d'autre, c'est déjà pour moi un des meilleurs films de ces 20 dernières années. Ni plus ni moins. Je peux tout à fait concevoir qu'on rejette et/ou déteste ce film tant il ne caresse pas le spectateur dans le sens du poil. A noter que le film n'a pas été doublé en français (heureusement parce que j'imagine le désastre vu l'implication des acteurs).
  15. Argh, je viens de regarder l'extrait en VF, c'est affreux. La série est quand même vachement bien branlée au niveau de l'écriture (et aucune saison ne se ressemble, cf. la troisième assez surprenante) et ne ressemble à rien d'autre. C'est un sitcom, on a donc le droit à des rires enregistrés, et ce qui frappe le plus c'est que plus on avance dans la série, plus les rires se font indécis. A partir de la saison 2, c'est encore plus flagrant tellement la série oscille entre horreur et humour de façon plus que singulière. On ne sait vraiment plus sur quel pied danser, je pourrais pas expliquer, il faut le voir pour comprendre. C'est toujours très très drôle mais de plus en plus malsain (séquestration, meurtre, phénomènes surnaturels, cannibalisme,....), d'ailleurs les rires disparaissent pour la 3ème saison. De plus, les trois gros dingues à l'origine du truc et qui composent une gallerie de personnages incroyables n'hésitent pas à caser des scènes touchantes à des moments où on ne s'y attend vraiment pas. Le film est hélas en deça, pourtant le pitch était prometteur (les persos de la série rencontrent leurs créateurs) mais ça repose trop sur les quiproquos pour emporter mon adhésion.
  16. Un des films que j'attends le plus. Le Mel Gibson de Braveheart sur un sujet qui me passionne, j'ose espérer quelque chose de grandiose et épique. Apparemment, ça s'annonce assez couillu.
  17. Perso j'ai trouvé que le rendu final est parfois assez laborieux (je pense surtout à la course-poursuite avec les oiseaux "Bob" à laquelle j'ai strictement rien calé, où l'image est même parfois floue et illisible), avec des trucs assez grossiers au niveau des incrustations, mais dans l'ensemble c'est plus qu'enchanteur et réellement enthousiasmant pour la rétine. Visuellement ça déborde d'inventivité et d'imagination (en faisant abstraction de ce qu'a pu faire McKean auparavant, N[eon] et The Week Before principalement). La zik, je savais déjà qu'elle allait m'énerver vu que j'avais choppé la BO y a pas mal de temps. Celle qu'on entend pendant le générique de début est un des trucs les plus affreux qu'il m'ait ait été d'écouter depuis un bail avec son sax dégoulinant et irritant. Mais le reste du temps, ça m'a pas tant dérangé que ça. Pour ce qui est de l'histoire, c'est du déjà vu mais McKean y rajoute ses obsessions (les masques qu'on retrouve dans l'intégralité de son oeuvre, des illustrations pour Sandman à ses courts précédents) et y donne un rythme vraiment particulier, languissant mais jamais ennuyeux. Il se passe toujours quelque chose, que ce soit un personnage au physique spécial, un évènement extraordinaire ou une saynète comique entre les 2 persos principaux (dont la très mignonne Stephanie Leonidas). Mais du coup, les séquences s'enchainent comme dans un jeu vidéo : ils arrivent dans un nouveau lieu (niveau), font ce que le scénar leur dit d'y faire et passe au lieu (niveau) suivant. J'attendais quand même un peu plus de côté là de la part du duo Gaiman/McKean. En fait, je m'aperçois que ce que j'ai préféré dans le film ce sont les 20 premières minutes. Tout ce qui se passe en dehors du monde fantastique donc. La mise en place est je trouve exemplaire, rapide, concise et tout en mouvement. Mirrormask n'est pas le bijou ultime que j'aurais espéré mais est tellement sincère dans sa démarche que je ne peux qu'adhérer. J'ai déjà envie de le revoir, c'est bon signe.
  18. Mon préféré reste The Foul King mais avoir revu A Bittersweet Life au ciné hier me fait penser qu'ils vont bientôt être mis à égalité pour ma part. Plus je le vois, plus je l'apprécie. Quant à The Quiet Family, c'est méga-chiant et 2 Soeurs, méga-nul (et je suis objectif nondidiou !).
  19. Je me commence une intégrale Garth Ennis (hors Preacher que je connais maintenant par coeur) :
  20. C'est un type de modification corporelle qui s'est pas mal développé ces derniers années : l'implant sous-cutané. Ca peut être en teflon ou en silicone et avoir la forme que tu veux. Y a aussi les implants transdermiques en acier chirurgical qui consistent à introduire une base métallique plate sous la peau comportant un pas de visse qui lui est externe à la partie du corps choisie permettant alors d'y visser n'importe quel "bijoux". Et je dois avouer que cette fille me fait pas mal d'effet (j'aime bien les étoiles mammaires).
  21. LZA sous (presque) toutes les coutures :
  22. Ben c'est beau quoi, ça m'a émoustillé mon côté fleur bleue.
  23. Il était super le 18, la fameuse larme est complètement remise en question par le plan final, ça n'a donc rien de bêtement patho. Depuis 2/3 épisodes, ils ont retrouvé du poil de la bête, ça fait plaisir.
  24. Le DVD est tellement hot qu'ils le vendent à la Feunaque en le mettant bien en évidence. J'ai bien envie de le mater tout de même (pour Audrey ).
  25. Le film est loin d'être extraordinaire, c'est plutôt mou et clairement pas oriénté action (ça parle beaucoup), mais est franc du collier, pète pas plus haut que son cul et est une sorte de voyage dans le temps vers les 80's. Ca manque de rythme et de suspense mais les acteurs offrent de belles prestations (Bruce Willis est excellent en flic loser crevé alcoolo à moustache et Mos Def l'est tout autant en délinquant tchatcheur à bon fond sauf que le doubleur français est une sorte de Doc Gynéco du pauvre qui parle du nez rendant les dialogues quasi-insupportables) et si les rebondissements sont prévisibles, la structure du film l'est moins. Comme par exemple cette demi-heure statique alors que le pitch de base propose une chasse à l'homme sur 16 blocs. Pitch pas exploité comme on aurait pu le souhaiter donc. On peut aussi ne pas aller le voir, y a rien d'immanquable dedans.
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