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FUCK YOU BILL MURRAY

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Messages posté(e)s par FUCK YOU BILL MURRAY

  1. LE BLOG RADIO KILLED THE VIDEO STAR, TU LE KIFFES OU TU LE QUITTES

     

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    MAUVAIS GENRE | ANGOULEME 2010 | 30 01 2010

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    PROJECTION PRIVÉE | ENTRETIEN AVEC MARC DUGAIN | 06 02 2010

    ENTRETIEN AVEC RENÉ GIRARD | FRANCE CULTURE | 2007

    ENTRETIEN AVEC RENÉ GIRARD | RADIO COURTOISIE | 28 03 2005

     

    http://radiokilledthevideostar.wordpress.com

  2. Tiens j'ai appris cette semaine que l'un des deux frangins vit et bosse à Prague la plupart du temps depuis From Hell.

    Moi j'ai appris, de la part d'un mec qui a bossé sur le tournage Mexicain de MAN ON FIRE que Denzel Washington est super cool, très abordable, mais que ses doublures ont un tête ééééééééééééénorme

  3. Je crois que c'est plutôt après. Mais de tte façon, le film reste super flou sur tout ça, et c'est tant mieux. Dans l'itv des frères Hugues dans Mad, ils disent clairement qu'ils voulaient en expliquer le moins possible sur le pourquoi du comment de tout ça, et que d'ailleurs, les producteurs leur demandaient sans cesse plus sur ce plan là..

     

    Oui, ça évite d'avoir recours à des interprétations faciles et ça laisse le spectateur comprendre les choses comme il le veux. Reste qu'il me semble clair que, du côté des "méchants" comme des "gentils", un monde sans Bible leur semble insupportable, et que l'absence de religion dans ce monde semble être une des causes de sa perte.

     

  4.  

    Ah bon ? Parce que le monde d'avant il avait pas été pas construit sur les bases solides ? Celles de la culture ? Ça n'a pas empêché les hommes de s'atomiser la gueule.

    Ce "monde de la culture" est un monde construit sur des bases judéo-chrétiennes, sinon expliques-moi comment Shakespeare, les grands compositeurs de musique classique, ou les peintres du moyen-age ou de la renaissance tiennent debout sans ses bases Chrétiennes ?

     

    Après, effectivement, la Bible à la fin est rangée parmi tant d'autres livres, je suis d'accord que les personnages de la fin ne cherchent pas à remettre un "Monde Christianisé" sur pieds, mais c'est naïf de penser qu'il est possible de démêler le christianisme de la culture occidentale dans son ensemble et d'édifier un monde ou la Bible resterait bien sagement sur une étagère après avoir révolutionne le monde durant 2000 ans.

     

    Perso, aucun souvenir d'avoir entendu que le monde entier s'est atomisé à cause du fanatisme religieux. J'ai par contre le souvenir qu'on a brulé toutes les Bibles a un moment donné de l'Histoire. Je n'ai par contre pas compris si c'était avant ou après le "grand flash". Si quelqu'un a un souvenir plus précis...

     

  5. Justement Fabrice, mais je voulais pas trop rentrer dans les détails pour pas spoiler

     

     

    Ça montre bien que ce putain de bouquin, la bible donc, peut servir a asservir un peuple et le dominer dans les mains de personnes peu scrupuleuse

    Les livres sont des armes de destruction massive, l'avais-tu oublié ?

    Tiens, c'est marrant, j'ai dis ça y'a 3 jours sans avoir vu le film, intéressant de retrouver la même réplique dans la bouche de Gary Oldman.

     

    J'ai pris le film exactement comme Cyril. A savoir que la religion n'est ni bonne ni mauvaise, elle aide un perso comme Denzel, mais le perso d'Oldman fournit un parfait contrepoids pour montrer tous les mauvais cotés qui peuvent en découler. Et même Denzel, à la fin, quand il sauve la fille, il lui dit qu'à force de lire et relire sa bible, il avait un peu perdu de vue les vraies choses, et même, au final, le message initial des textes. Je vois clairement pas ça comme une apologie niaise et aveugle. Mais bon, je sais que je ne suis pas gené par la religion, ni ds la vie, ni au ciné...

     

    DPG, ta lecture me fait très plaisir. Votre débat à savoir si ce film est anti ou pro religion, putain on s'en tape, la force de ce film est que justement on peux y lire bien des choses.

     

    Après il faut quand même avoir de la merde dans les yeux et une grosse mauvaise foi pour dire que "ce film est le contraire d'une apologie de la religion".

     

    The Book Of Eli est clairement un film sur notre monde en voie de déchristiannisation, et sur la possibilité de sa rechristiannisation, ne vous y trompez pas. La Christiannisation de l'Europe s'est considérablement accelérée avec l'invention de l'imprimerie, avec la possibilité pour chacun d'avoir LE livre chez soi, et la fin est quand même pleine d'espoir : le prophète meurt, conmme tous les prophètes, mais son héritage et son enseignement lui succède et sera un jour redistribué à l'humanité grace aux efforts de quelques saveurs du patrimoine de l'humanité. Car au final, que Dieu existe ou pas, que la religion soit bonne ou pas, que le film soir pro ou anti religion, on s'en branle, c'est un fait : La Bible est un des socles du patrimoine de l'humanité. La religion, la culture, l'art sont considérés comme les remparts à la sauvagerie, sont la mémoire de l'humanité, ils ne pourront pas éviter l'homme de continuer à s'entre-tuer, ils ne sauveront pas l'homme de lui-même, mais c'est ce que l'homme a inventé de plus haut dans son histoire, et sans ça, sans l'enseignement du libre-arbitre, sans la crainte de Dieu, sans la punition, c'est un retour à la sauvagerie qui nous attends

    Car au final, la parole du Christ est surtout un enseignement du libre arbitre. C'est ce que Eli dit à un moment donné du film quand on tente de le dévaliser : "On a toujours le choix". L'homme a le pouvoir le faire le bien comme le mal, la Bible ne sauvera pas l'homme, mais elle a le pouvoir de montrer la direction aux hommes de bonne volonté.

     

    J'ai également beaucoup aimé cette idée qu'au final, Eli n'ait plus besoin de l'objet-livre pour partager le texte. Car on retourne précisémment aux origines de la création du monde selon le Genèse, où Dieu est souvent appellé "le scribe célèste", Il est Celui qui crée le le monde en l'écrivant, il est le Verbe, il est l'écrivain de cette fiction appellée "Monde", et comme l'homme est fait à l'image de Dieu, l'homme a de fait lui aussi le pouvoir d'écrire dans le monde, de créer des histoires, de faire et défaire l'Histoire. L'homme peux donc être considéré comme un "livre fait chair", car il a lui aussi la capacité d'écrire dans le monde.

    Cette idée est super puissante, et pour tout vous dire, ça m'a foutu les larmes aux yeux.

     

    Érangement, aussi, THE BOOK OF ELI me rappelle ÉNORMÉMENT le roman GRANDE JONCTION de Maurice Dantec. Ce monde post-apocalyptique déchristiannisé, les emprunts aux codes du Western, ces "moines-soldats" dont la mission est de protéger un camion blindé/bibliothèque, remplis d'ouvrages de théologie. J'ai vraiment retrouvé des tas d'éléments de la littérature post-conversion de Dantec.

     

     

    Bref, pour moi, The Book Of Eli est un film sur la Foi et sur les dangers de l'édification d'un monde déchristiannisé, sans mémoire. En passant, ça m'a aussi collé une grosse baffe et m'a profondément ému.

    Bref, presque un sans-fautes

    (il n'y a guère que la scène de l'attaque de la maison des vieux qui m'a saoulé, avec ses travellings numériques dégueux dont les Hugues auraient très bien pu se passer).

     

     

    A l'heure du langage SMS, du tout-numérique, de la LOL-culture, de la consommation rapide de l'information, du savoir-Wikipedia, une telle déclaration d'amour au livre ne pouvait que me nouer les trippes.

    Maintenant vous pouvez aller en paix.

    Amen.

  6. Par contre j'ai un soucis spoilant :

     

     

    J'ai pas compris l'intérêt de la sous-intrigue avec l'avortement de Casey, mis à part faire un parallèle merdique avec le reste. Ça, plus le fait que les gamins s'amusent à ouvrir le bide de leur victime, sans explication, ça m'a plutôt dérangé au final.

    J'y ai vu deux trucs complètement opposés :

     

    - Un discours anti-famille malheureusement très répandu en Europe, du genre "la famille c'est la haine"

    - Un discours SUR la dissolution de la famille (je préfère voir ce film sous cet angle)

     

    Bref, c'est un peu comme si les enfants prenaient leur revanche sur un monde qui cherche à se débarrasser d'eux (la pratique de l'avortement, un peu comme si la maladie que contractaient les gamins était une réponse "naturelle" aux pratiques "anti-naturelles" de l'homme).

    Enfin, ça reste une interprétation possible.

     

    Ça m'étonnes que personne n'ait tiqué là dessus. Au final, le discours est quand même très ambiguë. Je veux dire, je peux accepter que le film tienne un discours sur ce sujet (après tout, ça reste un débat ouvert), par contre j'aurais aimé savoir ce que voulait VRAIMENT dire l'auteur de ce script.

     

    Il faut aussi se souvenir que dans le film

    seule l'enfant indésirée survit.

    Ça pèse lourd dans la balance, aussi, non ?

     

     

     

    Après, c'est vrai que c'est un film qui se tient, ce qui est juste gênant c'est qu'on sent bien que pas mal de plans ont étés tournés séparément, avec les enfants d'un côté, les adultes de l'autre, histoire de ne jamais avoir à obliger les enfants-acteurs a participer aux horreurs qu'ils sont censés commettre, du coups l'impact des scènes s'en ressent parfois, ça manque un peu de spontanéité et de réactivité lors de certaines scènes, on sent souvent que les adultes comme les gamins ont joués devant du vide et que tout a pris vie au montage.

     

    Mais c'est aussi le point fort du film, cette capacité à créer des monstres grâce à un montage astucieux de plans crées au moyens de subterfuges (on imagine bien que le réal mettre les enfants dans telle ou telle situation afin qu'ils fassent telle ou telle tête, et ces têtes mixés à un contrechamps terrifiant transforme la signification même du plan et de la scène dans son entier. Si on s'amusait à monter d'autres images en contrechamps des images des enfants, on pourrait presque remettre au goût du jour l'effet Koulechov).

  7. Justement Fabrice, mais je voulais pas trop rentrer dans les détails pour pas spoiler

     

     

    Ça montre bien que ce putain de bouquin, la bible donc, peut servir a asservir un peuple et le dominer dans les mains de personnes peu scrupuleuse

    Les livres sont des armes de destruction massive, l'avais-tu oublié ?

  8. Eli, un prénom breton donc, peut aussi signifier Dieu en Hébreu ("Mon dieu" en fait).

    Eli est un prénom "Théophore", c'est à dire "qui porte Dieu", prénom qu'il porte à merveille puisque dans l'Ancien Testament, Eli est le "porte parole" de Yahvé, mais aussi son missionnaire (c'est un peu la merde à Israël à ce moment là, les gens se détournent de la Vraie Foi, Yahvé intervient et envoie son homme de main).

     

    Dans Le Livre des Rois, il est même le prophète des grands cataclysmes qui vont s'abattre sur Israel (une sécheresse de trois ans). On peux même comprendre que c'est lui qui empêche la pluie de tomber (pour punir les habitants d'Israël qui ont rompus le pacte avec Yahvé pour s'être tournés vers Baal, une divinité égyptienne). C'est aussi un personnage très violent puisque c'est lui qui égorge de ses mains les prêtres de Baal après avoir prouvé à la foule que Baal est une fausse divinité, mais on lui prêt aussi quelques miracles, comme une résurrection du fils d'une vieille femme qui l'a logé et nourri, ou le don de faire tomber la foudre du ciel.

     

    Dans le Nouveau Testament, on appelle aussi un "Éli" un précurseur, "celui qui ouvre la voie à Jésus".

    Bref, y'a de quoi faire en utilisant une référence de ce poids dans un film. Il me tarde bien de le voir.

  9. Ouais, un beau fourre-tout qui aurait gagné à durer moins longtemps et à se disperser un peu moins, car on a parfois l'impression d'être dans un ZAZ (les 20 premières minutes,

    les scènes de baise avec les mamies dans la réserve

    ) avant de passer à la scène suivante à une comédie super balisée (les dix dernières minutes, qui laissent quand même un sale goût dans la bouche).

     

    A voir en VO obligatoirement, le boulot de Sandler sur l'accent israélien est époustouflant.

    Finalement, ça m'a vachement fait penser à POSTAL, en moins barré (quoique...) et en plus "canalisé" et réussi.

    Dommage que le film ne parvienne pas à se hisser au niveau d'un TROPIC THUNDER.

    Une très bonne comédie du samedi soir.

  10. Raisons de plus pour détester ce film : C'est un film veeeeeeeeeeeeeert...

     

    Away We Go est un film "vert", car des carburants alternatifs ont été utilisés pendant le tournage, les déchets ont été triés et 49% recyclés ou transformés en compost, et les émissions de gaz ont été significativement réduites tout au long du tournage. Le film a, par ailleurs, été le premier à utiliser le Biodiesel 5 sur ses plateaux, et a été tourné avec une pellicule à trois perforations, qui nécessite l'utilisation de 25% en moins, ainsi qu'une réduction des produits chimiques nécessaires pour le développement et le tirage.

     

    Source : http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=135411.html

     

    Parait que les acteurs ont bouffés du foin au catering, aussi.

  11. Beurk, quelle merde, typiquement le film de Major qui se donne des airs de "film indé" avec des comédiens pas très beaux, des sujets-qui-touchent-au-quotidien, de la Folk toutes les 5 minutes, des personnages pseudo "attachants", des scènes pleines de bizarreries et de décalage (ah, j'allais oublier l'affiche, super tendance dans ce qui se fait au niveau de l'art graphique en ce moment).

     

    C'est limite pire que JUNO et LITTLE MISS SUNSHINE, ça sonne faux tout du long parce que ça essaie de se donner "des airs de" sans jamais y arriver à donner "ce tout petit supplément d'âme" (copyright Michel Berger) qui donne aux vrais bons films indé leur patine.

    De la grosse récup de la "indy method", mais avec des sous et des gros sabots.

    Dommage, les comédiens étaient plutôt bons.

  12. L'HISTOIRE : Quatre iindividus acceptent de participer à un programme de recherche psychologique pour découvrir qu'ils sont maintenant sous le coup d'un programme classé top-secret et ultra-dangereux du gouvernement.

     

     

    Bon, déjà ça commence mal, scénaristiquement, on part du principe que le projet gouvernemental secret "MK ULTRA" a été réactivé. Sauf que le projet MK ULTRA consistait à droguer les gens et à voir les effets que la drogue avait sur eux, là, telle que l'expérience est montrée, on est plus proche des expériences de Milgram (évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité).

    Grosses lacunes dans le lien pseudo-historique sur lequel le film se base pour fonder son pitch.

     

    Ensuite, on découvre très vite que derrière ce scénario qui se veux malin se cache toute la bonne vieille eau de bidet des délires conspirationnistes post 11-09 (les USA-grand satan sacrifie des citoyens innocents pour des expériences chelou).

     

    Du point de vue filmique, bah ça se laisse regarder, c'est presque un bon thriller, avec un petit ventre mou, qui recycle un peu CUBE, un peu SAW (sans les effets clipesques relou), un peu L'EXPÉRIENCE...

     

    Bref, ça va pas chier très loin, faut pas trop en demander sur le sérieux de l'opération si on veux arriver à apprécier le film...

    Plus j'y pense plus j'ai trouvé ça mauvais. Faut vraiment arriver à mettre de côté un paquet d'éléments. Ce que je ne suis pas parvenu à faire. Dommage, le casting était solide et la réalisation à peu près digne.

  13. Revu hier dans des conditions "quasi-salles" (un bon home cinéma, condition minimum pour revoir un tel monument), bon, je ne reviendrais pas sur le film lui-même (qui a pris un putain de coups de vieux, quand même, la partie pré-historique est quand même assez "z" plus de 40 ans plus tard, alors que la partie "spatiale" reste très bleuffante), mais j'ai une question à poser aux érudits et autres pointilleux des "versions":

     

    - J'ai vu ce film a 12 ans à la TV, et je garde en tête une scène finale bien plus longue, composée avec d'images du personnage principal devenu vieux dans son lit de mort sur un terrain de base-ball (ou un truc dans le genre). Ça vous dit quelque chose ?

    J'ai revu le film hièr dans sa version DVD la plus récente, et cette scène est absente.

    Il y a t-il deux montages de ce film ?

    Si oui, est-ce Kubrick lui-même qui a remonté le film lors de sa ressortie en salle puis en DVD ?

    J'imagine que oui, mais bon, ça m'intrigue, pourquoi avoir enlevé ces images ?

  14. Revu hier, rien à rajouter sur ce que vous avez dits plus haut : petit chef d'oeuvre du bis.

    Je n'avais pas vu ce film depuis 15 ans, et j'en avais gardé un autre film en tête. Moins émouvant, moins désespéré. Ce qui m'a marqué c'est la relation qu'entretiennent les deux personnages principaux, entre amour et froideur, comme si l'ère post-atomique dans laquelle ils vivaient leur interdisait tout rapport un tant soit peu passionné. Ce qui rends la mort du héros encore plus forte (et quelle mort ! quel trip !).

    Et puis pour une fois, on ne cite pas la Bible a tort et à travers pour "faire apocalyptique", le contenu du film a un vrai rapport avec le sujet du film.

     

    Et puis merde, ce morceau de PIL déchire tout.

  15. Un beau gachi, le contexte de l'histoire est vraiment MOR-TEL, seulement, l'enquête policière qui compose la trame du film est vraiment inintéressante. D'après un tel pitch, ca aurais probablement fait un excellente serie a la Battlestar Galactica / Caprica, y'avais VRAIMENT un truc a développer sur le long-terme, mais sur 1h30, ca laisse vraiment une impression d'inachevé dans la bouche...

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