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tubbytoast

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Messages posté(e)s par tubbytoast

  1. D'autant qu'à l'origine la scène de viol de Susan George a été totalement édulcorée sur demande express de sa part quand elle a vu sur le tournage qu'elle devait être sauvagement sodomisée

     

    Je rappelle que les remake en général sont destinés aux ados n'ayant pas connaissance du film original.

  2. J'y suis allé à reculons. A contre cœur. Sous la menace de lourdes représailles.

    En sachant que beaucoup s'était fait chier.

    Et que DPG avait aimé

    C'était mal parti.

     

    Et ben j'ai bien aimé. C'est drôle, non ?

    A mon avis, je me suis bien identifié au personnage. Non, pas à Cléo

    Pas de flingue, pas une goutte de sang, pas de poursuite en bagnoles (même en Ferrari), pas que du nichon siliconé, pas de baston dans le saloon, bref un film posé, lent, un exercice de style...

    Le spleen et la solitude de Johnny sont bien mis en avant même si j'ai trouvé que la musique est quasi absente (sauf dans quelques séquences stylisées comme avec les 2 go-go/prostituées).

    Bien que la ville ne soit jamais vraiment filmé frontalement, je me suis senti immergé dans l'immensité de Los Angelés essentiellement grâce aux nombreux plans filmés de la bagnole

    Ne pas oublier que Sofia Coppola est admiratrice de Chantal Ackerman

  3. Revu en salles il y a quelques semaines (avec des gugusses du forum) et papy Dario (sans son enfant ) quasiment sur les genoux lors du 2010 Dario Tour

    C'était beau, bis, bandant.

    Peu de ronflements dans la salle et aucun bruit de pop corn.

    Seulement des cris de vierge effarouchée durant les nombreux meurtres.

  4. ATTENTION SPOLIERS

     

    Beaucoup aimé également...et beaucoup ri aussi...enfin souri..la caricature de l'artiste escroc (interprété par Thierry Guetta) culmine lors de la pseudo exhibition l'ayant censé rendu millionnaire sans trop se fouler (un peu comme les pseudos artistes qui exposent lors de biennale d'art contemporain où par exemple 3 néons suspendus dans un hangar de 1000m2 constitue une oeuvre d'art.

    Un beau film canular comme on aimerait en voir plus souvent

     

    Bluffant en tous cas et j'espère que ça enfoncera bien profondément le doigt dans le cul de ceux qui s'imagine qu'un tableau blanc avec 3 points verts c'est de l'art.

     

    J'ai vu un gars sur un forum qui se demandait si Bansky = Guetta.

  5. Beaucoup aimé aussi celui-ci.

    Par contre, je pense contrairement à l'avis ci-dessus qu'il règne dans ce film du grand second degré et qu'outre la classique histoire et le happy end, certaines scènes sont trés détendues. La scène de la taverne (qui fera peur aux plus petits du forum ) est éblouissante tant dans le graphisme que dans le fond (pour une fois de belles paroles chantées )

    La princesse est physiquement craquante (stephane, elle vient d'avoir 18 balais !)

    La 3D ici ne sert pas le film sauf dans quelques plans aériens et sert surtout à faire raquer 2€ pour engraisser Monsieur Paté & co.

    Apparemment le sybillin nom Raiponce viendrait de la francisation du conte original de Grimm, Rapunzel.

  6. C'est sur que dans Koh Lanta l'aspect le plus intéressant reste les relations plus ou moins douteuses entre les candidats. Plusieurs fois ça a failli partir en clash (véro > laurence à 2 doigts de se faire éliminer) ou Claude > marine. En dehors de cet aspect, toute la manipulation de la production pour tester leurs candidats/chimpanzés (par ex les 15 bananes déposées par la production elle-même).

    Cette année y a pas eu de caractères trop divergents pour que ça passionne le clampin ; dommage avec frédérique qui était bien partie pour succéder à moundir.

  7. J'ai trouvé le film d'une part trés long mais surtout ennuyeux. Ennuyeux d'avoir sous les yeux une énième histoire d'amour naissante où les clichés s'enfilent jusqu'à plus soif. Le tout sur fond de calamars géants qui sont tellement peu présents à l'écran qu'ils m'ont fait penser au monstre tout aussi invisible mais autrement plus terrifiant de "Planète interdite".

    Les 2 protagonistes ont le charisme du poulpe qu'ils vont entr'apercevoir à un moment donné dans ce long métrage plus rébarbatif qu'introspectif.

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