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Superwonderscope

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Tout ce qui a été posté par Superwonderscope

  1. Dégénération, ça pue le glauque et la musique est pourrie - les paroles aussi. ci, ça respire quand même le frais et la joie de vivre Bon sinon, l'album est quand même ce qu'lle a fait d emieux depuis Light years. J'oscille entre le "fucking awesome" et le "waow, brilliant". Better than today puissance max à 160 sur l'autoroute, ça le fait.
  2. bon... je suis pas vraiment convaincu... j'ai envie de dire "tout ça pour ça", tout en reconnaissant une certaine maitrise. Mais bon, ce mélange de Faust, de gangs londoniens et de parabole sur la différence n'est guère impliquant. On pense inévitablement à Candyman et l'environnement de Clive Barker vers lesquels le récit et le film louchent méchamment. Candyman du fait des graffitis, des démons qui peuplent les rues (les SFX numériques pas spécialement réussis), des implications sociales, d'un immeuble "théatre" d'événements déclencheurs (comme Cabrini Green dans Candyman) et la structure-même du récit. Allant jusqu'à emprunter le sidekick black Kasi Lemmons dans Candyman, et Noel Clarke ici mais surtout . Sans compter le final : Ca plus quelques autres scories, ça fait beaucoup. Clémence Poésy en immigrée polonaise... ça le fait pas trop. Son interprétation comporte une faille (son malaise dans l'escalier) qui met largement la puce à l'oreille. Ca n'est pas très fin . En fait, je n'y ai pas beaucoup cru... Concernant l'histoire en elle-même, je l'ai trouvée intelligente dans le parcours de Jamie (James Sturgess, donc), dans sa démarche d'intégration dans un univers qui semble ne pas vouloir de lui. Par contre, tout ce qui "collé" à ce parcours m'a paru incongru. certes inséré dans une réalité anglaise (les jeunes se trouvant embringués dans des gangs violents). Mais je n'ai pas bien compris où Ridley voulait en venir avec ça et ça m'a désintéressé du film. D'autant plus qu'il fait 1h49 au compteur et qu'au bout d' 1h15, j'ai décroché. En regardant ma montre, car à ce moment, j'ai saisi la fin du film. L'explication finale (car il FAUT expliquer au spectateur ce qu'il se passe!) vaut ce qu'elle vaut, mais ça n'était pas vraiment nécessaire non plus. En fait, le film perd beaucoup de son intensité au bout de 90 minutes et les 20 dernières sont assez longues. Et cette manie de coller des chansons à chaque moment-clé du film, avec des paroles 'de Ridley) et des musiques (de Nick Bicât) qui forcent le spectateur à ressentir quelque chose de précis à la vision de la-dite scène; c'est plus qu'agaçant. Deux très beaux moments : les dialogues entre Noel Clarke et James Sturgess. Très émouvant sur son origine, sa condition, ses relations avec son père... plus le flash back avec Timothy Spall vers la fin. Il y a quelques éclairs de beauté ça et là, mais trop isolées par rapport au reste. Les thématiques rejoignent celles déjà développées par Ridley dans Reflecting Skin et Darkly Noon sur la perception de l'autre et le rapport à la société. Les héros sont plus ou moins les mêmes, on va dire que Ridley est un auteur aux thèmes qui lui sont chers. ici, ça me fait plus penser à une redite urbaine "à la mode" matinée de twist "à la con" qui m'a un peu déçu. ça m'a aussi rappelé un autre film qui fonctionnait sur ce même principe mais je n'arrive pas à me rappeler du film
  3. Superwonderscope

    Evil (To kako)- ? (2005)

    To Kako/Evil c'est vachement sympa. Le dvd grec est top (avec sta) même si la copie est pas géniale. Enfin bref, il faut être curieux et voir le machin : http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=2111&NamePage=to-kako-evil-2005-dvd Et sa suite aussi, tiens (qui vient de sortir en DVD en Grèce il y a quelques jours) http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=2109&NamePage=to-kako-in-the-time-of-heroes-cannes-2010-cine NB : Cyril & Fred, vous avez été des gros nazes de pas venir avec moi à la projo à cannes. Voilà, c'est dit
  4. 1 216 entrées sur 15 salles parisiennes, dont la moitié à l'Orient Express; ca donne une vague idée. David Haddad, le nouveau Yannick Dahan de la comédie?
  5. Bon alors DPG, au rapport! Sinon cote résultats, c'est 230 000 personnes en une semaine et un bouche à oreille pas très bon. (Pour comparatif, Mammuth fait aussi bien en 2e semaine avec 45 salles de moins...)
  6. C'est marrant comme coïncidence. Après avoir revu Harlequin, je me disais justement hier soir que ce film faisait partie de la dizaine que je n'avais jamais vu et que je souhaitais vraiment découvrir! Et je me suis toujours refusé à le voir dans des conditions pas optimales. ton commentaire ne fait qu'aller dans mon sens. Sinon, j'écoute assez régulièrement le vinyl de la musique de Brian May que j'apprécie énormément.
  7. Pour DPG : dépéche-toi d'aller le voir, ça sent le four. 24 000 entrées le 1e jour sur presque 300 salles, c'est pas la panacée...
  8. Superwonderscope

    Cannes 2010

    rabat-joie, moi je suis le premier à tout aller voir, hé! Kicé qui est obligé de monter les marches avec plein de jolies filles, hein? C'est moi! Kicé qui doit subir les Vengeance de To, les Kinatay de mes couilles, c'est moi! et sans broncher! Même que je voudrais bien voir des films climaxtiques qu'on veut pas me montrer Et, oui, je suis partant pour la Casa Muda PVC-1, punaise
  9. Si je l'avais, cela ferait longtemps que toi aussi
  10. Superwonderscope

    Cannes 2010

    Oui,bon, comme d'hab le meilleur sera au marché. Boll a déjà réservé 5 screenings.
  11. j'ai EVIDEMMENT vu cela au cinéma à sa sortie . Très déçu que la chanson de Cyndi Lauper fusse chantée par une autre qu'elle. Le film, bah... m'avait pas plu plus que ça. Je me souviens qu'il y avait un foin de pub tout partout. C'était juste totalement inoffensif. une curiosité d'un autre âge, très série B et très TV-like. Je préfère laaaaargement Heavenly Bodies
  12. Il y a toujours une échappatoire : dormir.
  13. C'est juste insignifiant, pas méchant pour deux sous, gentilment televisuel, meme pas horrible. Vu en salles à l'époque, ça faisait méchamment regretter les œuvres de Michel Drach infiniment plus personnelles ou fortes comme "Elise ou la vraie vie", "les Violons du bal" ou encore "Le Pull Over Rouge". Dommage que ce fut son dernier film.
  14. distribué par des bobos lyonnais!
  15. Dans plusieurs pays (USA, UK, Belgique, Italie, espagne, Hollande, Iralnde...) où il n'existe pas (ou peu) de loi sur la chronologie des médias, Disney a souhaité réduire sa fenetre de sortie des DVD/BD par rapport à la sortie cinéma. Ainsi la réduire à 12 semaines, afin d'éviter de sortir le DVD/BD en plein mois d'été, moment ou les ventes sont traditionnellement moins importantes. Et de profiter du fait que les spectateurs qui l'ont vu au cinéma aient toujours en mémoire le film (au-delà de douze semianes, le grand public aurait la mémoire plus courte...). Donc les fédérations de cinéma/exploitants de ces pays, voyant par exemple avec Avatar toujours en exploitation près de 10 semaines après sa sortie, qu'ils risquent d'avoir un manque à gagner (entre autres, puisqu'il y a aussi les lois internes à chaque pays sur les reversements aux ayants-droits et autres aides à la diffusion, etc..). Donc ont manifesté leur intention de boycotter le film. Cette menace a marché en Espagne, Italie, Hollande, Belgique puisque Disney a reculé. Il faut dire qu'entre 75 et 100% des exploitants locaux ont suivi le boycott. A moitié en UK puisque Disney a conclu des accords indiquant qu'ils ne sortiront "que" trois films par an avec ce système. Pa du tout aux USA car le circuit AMC a finalement plié et les produits sortiront bien dans une fenetre de 12 semaines là-bas. Disney a tout simplement gonflé ses pectoraux, taté le terrain... et montré la voie pour les autres majors qui, à mon, sens devraient s'engouffrer rapidement dans la breche.
  16. Un de mes films préférés ever, tout simplement. C'est en effet austère, pour un film à la croisée du fantastique, du thriller, du parapsychologique, du film catastrophe ( bien avant 58 minutes pour Vivre...) Lee Remick est tout bonnement époustoufflante. Le DVD français est cut, en effet, puisque plusieurs versions ont été disponibles et diffusées à la TV française, coupées ça et là de manière inexplicable. Ce sont surtout des plans de l'écroulement de la cathédrale de Westminster qui ont disparu (plans sanglants, la plupart). Musique impeccable, tempo sûr, j'adore.
  17. vive les slashers tous pourris, en effet. Mais Là, pour moi, c'est un peu le fond même si je suis bon client à la base. Aucun souvenir du plan "Sopkiw" par contre
  18. Sépciale dédicace à Steve Budapest, années 60 - Miki (Tamasz ) revient en Hongrie après avoir passé 4 ans aux USA. Bourré de rock'nroll et de culture US, il se trouve confronté à une société verrouillée par les communistes et une culture suposée etre nivellée. Ses anciens copians ont un groupe de rock mais il se trouve rejeté par Röne (Ivan Felyo), le chanteur rebelle et voyou, qui le prend pour un espion. La tension entre son père, ingénieur rejeté par le pouvoir, et sa famille font que Miki est obligé de se plier au responsable culturel de Budapest qui n'apprécie pas du tout son libéralisme musical. Ca ressemble sur le papier à une version hongroise du Tombeur, le Frimeur et l'Emmerdeuse (et autres Lemon Popsicle)... il n'en est rien Il s'agit en fait d'une tranche de vie d'un chanteur hongrois, Miklos Fenyo qui a fait vaciller la Hongrie dans les années 60 en rapportant du rock à la Jerry lee Lewis. C'est son histoire que le film raconte brièvement, tout comme le premier "télé-crochet" hongrois, organisé par le pouvoir en place afin de laisser un peu de lest à la jeunesse hongroise alors en ébullition. Le film est bourré d'énergie, de numéros musicaux relativement bien amenés et rythmés. Et c'est tant mieux, car le scénario s'avère parfois ténu. Meme s'il développe tout de même des idées intéressantes (et ce qu'on soupçonne peu ou pas chez nous) : combien la musique (R'n R, s'entend!) fut considérée comme subversive, comme tout ce qui était américain. Le verrouillage de certains lampistes de la police secrète et autres petits chefaillons du parti (ici le camarade Bigali (un peu ridicule ici mais tellement bon!). Quelques chorégraphies mal synchronisées, de timides éléments politiques... mais la mise en scène est amusante, les personnages attachants et colorés... tout le monde semble y prendre pas mal de plaisir (tout comme le spectateur) et le rendent bien à l'écran. Le contrepoint politique est en effet présent tout le long du film, mais ce n'est pas la chappe de plomb qui pèse sur le pmère de Miki que le film met en avant, mais la jeunesse qui n'avait pas vraiment notion de ce qui se passait (ou venait de se passer, à savoir la Révolution de 1956 écrasée dans le sang). Le film fait le choix de la comédie musicale teintée de drame. C'est parfois inconséquent mais clairement très divertissant! Des morceaux de choix : des chanteuses est-allemandes sélectionnée pour le concours télévisuel répètent ce qu'elles croient etre une chaon de partisans cubains. il n'en est rien et au fur et à mesure de la chanson Twistin' at the Hot Dog Stand (en allemand) elle se déchainent et perdent de leur strictitude "Mr. Rock' Rol. Du bist mein Sexidol". j'aime beaucoup. ici avec des st : C'est En Scope, ca dure 1h49 et ce fut le plus gros succès pour un flm Hongrois en 2009. Vu sur le Blu Ray hongrois sorti il y a peu. La piste DTS HD (avec st anglais) déchire sur les nombreux morceaux musicaux. Mais la copie, elle, n'est pas très belle. Contours des personnages parfois flous, moirage viennent atténue un très joli rendu des couleurs à la palette assez large. 16/9, of course. Des bonus à foison mais hélas non sous-titrés en anglais. C'est dommage, car le vrai Miklos Fenyo y intervient avec des extraits d'archives d'époque. Il y a tout de même un karaoké des chansons -qui sont en fait celles composées à l'époque Par Miklos Fenyo) en hongrois pour s'entrainer ... le film annonce en hongrois sous-titré anglais : http://www.youtube.com/watch?v=oiDULNFpaqg
  19. Superwonderscope

    Gerardmer 2010

    Je plussoie. elle a excellent goût Gros poutous à Dao de la part du gentil français. (et à toi aussi : le film d'espionnage en scope noir et blanc déchire )
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