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Médusa Man

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Tout ce qui a été posté par Médusa Man

  1. Médusa Man

    "xXx 2" (Lee Tamahori - 2005)

    Vu dimanche chez un pote en DVD. Rien vu d'aussi nul et con depuis ... depuis Streetdancer !
  2. Ma mère l'a vaincu il y a deux ans ce putain de crabe... courage Kylie !
  3. Je les ai écoutés tout le long de la route en descendant sur Nice au mois d'avril ! La folie douce, je faisais des excès de vitesse à chaque nouvelle chanson ! yeaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!
  4. Nouvelle daube en vue pour Bigard, Bigard, ça c'est Bigard !
  5. Merci Superwonderscope de ces infos plutôt rassurantes !
  6. Médusa Man

    Necrophagus

    Pourtant médaille d’or au festival de Stiges, cette production espagnole n’a jamais franchi les Pyrénées ni au cinéma, ni en vidéo (bien que la cassette fut annoncée par Sodisci) . Ce nouvel inédit de l’épouvante ibérique nous prouve la richesse de la production de ce pays dans les années 70. Certes, le résultat n’est pas grandiose (pas de quoi avoir une médaille d’or…) mais le film n’est pas sans intérêts. D’abord, l’histoire complètement Z renoue avec la tradition horrifique des années 50 aux États Unis en l’accommodant au gothique plus européen. L’intrigue mêle en effet les affres d’un monstre issue d’une expérimentation scientifique foireuse (revenu à la matière originelle ce « necrophagus » est à la fois animal, végétal et minéral et se nourrit de cadavres humains où il puise les chromosomes nécessaires à sa survie) à une atmosphère d’épouvante victorienne (château, cimetière, orage, candélabre, demoiselles évaluant dans des décors lugubres la nuit tombée). Ce monstre très étonnant sur le papier l’est encore plus à l’écran : imaginez une sorte de gorille hirsute aux mains griffues, à l’abdomen étrange, arborant un rictus inébranlable, un vrai « craignos monsters » qui n’engendre pas la mélancolie. Heureusement d’ailleurs, car Michael SKAIFE plombe son récit de nombreux dialogues, de scènes de transition aussi insipides qu’inutiles qui ralentissent l’action et diluent le sentiment d’angoisse qu’il avait su créer par ailleurs (la scène du cimetière où le pauvre Michael s’aperçoit que le cercueil de son épouse est vide, sa première rencontre avec le monstre dans une crypte infâme, les disciples du « necrophagus « et leurs masques inquiétants, un peu la même dégaine que NASCHY dans La rebellion de las muertas).En fait, le monstre n’est autre que le comte, frère de ce pauvre Michael, victime de l’expérience ratée du docteur Lexter aidé du fossoyeur et de son épouse Lady Anna. Une affaire de famille donc. Secondé par la police, Michael tuera l’hideuse création en l’abattant au revolver. Un final décevant pour un « méchant » aussi original. Décevant : un mot qui convient bien à cette bande barrée dans laquelle j’avais misé beaucoup d’espoirs et qui ne les a pas tous comblés. On retiendra une musique à l’orgue angoissante et casse-pied, genre Charlie OLEG sous ecstasy et la présente charmante de Marisa SHIERO, ex- poster central de Playboy, ici victime toute désignée du Necrophagus…
  7. Médusa Man

    Saw - James Wan - 2004

    Moi, je n'ai pas aimé du tout. J'ai trouvé assez commun, assez "american style". A mon avis, une excellente idée de court métrage mais sur un long ca s'étire ! Et puis, les acteurs sont tout sauf convaincants. Enfin, je n'ai pas apprécié, une fois de plus, qu'on veuille nous faire prendre une vessie pour une lanterne, en proclamant haut et fort ce film comme chef d'oeuvre ! mais il ne suffit pas de le dire ou de l'écrire pour que ce soit vrai. et puis je cherche toujours les analogies avec le Giallo mais là je sèche vraiment.
  8. Comme tout bon fantasticophile qui se respecte, j'adore la trilogie des morts vivants de Romero... trilogie devenant tétralogie avec ce Land... J'aurais préféré qu'il continue dans la voie (Night- Dawn -Day...) avec pourquoi pas Twilight of the Dead mais bon... J'ai peuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Rassurez moi, dites moi que c'est bien !
  9. Médusa Man

    FOXY BRONX

    Ai reçu le numéro 1 cette semaine et c'est du tout bon (comme dirait Jacques !). J'aime assez ce principe de fanzine ultra spécialisé, ici la Blaxploitation, un peu comme aux States. Il y a beaucoup de photos et une qualité de reproduction irréprochable.
  10. Un bel incunable que ce I ragazzi della Roma violenta découvert par la grâce d’une édition vidéo en Italie. Un film de Renato SAVINO (réalisateur de Orgies, mesdames les p…, et de Plaisirs charnels du nouveau Decaméron) qui fait figure d’œuvre forte dans sa filmographie. Voulant s’inscrire dans un certain réalisme social des années 70 (le micro-trottoir pré-générique, le petit texte final indiquant que tout est fictif mais que cela peut arriver), il décrit les exactions d’un groupuscule de jeunes néo nazis dans la capitale italienne. Cela va de quelques menus larcins à des parties de flippers endiablées (le joueur est au bord de l’orgasme) jusqu’à des rites très particuliers: un de leurs membres coupable d’avoir forniqué avec une fille du peuple est violemment fouetté, sa compagne doit se plier aux désirs sexuels de ses condisciples pour intégrer le groupe. Marco, un jeune paumé est un des leaders de ces tarés fanatiques. Il se montre très sadique choisissant toujours des châtiments extrêmes. Il aime également se masturber en s’imaginant violer et tuer une femme dans un même temps, « l’alliance de l’amour et la mort, une symbiose parfaite » annonce-t-il. Ce qui n’était qu’un fantasme va devenir triste réalité lorsqu’il assassinera une jeune blonde en la noyant dans un aquarium, lors d’une scène de viol très éprouvante (la compagne de cette pauvre fille, est, elle aussi violée par des complices de Marco). Le viol est l’arme préférée des bandes de Rome dans ce film, ce qui permet à SAVINO de filmer outrageusement de nombreuses séquences osées et violentes. Il s’y applique régulièrement mettant le spectateur dans une position de voyeur très embarrassante. Il désire choquer et y parvient aisément en nous présentant des êtres infâmes que rien ne peut sauver. Son portrait au vitriol est très manichéen, il n’a aucune complaisance pour une jeunesse qu’il juge perdue. Si l’on peut douter des réelles aspirations du metteur en scène (il désire plus faire du cul que de la politique), on ne peut que s’incliner devant la force d’un film très violent, trash et sans concession. Le casting sans vedettes (même du Bis) renforce le côté réaliste de cette œuvre de fiction, rappelons-le. Un inédit de grande qualité à découvrir ; preuve , une fois de plus, de la diversité et de la qualité du cinéma Bis italien des années 70.
  11. Sorti en France sous le titre Obsessions charnelles. J'ai l'affiche mais pas le film. Par contre, moi j'aime bien la Femi, elle a toujours des rôles de belles garces qui lui vont à ravir. Physiquement aussi, elle était craquante, faut dire que j'adore les petits seins qui tiennent dans la main !
  12. Même les meilleures choses ont une fin ! Je préfère arrêter maintenant alors que j'estime que le zine a atteint un certain niveau (ou un niveau certain) plutôt que de devenir au fil des années que l'ombre de moi-même. Et puis il reste d'excellents zines : Trash Times, Le Charognard, Le Bissophile ou encore Foxy Bronx ! sans compter les e-zines comme cinéhorreur ou Sueurs froides
  13. On m'appelle Médusa Man ou encore Evil Did... En 1987, j'ai fondé mon premier zine baptisé TDCM puis vinrent Fun News, Zog1er, Apache, Fun News II et enfin Médusa, fanzine d'abord consacré au Fantastique puis au Bis dans tous les genres : comédie, épouvante, peplum, giallo, kung fu, polar, érotique etc... et de toutes les nationalités mais surtout italien. Médusa c'est presque fini puisque le numéro 23, à sortir en 2006, sera le dernier... Voilà, voilou... sinon j'aime la levrette, la paella , le punk et le cinéma Bis général... et je déteste que l'on s'asseoit à ma gauche, toucher du carton surgelé, le RnB... je n'ai mis que quelques trucs car évidemment il y a tellement de choses que j'aime ou déteste ! Si je suis venu sur ce forum, c'est parce que ZoneBis est le site qui en parle le mieux et que je trouve qu'un certain vent de liberté souffle dans les discussions d'icelui ! La muerte!
  14. je l'avais vu dans la version éditée par Nocturno, je fus quelque peu déçu. Un rythme trop lent que rien ne relève....
  15. Pas vu mais un de mes correspondants au Quebec , Frédérick Durand, m'en a fait une critique élogieuse dans le dernier Médusa. Il écrit par exemple : " D'emblée Rojo sangre s'inscrit dans la lignée des meilleurs Naschy. Dans ce film plein de verve et d'inventivité, Naschy livre une interprétation d'une qualité inhabituelle"
  16. Gros succés de Polselli avec ce film conçu comme un Mondo - mais tout est fiction... Un spychiatre Isarco RAVAIOLI prend l'air le plus sérieux du monde et devant quelques personnes, entame un tour du monde des différentes perversions sexuelles. S'enchaînent alors différentes séquences plous ou moins longues entrecoupées de coupures d'articles de presse. Divers aspects sont abordés : zoophilie, sadomasochisme, homosexualité masculine et féminine, fétichisme, nécrophilie. Parmi ce florilège, on retrouve par exemple : - deux femmes qui mettent une muselière à un gars se comportant dès lors comme un chien - une ménagère se caressant devant son bambin avant de se masturber avec un chiot (!) puis une peluche - un homme rentre chez lui et surprend sa gonzesse au pieu avec un autre - une femme nue caresse son sexe et son chien, et le sexe de son chien - un mec séquestre une femme, l'attache au lit, l'étrange ce qu'il fait jouir - un couple joue du couteau evc une nana, elle se planque sous un meuble et les regarde faire l'amour - en discothèque, les danses mènent au transes et à la partouze pour une scène très longue et 100% porno (Polselli est un précurseur! 1973!) où toutes les positions sont passées en revue : levrettes, missionaires, planchettes javanaises, charges à la hussarde, pipes, éjaculations faciales et buccales - une étudiante, vierge comme Bécassine, se fait dépuceler par un camarade - un homme repasse des vêtements féminins sans les avoir ôter de sa propriétaire ! etc.. etc... Bref, 90 minutes de cul servi à toutes les sauces. Rivelazioni est sans nul doute un des films phare de la carrière de Polselli où tout son talent controversé explose à l'écran dans und élire d'images crues, inédites et scandaleuses. Ce texte est un digest de l'article paru dans Médusa 21. Je viens de racheter ce film en DVD Nocturno en Italie (12,99) en supplément par rapport à la K7 : un entretien avec Polselli (non italophones s'abstenir), la bande annonce d'Oscenita (autre film critiqué in médusa 21) et celle du film .
  17. Médusa Man

    W la foca !

    Me suis payé ce DVD lors d'un récent voyage en Italie. Il s'agit d'une sexy comédie tardive (1982) de Nando Cicero avec entre autres Lory Del Santo, l'inéffable Bombolo, Dagmar Lassander et une certaine Moana Pozzi, qui joue une fille voyageant sans billet dans le train et payant en "nature" les controleurs... Je n'ai pas encore eu le temps de le regarder et ej reviendrai vous en causer d'ici peu...
  18. et il y aura en 2006, un Médusa ultime, le numéro 23 !
  19. Médusa Fanzine 22 Il n'en reste qu'une vingtaine , dépêchez vous avant qu'il ne soit trop tard... c'est toujours dix euros port compris ! au sommaire BIS BAZAR LETTRE DE FANT-ASIA: Rojo Sangre HAMMER FOREVER 40: L’homme qui trompait la mort INTERVIEW NICO FIDENCO BOURRE PIFS ET TALOCHES: Roi de Shaolin ; Marco Polo, le guerrier de Kublaï Khan; La vengeance du Lama; L’ange aux poings d’acier; Bruce Lee défie la mort THE VINCE ROGERS DIGEST, encore quelques perles Z de notre baroudeur du Bis… 6 films de SUZUKI: L’élégie de la bagarre; La marque du tueur; La vagabond de Tokyo; La barrière de chair; Détective bureau 2-3 PEPLUM & CO: La reine des Barbares; Le fils de l’Aigle Noir; 7 épées pour le roi ; La terreur du Masque Rouge ; La vengeance de Spartacus ; La flèche d’or ; Par le fer et par le feu ; Les gladiatrices ; Le chevalier de Maupin; Seul contre Rome; Zorro, Marquis de Navarre; Le trésor de Malaisie ; Le temple de l’éléphant blanc INTERVIEW BARBARA MAGNOLFI BISMANIA: Moi, Emmanuelle; Emmanuelle e Françoise (le sorelline); La cloche de l’enfer; La maison aux fenêtres qui rient; Journée noire pour le bélier; La morte accarrezza a mezzanotte; Il fiore dai petali d’acciao; Qualcosa striscia nel buio; L’enchaîné; Samoa, fille sauvage; Malizia erotica; La vergine, il toro e il capricorne; Une femme spéciale ; La donneuse ; Virilité, un parfum d’amour; Charognard; Rançon; La cible dans l’œil; L’émir préfère les blondes; Plus moche que Frankenstein tu meurs; Marathon; Moi , Zombie chronique de la douleur; Patrick viva ancora; Le baiser du diable; El gran amor del conde Dracula; Latidos de Panico; El Aullido del diable; El calimante; La furie des vampires; L’empreinte de Dracula; Maniac nurses find ecstasy; Sgt Kabukiman N.Y.P.D; Chopper Chicks in zombietown; La jardin du diable; Ici Londres, la colombe ne doit pas voler; Commando Suicide; Opération Goldman; Mission à Hong Kong; Pas de roses pour OSS117; S.A.S Malo à San Salvador; Avortement clandestin; Pigalle, carrefour des illusions; La comtesse perverse; La comtesse noire; Le miroir obscène; Midnight party; Les cauchemars naissent la nuit; Rolls Royce Baby POLARS: La guerre des gangs; Chiens enragés; Le châtiment; Le crime de la via Condotti; Brigade anti-gangsters; Delitto al ristorante cinese ZONE Z: Munchies; Nuclear Mutant; Obsession fatale NOSTALGIA: Teenage zombies ; Curse of the swamp creature ; Le cabinet du docteur Caligari ; Jungle toman ; War Gods of the deep ; Carnage ; From hell it came; X-origine inconnue; Flight to Mars; Épouvante sur New York; La vie sexuelle de Frankenstein; Le fils de King Kong; La maison de Frankenstein TRASH & GORE: Fantom kiler ; Fantom kiler 2 FANTASTIQUE ASIATIQUE: Deux sœurs; La série des Mr Vampire ( Mr Vampire; Le retour de Mr Vampire; Mr Vampire et les démons de l’enfer; La fin de Mr Vampire) ALMERIA: Mannaya, l’homme à la hache; Un cow-boy en colère; Django le proscrit; Le colt du révérend; Texas Addio; Parmi les vautours BELLES FOUFOUNES ET JUS DE ROUPETTES: Dossier Stephen SAYADIAN; 13 poupées à la file TV OR NOT TV dossier Les contes de la crypte HEXAGONE 4 films de Joel SERIA: Mais ne nous délivrez pas du mal; Charlie et les deux nénettes; Marie Poupée; Le salon du prêt à saigner GLOSSAIRE DES MEDUSA 1 A 21 RETROVIDEO RECRE BIS surprise ! La ZINOTEK Etc… couverture couleur, environ 100 pages... Didier LEFEVRE, 499 rue Edouard Vaillant, Résidence Les Mésanges, Appt 6, 59450 SIN LE NOBLE.
  20. Je l'avais vu dans la version distribuée par Nocturno, et je dois avouer être assez d'accord avec Eric, malgré quelques scènes croustillantes comme ce monstre au pénis pustuleux, on s'ennuie pas mal dans ce Porno Holocaust... Dommage, le sujet était en or pour que D'Amato nous ponde une oeuvre furieusement Bis, délirante à souhait... là c'est (quasiment) la routine.
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