Tomak

Sans oublier les incohérences scénaristiques... Mais force est de constater qu'entre le conservateur Richard Donner et le réactionnaire Steven Seagal, il y a deux poids, deux mesures dans les commentaires de la part des faux cinéphiles...

C'est bien ça, merci !

Alors c'est l'histoire d'un mec qui se fait attaquer dans une laverie, un soir... Il se retrouve paralysé ou keke chose d'assez proche, ou de pire, j'sais plus... Alors le mec, pas content et voulant se venger, s'invente une armure pour l'aider à marcher (et à se venger donc) qui lui donne l'air d'un robot aux couleurs du plus bel effet : rouge, jaune ou orange voire les trois... Et donc, dans cet accoutrement, la nuit, tel un Charles Bronson robotique, il sort pêter la gueule des méchants... Film ricain of course qui date de la fin 70, début 80... Peut être même un téléfilm... Qui peut me dire ce que c'est ?

Quelle déception ! Après une ouverture tout en fondu enchaîné, le film ne décolle jamais mené sur un rythme uniforme de bout en bout : pas de climax, pas de scène moins bonne ou meilleure qu'une autre... Et je m'interroge sur le choix du 1.85:1. au lieu d'un beau scope de rigueur pour ce genre de projet. Des thunes énormes ont été investi dans des décors à pein utilisés, à peine visible. Le film ne bénéficie d'aucune ambiance particulière. A aucun moment Gwyneth Paltrow et Jude Law n'arrivent à faire croire à leur personnage. Chacun d'eux est figé et après 10 minutes, l'ennui poli gagne. Mais le désire de voir Angelina Jolie en uniforme militaire et avec un bandeau sur l'oeil maintient l'intérêt. Encore un fois, c'est la déception. Son personnage est gentillet, polissé sur les bords, bref consensuel... A remarqué aussi une violence absente, peu de mort à l'écran tout le mong du métrage (2 ou 3). Ce qui participe à bine édulcorer le tout et faire de ce film, un spectacle fadasse et molasson...

Vu hier soir... M'attendais à bien pire... Mais bon, moi les histoires de bateau fantôme, ça me fout la flippe... Alors j'ai un peu flippé vers le milieu... Il y a une scène qui m'interpelle : celle du flash back avec la musique techno rock... J'ai trouvé ça, comment dire, intéressant même si cela tombe un peu à plat...

D'un livre de Chrisotpher Priest... Avec un tel matériau, Christopher Nolan va peut être nous refaire un bon film du même niveau que son premier The following... Parce qu'entre les foutages de gueule Mememto et son intrigue faussement compliquée et Batman begins et ses scènes d'actions surdécoupées au cutter émoussé et filmées et montées à la truelle, ce réalisateur est bien surestimé...

Vu hier soir, le film s'avère décevant malgré un prologue intriguant. Le réalisateur a sut exploiter au mieux le visage buriné de son acteur lors de flash forwards qui laissent présager une ambiance quelque peu surréaliste voire fantastique : Jean-Claude Van Damme, assis dans une pièce noire face à deux corps allongés... Le fait est que le film regorge d'effets multiples qui lornge vers la poésie et le surréalisme, avec une abondance d'une photo carte postale et de ralenti. Le réalisateur n'a rien à raconter. Conscient de ce fait, il tente de rattraper le vide de son scénar par une mise en scène qui hésite entre le polar hard boiled et un certain aspect melvilien... Jean-Claude Van Damme, qui avait déjà montré qu'il pouvait jouer dans le très bon Replicant, fait encore une fois preuve d'un certain talent. Gâché parfois par une certaine propension à surjouer. En particulier lorsqu'il pleure la mort de sa femme, un verre de whisky dans une main, la photo de la-dite femme dans l'autre... La scène frise le pathétique... Dommage car cette ouverture qui s'attarde en gros plan et sans musique sur le visage marqué de la star, laissait présager quelque chose d'original...

Quand je lis du Houellebeq, j'ai l'impression de lire le mode d'emploi de mon téléviseur tellement le style est impersonnel... Le seul livre qui m'est tombé des mains depuis bien longtemps. Pourtant, je termine totu ce que je commence (même le torchon de Despentes, Baise-moi...)

Ce film est très bon comme tous ceux de Pierre Salvadori. Chacun d'eux hormis le dernier avec José Garcia et Daniel Auteuil est une occasion de revoir la belle Marie Trintignant... Dommage que je n'ai jamais vu le début de ces Apprentis qui est, paraît-il, hilarante...

Utilise donc de ton fabuleux pouvoir de modérateur, Ignare66, je ne fais que passer. Et vu comment j'ai été reçu de toute façon (limite s'il faut pas lêchr les bottes de l'admin')... Mais sache donc Ignare66, qui n'a jamais vu de film d'avant les années 90, que la jouissance que tu vas éprouver en me bannissant ne te rendra ni plus intellgent ni plus tolérant...

J'essaye de faire dans la finesse même si j'ai encore un peu de mal... En même temps y aller avec des pincettes pour des ignares, c'est faire un peu preuve de pitié...

En même temps, pour un film comme King Kong, je ne m'attends pas vraiment à une utilisation antonionienne de la musique et du son... Je dois dire que le film m'a tellement plus que je n'ai pas tardé à acheter la béo... J'ai cru comprendre qu'il l'avait composé en un temps record remplaçant quelqu'un au pied levé. Il y a de bons passages, en partiuclier le thème d'amour, et l'ensemble est assez agréable à écouter. Même si ça ne vaut pas le chef d'oeuvre de son compositeur, Wyatt Earp...

Pourtant lorsque tu insultes ceux qui ne sont pas d'accord avec toi sur un réal, tu donnes dans l'élitisme.

Qui a écouté cette béo de Dario Marianelli ? Je l'ai commandé, plus pour le film qu'autre chose. Durant le film (que j'ai vu deux fois), je ne l'ai pas trouvé exceptionnelle sans pour autant être mauvaise. Donc qui l'a ou l'a écouté ?

Pourquoi ça ?

Kes est pourtant très bon... Ae fond kiss, film sur les problémes que soulève l'intégration de musulmans dans un pays où l'église fait encore partie de l'état, est très bon. Il évite le politiquement correct, les clichés et aborde de front les problémes... Pour ma part, je vais essayer d'aller voir ce dernier opus de Loach ce WE à Dublin... Mais je croyais que Buralo66 était un cinéphile ?...

J'en reviens pas...

Il y a un très beau théme au piano... Malgré tout un James Newton Howard assez mineur...

Akton : Je ne trouve pas son adaptation de 12 angry men académique. Peut être le format télé. Je trouve qu'il se démarque bien de l'original et parvient à insufler au film un suspense et une vie propre tel qu'un remake ne pouvait nosu le laisser espérer. De plus, William Friedkin est très bon pour les adaptations de théâtre : The boys in the band d'après Mart Crowley, The birthday party d'après Harold Pinter. A chaque fois, il arrive à gérer le scénario avec une mise en scène sans arrêt en mouvement... Je ne susi pas d'accord. j'ai encore revu récemment Rampage qui est un trsè grand film. Il a eu des périodes de faiblesse : à mon sens The guardian, même avec toute la bonne volonté du monde, n'est pas très bon... Blue chips est un peu mésestimé. Il est en tout cas revenu en très grande forme avec Rules of engament, film injustement traité de racisme. Quelle ironie pour une fois qu'un film ne montre pas les soldats US comme des super héros sauveurs du monde et qui montre avec une violence et une âpreté rare maintenant dans le cinéma US les dommages collatéraux... Retour confirmé avec The hunted, excellent thriller... J'attends ce Bug avec impatience et j'espère qu'il sortira dans la salle d'art et d''essai de ma ville et non chez ces mafieux du Gaumont...

Merci d'avoir rectifié. Cela me semblait important...

Au fait, c'est le cinéma Nigérian et non Nigérien... Il ne faut pas confondre Nigeria (ancienne colonie anglaise donc anglophone) et Niger (ancienne colonie française donc francophone)...

Leguman, de même que Buralo66 (modérateur ici, il se permet l'insulte ailleurs), ont eu des comportements insultant à mon égart sur devildead (parce que j'avais une opinion divergente). Leguman n'a eu que la monnaie de sa pièce...

Leguman : P'tain, j'croyais que t'étais un mec vachement intelligent qui s'y connaisait vachement en ciné... En fait, à part l'entracte et les cones à la vanille, t'y connais pas plus que ça et ton QI est égal, au moins, à ton pseudo... Il y a des projection de Smallville au bac à sable, si tu veux. Tu pourras t'y faire des copains...

Leguman : Merde, j'aurais juré que t'en étais un, de jeune...

Etant marié à une Nigérianne, je connais bien la production du géant africain qui influence maintenant le reste du continent en terme de production (tournage en vidéo numérique). Je n'ai eu droit ni aux polars violent, ni aux films sur le Vaudou. J'ai plutôt vu des films du genre Feux de l'amour ou autre drames familiaux où ils n'arrêtent pas de parler... Le filmage est assez calamiteux : champ/contrechamp qui ne raccordent pas, absence totale de découpage technique, absence totale de maîtrise de l'espace, son saturé... Parfois, ils ont des moyens et il y a des mouvements de grue, etc. Malgré le tournage en numérique, les films sont distribués en Vidéo CD (les copies sont légions). Il faut donc 4 disques pour voir un seul film, la plupart du temps. Et ce support s'avère très très fragile et les drops, scratchs et autres patés numériques ne sont pas rares sur la copie... Et je ne parle pas de la restitution des couleurs... La manufacturation et la distribution des VCD me laissent perplexe. Ma femme voulait me montrer un film que je ne connaissais pas : http://www.imdb.com/title/tt0081430/ Vendu dans un double VCD qui présente toutes les caractérisitiques, le film est d'un qualité déplorable. Le master provient d'un enregistrement vhs d'une chaîne sud africaine : le film est sous titré en afrikaaner dans des bandes noires incrustées sur l'image et "TV1000" est lisible en haut, à gauche... Bien sûr la pochette indique THX, DTS, etc. Le film est illisible, abîmé comme s'il avait servi pour jouer au Frisbee sur une plage du Delta du Niger... Tout cela est bien dommage car d'après Le cinéma Africain, le livre de Paulin Soumanou Vieyra, le cinéma nigérian semble avoir produit des choses intéressantes dont des documentaires et des adaptations de Wole Soyinka et de... Huis-clos de Jean-Paul Sartre... Mais les copies de ces films, d'après mes sources, doivent être détruites ou perdues...