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Guillaume Tell

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Tout ce qui a été posté par Guillaume Tell

  1. Mais pourquoi n'ai-je pas lu vos avis avisés. C'est effectivement vraiment insupportable. Mention spéciale loose pour l'entrée de trois malheureux valets de Mads, arbalète en joue, qui entrent dans une ruine façon GIGN.
  2. Très intéressant interview, merci. Qui fait apparaître que tout ça un peu plus loin que jeune et vieux pervers, notamment dans la répétition du schéma familial. Lukas fils de Eva, elle-même fille de Irina, photographe dite scandaleuse et membre du mouvement Cobra. Reste, il est vrai que les ados et enfants embarqués dans ses diverses entreprises ne sont pas partie prenante des choix de leur mentor respectif. Seul point qui mérite d'être mis en discussion. Pour les pieds, après vision, on est très loin de l'aseptisation de l'image de Lars. Moches pieds comme diraient Les Beaux Gosses, mais très bien vu de la part Clark, qui visiblement connaît bien les soucis de l'hygiène adolescente.
  3. Laisse quand même un peu de surprise… Maintenant, je vais penser à Frot tout la semaine , projection programmée pour vendredi prochain. Du poil dans la bande annonce, mais pas de pieds. PS: effectivement pas de pieds chez Lars. Question de prothèses plus difficiles à trouver que des bites belle droites garnies d'une unique veine à faire pâlir un hyperréaliste et des foufounes bien peignées???
  4. C'est aussi un étalage de certains travers de la société argentine, mariage, fonctionnaires, bureaucratie, machisme exacerbé, télévision agressive, manifestations à tout-và. Pour ma part, ai pas vu le temps passer (et pourtant, ça dure plus de deux heures). Je rejoins Jeremie pour la description des segments et un deuxième très, très drôle et je pèse mes mots . D'autres plus amères.
  5. Seligman récemment évoqué ici me rappelle au bon souvenir de cette sortie 2014, apparue dans nos contrées, je vous souhaite la même chance. Désigné homme de l'année par ses pairs dans un trou perdu scandinave, Stellan Skarsgård, conducteur de chasse-neige bien sous tout rapport, se trouve meurtri par la mort de son fils. La suite se devine sans peine: il s'occupera lui-même de la vengeance de son rejeton impliqué malgré lui dans une malversation d'un trafic de drogue. Neige, froid, grands espaces, abrutis en veux-tu en-voilà, le vrai régal de l'hiver serré bien au chaud dans son siège de cinéma. Constante remise en question des habitudes de chacun, tout le monde en prend pour son grade: Suédois, Norvégien, Balkaniques, monsieur tout-le-monde ou trafiquants über-classes vegan et névrosés. Bruno Ganz en guest-star, innatendue, Stellan Skarsgård, irréprochable comme le reste du casting. Voilà, très bon, très efficace. Si vous tombez dessus, il me semble qu'il ne faut pas hésiter.
  6. N'en dis pas trop quand même! , bon, vu le truc, il semble qu'il va rester quelques surprises
  7. Merci, mais … le plan a foiré. Problème technique lors de la projection et retard, mais grosso modo, ai pu voir le volume 2 après une courte fin du 1. Effectivement, la scène DC, spoiler Jeremie, vaut son pesant d'hémoglobine qui met mal à l'aise. Par contre, et c'est le seul cas, j'ai préféré la scène des Blacks sans la partie explicite, qui finalement axait sur leur dissension et mettait totalement le sexe sur la touche, contre-pied judicieux aux clichés pornographiques. Pour l'ensemble, même remarque que précédemment, trois heures et presque surpris que le générique de fin apparaisse. Vraiment réussi.
  8. Question très pratique Jeremie: après combien de temps débute le volume 2? Si j'en crois le net - découpage wiki - le segment 1 DC dure 145 min, ça correspond? N'ayant pas le courage de nous envoyer 5H30 de film, c'est juste histoire d'entrer dans la salle pile-poil au début de volume 2.
  9. Il me semble que seul l'art martial a changé, plus projection judo que pétage de poignet aïkido. Il doit être juste un peu plus fatigué, mais, comme dit, rien ne l'arrête.
  10. Pour une guerre que nous connaissons en long et en large, un aspect intéressant développé autour des chars américains comme indiqué en introduction. Maintenant, on peut se poser la question de savoir s'il ne serait pas plus judicieux de choisir des guerres plus proches de nous, temporellement s'entend. Ceci dit, le film fonctionne bien, quelques scènes clé bien senties rythment le film. Brad un poil allumé fait le reste avec son équipe.
  11. Je rejoins Nick qui fait le parfait résumé: un film où l'on pleure. Puis Jeremie: pas de bol, il arrive après Gravity. Vu dans une salle respectueuse, nous avions presque honte de chuchoter pour tromper notre ennui. Voilà ce qui arrive quand on veut être ambitieux. Traiter à la fois de la mécanisation et l'automatisation à outrance, des trous noirs, de la phobie de la supercherie supposée lors de la course à l'espace, de la relativité, de diverses retombées écologiques, de la relativité et de problèmes familiaux dont tout le monde se fout, en résulte un truc que même Casimir n'aurait pas digéré.
  12. Tout le monde a bien noté que la bande annonce ci-dessus correspond à "l'original" de Dellamano, soit Quelli della calibre 38, dont le sujet nommé en titre est "une "suite" de Vari.
  13. Suis tombé là-dessus par Punition reloaded. Bon, c'est culte parce que ça veut rien dire ok, mais quelle a pu être l'intention. Comme Helvète, je reste curieux
  14. Comme ça fait plaisir de revoir un truc comme ça. La science et les raccourcis extrêmes propres à ce qui m'a rappelé, en moins sérieux une ambiance Au delà du réel, des outrances en veux-tu en voilà. No souci, tout baigne, le récit avance. Des petits chiens en plastiques dans un bocal en plastique rempli d'eau, un tuyau d'alimentation avec un produit chimique du cru et hop expérimentation génétique à la pointe de la science. Et puis comme cela fonctionne si bien avec un chien, il suffit de commander un embryon congelé livré à domicile pour construire sa bombasse à soi tout seul. Final grotesque et savoureux, avec poursuite de voiture improbable. Ai trouvé même plus que sympa, que du plaisir. C'est marrant en la voyant, j'ai tout de suite pensé que le susnommé n'a pas du ramollir de la deuxième moitié du film, sentant un air sino-je sais pas quoi dans son minois. Erreur grossière, elle est d'origine nicaraguayenne. Ce qui n'enlève rien, bien entendu, à son charme aussi innocent qu'explosif.
  15. Guillaume Tell

    Her - Spike Jonze, 2013

    Je modère l'enthousiasme qui semble présent ici en conseillant carrément de ne pas y aller. Si comme moi, c'était juste pour voir, sans y croire et avec un léger a priori, ce sera très probablement une longue traversée de la jungle des images léchées et creuses. Voilà, m'y suis copieusement ennuyé, et n'ai jamais réussi à voir autre chose qu'une interminable série de clichés pour la future campagne Orange ou quelque autre pourvoyeur d'un monde feutré. PS: Je me demande si une pièce radiophonique n'aurait pas suffi à soutenir le propos
  16. Eh bien finalement, y a peut-être quelque chose à garder malgré cette virulence assez rare contre le pauvre Dupuis. Enfin, connais pas, il mérite peut-être le pilori
  17. Mais oui, quel con, j'ai même pas regardé si le sujet existait … et il existe … Oups!
  18. Et bien, pour ma part, LOS BASTARDOS lui est bien supérieur, notamment par l'attention portée au parcours de deux individus sur un mode glacé et jusqu'au-boutiste. HELI qui suit le parcours d'une famille se perd en plusieurs sujets qui sont en vrac, le pouvoir incontrôlé de l'armée, la corruption, la relation d'une jeune fille et d'un jeune militaire, le travail industriel dans les campagnes, la torture, les gangs et leurs liens au pouvoirs officiels, la justice à tendance vengeresse, la parentification. Bref comme dirait l'autre, un peu diffus.
  19. Vu par un collègue à qui je prête souvent des films sur une chaîne TV il y a quelques nuits, je n'avais aucune idée de quoi il s'agissait et du coup fut assez vexé. Le film soutien une intéressante réflexion au travers d'un film d'horreur ultime rattrapé par son making-off improvisé. Budget minimal, 60 000 euros. Aucun vote sur IMDB, ce qui est assez rare tout de même. Kikavu?
  20. Clair qu'en voyant le film annoncé sur la page d'accueil d'Allocine il y a peu, on se doute un peu que Bruce a du mettre un peu d'eau dans son vin
  21. Guillaume Tell

    Gérardmer 2014

    Le résumé de Kerozene est très fidèle à ce qui s'est passé. Il a juste omis de dire, c'est une première pour notre stakhanoviste, que sous l'effet conjugué de l'alcool et de la fatigue, il a du quitter la séance du très bon Halley. J'ajouterai trois très bonnes séances: - Sharknado et la salle en délire, particulièrement dans la deuxième partie qui oscille entre les élans patriotiques et le total free style à requins. Grand moment pour ma pomme. - Disco Killer, le son poussé à fond sous les clameurs du public, pour une sympathique reconstitution seventies à l'aube du disco. Des Etats-Unis au Canada, en suivant les aventures de l'homme qui tue sous l'emprise du disco. Là aussi, l'ambiance bière et sandwichs de la salle joue son rôle - Plus sérieux, le style qui ne plaît pas du tout aux locaux de Gerardmer, L'étrange couleur des larmes de ton corps, un très bon moment du festival.
  22. Très bien, ai eu la faiblesse de penser que c'était une réponse à la question Et re très bien. Je comprends mieux ta remarque. Merci des précisions. Sais plus trop, si j'a envie de me lancer. Ai trop entendu que c'est tout de même un peu longuet.
  23. Je vois (Sans vraiment comprendre ce qui se passe )
  24. Cela ne fait pas beaucoup pour les 2H18… ai bien fait finalement de m'enfiler dans la salle de Robocop après hésitation. C'est quoi un "rôle assez ingrat" pour Jennifer Lawrence?
  25. Ben, même sans y aller à reculons, en me disant que je ne souvenais de toute façon pas trop de l'original et pour une version en VO, j'ai de la peine à y trouver de l'intérêt. C'est froid, sans être dur. Quelques répliques tentent de donner du sens, mais sans être très mordantes. Les images sont assez académiques et parfois loupées, à quelques exceptions près. La scène qui rend le flic propre à devenir le futur Robocop par exemple, jolie variation, très visuelle au demeurant. C'est technique, trop prétentieux pour donner une petite ambiance B; tous les supports transparents sont utilisées jusqu'à la nausée, pour tout et n'importe quoi. Par contre, l'approche médicale, assez surprenante par son côté clinique, secoue un peu le ronron de la présentation des diverses expériences, très bien. Les personnages méritent un paragraphe. La nounou de Dexter d'abord, Aimee Garcia en infirmière technicienne salope, qui prend la tête car on se demande bien ou on l'a vue, le patron de Truc Much Corp, une sorte de Julien Lepers américanisé, le méchant qui n'a pas du tout une tête de méchant, la cheffe du futur Robocop minuscule, étriquée dans sa chemise noire fraîchement repassée d'où dépasse une tête bizarre comme antithèse du capitaine Dobey et pas mal de figurants qui jouent comme des savates au second plan et qui distraient très fort. Les Iraniens qui lèvent les bras, les types qui font semblant de danser pendant le rêve et une sorte de chirurgien asiatique qui fait n'importe quoi un bras levé à côté de Gary pour ne citer qu'eux. Voilà, pas glop, pas glop. Dommage.
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