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Nicolas

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Tout ce qui a été posté par Nicolas

  1. Moi je veux bien, si c'est pas trop tard? Je l'ai vu et j'en strictement aucun souvenir
  2. Nowheeeere to ruuun, nowheeeere to hiiiide from the looook of lovee.... Revu y a genre deux ou trois mois. Film gentiment nul à l'instar des productions prétexte de gloire d'Elvis Presley... quelques sourires, mais tout y est poussif, forcé, la mayo prend pas vraiment, pas très drôle. C'est plus Madonna, c'est Christian Clavier dans "les visiteurs", bordel elle est d'une lourdeur pachydermique. Le main title cartoonesque (Bill Plympton anéfé!) sur causing a commotion dépote. Difficile d'y voir autre chose qu'un produit dérivé d'album, en gros un produit aussi putassier que Madonna elle même. Je préfère largement "recherche susan désespérément" à l'arrivée.
  3. C'est un film qui a des couilles de nana grosses comme ça. Un excellent polar sec avec un final d'anthologie. Y a bon.
  4. Je ne trouve pas que le film abuse d'ambiguité Plaqué par sa femme qui l'accuse d'être violent mais qu'il n'a jamais frappé (ce qui déconcerte les policiers), viré comme une grosse merde de son taf, plongé dans un environnement urbain grouillant de débilités administratives et sociales (scène pas mal du tout de l'afro-américain pas économiquement viable qui le prend à partie), la chaleur aidant, le type finit par logiquement pêter un boulon, devient lui même cruel, sans être un nazi pour autant, il en défonce un d'ailleurs. C'est un peu ça que ça montre, et c'est faussement bas du front à mon avis.
  5. Nicolas

    Wishmaster - Robert Kurtzman - 1997

    Vu en salle. Pas aimé. Jamais revu. Ça donne pas vraiment envie d'y replonger de lire tout ça.
  6. Nicolas

    Inferno - Dario Argento - 1979

    Le wild side me contentait, très franchement... mais bon qu'est ce qu'on ferait pas pour Irene Miracle
  7. Je l'ai acheté à cause de Damien via la rubrique bons plans, bizarrement, je l'avais jamais vu. Je trouve à l'arrivée qu'il n'y a pas assez de Sam Elliot, qui est de toutes les scènes fortes et trop de Peter Weller qui a un personnage assez détestable en plus. Par contre, globalement ça se suit avec un certain plaisir et je dirai même plus, un plaisir certain. (Faut tester la piste VF sur le br qui doit provenir d'une vhs oubliée sous le soleil, c'est pas possible autrement?!)
  8. Trouvé en brocante ce matin Pris evidemment! Bon, j'ai déjà vu "bad trip 3D" (en salle et avec les lunettes). Belle occasion d'approfondir la filmographie de ce cinéaste non négligeable donc!
  9. Je suis assez d'accord avec ce dernier avis. Un film monde.
  10. J'ai aussi une préférence pour "les affranchis", mais " casino" ça tabasse sévère quand même... Et pour faire mon Jean Tulard, Sharon Stone y livre une composition hautement habitée. Elle y est exceptionnelle.
  11. Nicolas

    Cocktail - Roger Donaldson (1988)

    C'est une comédie de moeurs, genre parcours initiatique avec aussi une dimension dramatique sur la fin, en rapport avec l'apprentissage du candide. C'est plutôt bien interprété dans cette veine, Tom Cruise joue sa star, la fraicheur d'Elisabeth Shue et l'exotisme font le reste... mais ce n'est pas d'une légèreté à toute épreuve propre aux années 80... on entre gentiment dans les 90's quoi...
  12. Nicolas

    Cocktail - Roger Donaldson (1988)

    OK d'accord mais alors il faut revoir aussi "on se calme et on boit frais à Saint-Tropez" alors
  13. Remarque pleine de bon sens, pour qui a un minimum d'hygiène bucco-dentaire Je l'ai vu en salle, à sa sortie, comme tous les sex thrillers de l'époque, qui paraissent si sages et datés aujourd'hui. Celui-ci est particulièrement ringard et mou, avec une Rebecca très mauvaise actrice lorsqu'elle joue les intellectuelles (elle a produit le truc), un Pino Donaggio qui s'auto-singe en mode De Palma discount, l'intrigue (très bête) est construite autour de cette sulfureuse scène de saillie inversée contre grillage, ou il faut le dire, Rebecca est nettement plus convaincante en bouffeuse de cul poilu. C'est dire le niveau
  14. Nicolas

    Breakdown - Jonathan Mostow (1997)

    Tiens c'est interessant çà. J'avais pas vu ça comme ça, mais je vois ce que tu veux dire, sans pour autant l'expliquer non plus
  15. Nicolas

    Incubus - John Hough (1982)

    Bon alors après l'avoir visionné la nuit dernière, je peux dire que je comprends cette phrase C'est pas mal, MAIS c'est un peu sage si on évalue le potentiel de cette histoire de démon violeur du sexe. Clairement la présence de John Cassavetes lui confère une singularité qui fait que j'identifierai bien le film dans mon souvenir par la suite... pour le reste, une intrigue qui se déroule pépère avec néanmoins quelques scènes choc bien envoyées. Pas mal.
  16. Oui c'est sur, le sujet était quelque peu banal et famille pour "la main sur le berceau" mais le suspense sacrément bien entretenu... du coup dans le flot de thrillers, il se détachait à l'aise Blaise. La séquence ou Annabella Sciorra fait sa crise d'asthme, provoquée par cette salope de Rebecca, était très éprouvante!! Quoi de plus banal qu'une crise d'asthme pourtant?
  17. Au moment ou j'editais mon post, j'écrivais mine de rien au même moment que tomfincher mine de rien.
  18. Revu le mois dernier, marrant ça! J'aime bien! Bon thriller sur les eaux, Streep dans un rôle d'action à contre emploi, appréciable, des prises de vue de dingue pour la partie rafting qui claquent méchamment sur les percussions de Jerry Goldsmith. Suspense bien aménagé, qui ne révolutionne rien mais film carré qui délivre le produit vendu, ni plus, ni moins. "Bad influence", " faux temoin", "la main sur le berceau", mine de rien Curtis Hanson était un petit faiseur de thriller solide des années 90 avant l'explosion " L.A. confidential"
  19. Faudrait vraiment que je lui donne une deuxième chance après la douche froide en salle... séduisant à l'oeil et l'oreille mais qu'est ce que c'était hypocrite et con. De loin le NWR le moins aimé pour ma part. Film con clinquant sur plateau d'argent. Fausse audace. Much ado about nothing!
  20. Nicolas

    Drop Zone - John Badham (1995)

    Wesley Snipes, acteur complet, à l'aise dans tous les registres, aussi bien purement physique, que dans la comédie, ou les choses existentielles. Peut pas en dire autant de tous les musclés des 90's, et je parle pas de merguez partie. Pas reconnu à sa juste valeur selon moi. Pour ce qui est du film, je préfère son concurrent direct de l'époque, "terminal velocity", la c'est un Badham qui amorçait un gentil déclin en signant des trucs de plus en plus fades et qui avait du mal à faire son update.
  21. Pas désagréable comme souvenir, un peu comme tous les films de John Badham en fait, gentiment bloqués dans les années 80. C'est pas le genre de réal qu'on se met en perfusion, mais il ne démérite pas.
  22. Vu en salle, il y a un an ou deux. Trouvé hier en brocante (un éboueur à Tomtom sans doute), bonheur. Me donne envie d'aller faire une séance d'aerobic sur Bonnie Tyler tout ça.
  23. L’histoire se passe dans la petite communauté de Galen. Sam Cordell, un médecin, et le shérif Hank Walden doivent brusquement faire face à une série de viols étranges au cours desquels toutes les femmes sont mortes d’un traumatisme violent subi au cours des attaques. Un jeune garçon (McIntosh) fait des cauchemars où il voit ces attaques et craint de pouvoir être sans le vouloir responsable de ces morts. Mais l’horrible vérité est qu'un incube, un démon sexuel, s’en prend aux femmes et est en train de rôder dans la ville. Trouvé hier en brocante... jamais vu.... il a une bonne petite réputation me semble t'il?
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