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superflo

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Messages posté(e)s par superflo

  1.  

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    J'ai profité du confinement pour lire ce classique de la littérature américaine, et c'est effectivement plutôt chouette. Beau roman ds le Sud raciste des Etats Unis, du point de vue d'une petite fille. Un style fluide, des belles valeurs, un bon sens du suspense à une ou deux reprises, un bon bouquin !

     

    tu as vu le film? chef d'oeuvre!

  2.  

     

    le prix est franchement raisonnable en plus, dans les 35 euros.

    vu comment ça doit être chiant à fabriquer par rapport à un bouquin standard, je m'attendais à bien plus.

     

    du coup j'ai défoncé cette chaine youtube de livres pop-up et ceux d'alice aux pays des merveilles et trasnformers sont dingues aussi

     

    Oui j’ai vu ça! Mon fils a un superbe pop up du petit prince, je vais prendre celui d’Alice à ma fille je pense

  3. en pleine crise de nostalgie des livres animés de mon enfance, je me suis fait offrir le pop-up book de walking dead à noël.

    ça fait longtemps que j'ai lâché la série et les comics mais ça c'est une véritable oeuvre d'art

    je ne connaissais pas, mais maintenant, il me le faut!!!

  4. je n'ai rien contre les films d'ambiance, les trucs un ,peu obscurs, mais vraiment j'ai trouvé ça chiantissime... j'ai patienté jusqu'au bout parce qu'un ami m'a dit "vois au moins la dernière scène". Bon ben voilà quoi... même ça je ne trouve rien à en dire en fait...

  5. je repense à la séance du 1er (je me suis arrêté là hein faut pas pousser), on était consternés à attendre que quoi que ce soit d'un peu flippant arrive, et tout à coup, une amie s'est écrié "en fait leur démon c'est un chat", et c'était vraiment ça, le truc pousse une porte, renverse des trucs et vient te faire chier la nuit en bougeant tes draps...voilà, au moins j'ai ri une fois pendant le film à défaut d'autre chose...

  6. le contexte était différent, un film porté par des héroïnes ça restait marginal. donc acceptable. en plus c'était considéré comme des bons films en effet. Mais si les femelles envahissent même les films de merde, ou va le monde?! (ça me rappelle une réflexion entendu au taf "à compétences égales, tant qu'à faire j'embauche un homme"...) En gros de la femme ok, mais uniquement si elle a une valeur ajoutée..

  7. je vais me répéter mais les blockbusters masculins décérébrés me donnent des leçons de vie à la con depuis toujours que tu le veuilles ou non. c'est juste tellement intégré que c'est ça la norme, que dès qu'on applique cette norme mais avec des femmes dedans, tout les mecs trouvent ça lourdingue. C'est vraiment ignorer tout un pan sociologique et historique du cinéma que de penser que le cinéma des années 80, du reaganisme etc, (même si ces films m'éclatent) basé exclusivement sur la valorisation de l'HOMME, viril, musclé et qui sauve la terre et la faible femme ne revendiquaient rien et n'avaient aucun impact sociétal. Ils imposaient une vision de la société qui a tjs invisibilisé la femme ce qui dans ces époques là, correspondaient aussi à ce que l'on voulait dans la société. Je pourrais te trouver des tonnes d'exemple aussi lourdingues que ceux que tu cites dans terminator dans des dialogues, scènes etc (genre la femme n'est pas qu'une mère etc) mais qui étaient là pour asseoir la place dominante de l'homme dans la société. Mais je sais que vous les démonterez tous en disant "non mais ça c'était pour le fun hein, ça revendiquait rien" sauf qu'historiquement c'est rarement le cas... J'ai pas mal étudié les représentations de genre au cinéma, les processus d'identification aux persos selon que le spectateur est un homme ou une femme, etc etc, pour pouvoir affirmer que ce que vous considérez comme du simple bourrinage gras et divertissant était souvent bien plus que ça dans les société d'il y a qq décades.

    et le côté "à l'époque au moins on faisait du ciné que pour l'amour de l'art et de la déconnade de manière pure et sincère alors que maintenant on essaye de nous refourguer une idée de la société, historiquement ça ne tient pas trop la route, c'est juste que des dizaines d'années plus tard on a perdu le contexte de sorties de certains films... Après je m'en fous, je sais que je vous convaincrez pas, pour vous il y a une norme acceptable, la surreprésentation masculine dans le cinéma, et une nouvelle norme insupportable qui est qu'on continue à faire des films de bourrins teubés, mais avec des femmes comme héroïnes... Tout ce qui est machiste est bon enfant, tout ce qui est féministe est extrémiste...

  8. Oui mais encore une fois quand c’est des idées hyper machistes ou masculinistes qui sont véhiculées dans des blockbusters complètement cons portés uniquement par des poilus ça ne vous a jamais posé aucun problèmes je crois. Pour les mecs le féminisme est toujours « trop » extrémiste et par contre je n’ai jamais entendu que la surrepresentation masculine dans les films desservaient les hommes parce c’etait « Too much »

  9. c'est complètement teubé. Ceci dit le temps passe à peu près vite, entre qq poursuites et explosions et liquéfaction de terminator, ça aurait fait un dtv à peu près viable... Linda Hamilton a l'air d'un croisement entre Jacques Dutronc et Françoise Hardy. Ceci dit je m'interroge, si un film est qualifié de "féministe dans tout ce que ça a de plus toxique et de plus abruti" juste parce que les héroïnes sont des femmes", comment doit-on qualifier les millions d'autres films (en gros 99,5% des films sortis avant 2010) ou les héros sont des hommes tous plus testostéronés et stupides les uns que les autres?? en gros tout les films que vous encensez en permanence... bref...

  10. Running Man par Bachmann/King

    On ne sait pas trop comment Steven E. de Souza, scénariste de l'adaptation, en est arrivé là où il est arrivé, mais le bouquin n'a rien à voir avec le film. On garde l'idée d'un jeu télé dans une société facho-futuriste inégalitaire et le nom du héros (Ben Richards), et pis c'est tout. Ici, Richards est un chômeur marié à une fille qui fait le tapin pour pouvoir nourrir sa famille. Leur fille souffre d'une pneumonie et est à l'article de la mort. La situation pousse Richards à se lancer dans un jeu TV suicidaire qui le fera courrir à travers plusieurs états de la côte est. C'est du polar poisseux et ultra violent, à l'opposé de la gaudriole disco-lycra de Paul Michael Glaser. J'avoue que je ne m'attendais pas à autant de noirceur de la part de King - un zonebisseux m'avait pourtant bien dit que Bachmann, c'est du King en plus costaud... il avait raison. Bref, c'était très bien.

     

    jl2694-1992.jpg

     

    du coup je me rappelle qu'ado, ça m'énervait la couv du livre avec Schwarzy vu comme le film était loin du livre. D'ailleurs ça m'énerve toujours qu'on colle des images d'un film à un livre. je suis tombée sur la dernière édition de "ça" avec l'image du film ça m'a mis les nerfs, et ça m'a rappelé que j'ai perdu ma vieille édition de poche des 80's avec la couv super classe...

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