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yume

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Tout ce qui a été posté par yume

  1. Bigelow de retour après un The Hurt Locker qui n’arrête pas de me subjuguer à chaque séance. Zero Dark Thirty donc. Le sujet me faisait peur. Je craignais un film né d’une réaction vive à la mort de Bin Laden, à la célébration d’une traque pour la liberté. De célébration il n’y en pas. Zero Dark Thirty est une approche anti sensationnaliste de quasi 10 ans de traque et d’une multitudes de chemins empruntés. C’est un film clinique qui plonge dans les méandres, des plus terribles aux plus terre à terre, d’une chasse à l’homme érigée en but ultime. Il y a la même approche que dans The Hurt Locker. Dénué de tout artifice, au plus près, froide. La première – longue - scène est à ce titre tétanisante et réussi à faire disparaitre tout idée de supposé patriotisme politiquement correct. Ne vous attendez pas à un film d’action. La fin, que tout le monde connait, garde cette écriture et mise en scène anti spectaculaire. C’est en d’autant plus violent de bout en bout. Par contre, j’ai trouvé ça un peu long parfois, dans les nombreuses scènes de briefing, même si il n’y pas de vraies longueurs. Et Jessica Chastain est terrible (pourtant je ne l’ai jamais trouvée extraordinaire auparavant). Je ne suis peut-être pas aussi conquis qu’avec The Hurt Locker, mais Bigelow en a dans le slip et sait faire de vrais bons films. Respect.
  2. Très sympathique film que ce Django Unchained. Tout Tarantino est là : iconisation des personnages, longues scènes de dialogues (un quasi 20’ de table d’ailleurs), références, le tout emballé avec une maestria qu’on aimerait bien retrouver plus souvent dans le cinéma US. Mais que Tarantino soit un technicien de génie et un dialoguiste hors pair on le savait. Là, j’ai été surpris par deux choses : - De l’humour qui ne nait pas que des dialogues mais qui est aussi des situations. Le coup du KKK cité par Cyril est juste énorme (je connais pas le style ZAZ mais dans l’esprit ça n’aurait pas dénoté chez les Monty Python) - Une narration non éclatée. Les flash-back sont peu nombreux, ultra courts, quasi cut. Il y a bien une ellipse temporelle mais le film va de l’avant, un peu trop même. A côté de tout ça, ça saigne à grosses gouttes, Jamie Foxx est excellent tout comme Di Caprio et Samuel L Jackson (en énorme batard !), mais la palme revient à Christopher Waltz juste impérial. Bizarrement, à part un autre personnage, Big Daddy, le film ne présente pas tant de personnages que cela. C’est assez soft sur ce point. Pourtant même si Django Unchained est un film jouissif, il m’a paru un peu trop long et je me suis fait radicalement chier dans les dernières 20 minutes (et pourtant ça saigne). Et la seconde partie m’a paru sacrément plus faible que la première, bien que plus Tarantino-esque dans l’esprit. Pas le meilleur Tarantino, imho, mais un bon film que je reverrai avec plaisir.
  3. yume

    Lincoln - Steven Spielberg (2012)

    Comme souvent chez Spielberg je ne suis pas forcément touché par ce qui se déroule, surtout que là ça touche un pan d'histoire qui est fait pour parler aux américains en priorité même si ça reste universel. C'est beau, ultra beau même. Il y a des scènes magnifiques avec un soin maniaque sur la lumière. Et ça cause, tout du long. C'est un film intime qui mixe parcours politique et vie de famille. Et c'est blindé d'acteurs over ze top. Tommy Lee Jones est hallucinant, Gordon Lewitt va nous faire une belle carrière mais surtout il y a un Daniel Day Lewis juste parfait (c'en est meme flippant. Hate de voir un making off). Faudrait inventer une icone claquage de beignet rien que pour lui. Difficile de voir qui pourrait le concurrencer aux oscars cette année tant il est Lincoln (ce putain d'accent qu'il s'est fait !! et sa gestuelle fragile !!!). Si le film m'a juste plu, j'ai été happé par la performance.
  4. c'est donc l'histoire d'un gars, ex CIA operative qui réussit à retenir un chemin pendant qu'il est attaché et cagoulé dans une voiture rien qu'aux bruits et à l'inertie du véhicule dans une ville qui est pourtant hyperbruyante et labyrinthique, qui sait flagger sa position rien qu'aux bruits de grenades lancées à 4.5km de lui (c'est précis), mais qui ne remarque pas que sa gourdasse de fille commande 2 glace et s'en étonne donc avec 10mn de retard sans comprendre que peut etre quelqu'un d'autre est attendu à table !!! ..... ou alors, y'a un bouton on/off sur lui et quand il est en vacances son instinct dort. Ca aurait pu etre bien, mais en fait tout est nul. Je n'accuserai pas le script - Bessonesque, mais bizarrement taken premier du nom passait bien - mais plutot le parkinsonien de Megaton. C'est ceci dit moins pénible à subir que Transporteur 3, mais c'est toutefois bien illisible quasi tout le temps.
  5. j'avoue que Liz Taylor, je l'ai longtemps sous estimée. Je suis inconditionnel de A cat on a hot tin roof, mais à part quelques autres gros classiques genre Cleopatre, je n'avais rien vu d'elle. Et voilà que lors de son déçès France TV diffuse Who's afraid of Virginia Woolf ? Et là, grosse, méga baffe intersidérale, soit traduit en terme zonbebissien un : Sur 2 heures, le film ne lache pas le morceau. Rythme de fou, ciselé par des dialogues admirables (je comprend qu'à l'époque ça ait choqué, vu la vulgarité "commune" de l'ensemble) et une montée en puissance qui me scotche au siege à chaque fois. Pourtant le pitch est simple : Martha et son mari George rentrent chez eux apres une soirée à l'université (dont le doyen est le pere de Martha, et où George est enseignant). Elle lui annonce qu'elle a invité un couple de jeunes gens rencontrés à la soirée. Ces derniers arrivent et vont assister aux joutes du couple, avant d'eux meme y prendre part. C'est adapté d'une piece de theatre et Nichols ne cherche pas à la nier. Il n'use que de tres peu d'effets, si ce n'est des décadrages et angles bizarres pour simuler la perte de controle des protagonistes. Tout le reste de l'interet du film est donc à la charge des dialogues, incisifs, et surtout des acteurs. 4 acteurs. Tous admirables, mais où le couple Burton / Taylor surnage completement. Je ne connais rien à leurs vies, si ce n'est qu'il étaient ensemble à un moment, mais leur complicité / haine apporte énormément au film. Leur couple, leurs problemes, leur relation, on y croit d'emblée et pourtant il ne suffit que d'à peine 20 minutes pour les présenter dans leur complexité. Liz jure, picole, a des sauts d'humeur, est bouffie et décoiffée. Burton a rangé son machisme et sa virilité au vestiaire. Du contre emploi splendide. J'adore.
  6. attends le 3 ! (le 2 est le plus décevant, alors que c'est le titre le plus porteur)
  7. très facilement en Albanie Effectivement, pure merveille que ce film.
  8. En voilà un dtv sympathique ! Le poster ne ment pas, c'est du pur produit gindhouse dans l'esprit, avec ce que ça comporte de renvois au style Tarantino / Rodriguez (biffez la mention inutile selon les scènes et votre humeur). Ca donne du style au bousin, un certain rythme bien enlevé et quelques scènes wtf (le gang de prostituées / pole dancers), et on a le droit a des dialogues remplissages bien sympathiques. Bon, ceci dit les emprunts stylistiques sont quand même bien marqués et au final la réalisation manque de personnalité. Ce qui n’empêche en rien que ce soit joliment filmé, cadré, monté, avec des moneyshot à foison, des acteurs qui ont de la gueule (Billy Bob Thornton !), le cul d'Eva Longoria moulé dans un shorty jean filmé avec le soin qu'il mérite... Ca ne vole pas haut, c'est pas l'histoire du siècle, mais pour une soirée pas prise de tête c'est le produit idéal du moment.
  9. Ceci dit, Conan c'est plus de la sword & sorcery que de l'heroic fantasy. Alors si ta seule référence de ce dernier genre est Conan, clairement Tolkien doit sembler gentillet et naif. (mais là je pinaille sur les définitions de genre) Bilbo est totalement différent de LOTR. C'est un conte au sens basique du terme. On reste dans le même monde, mais les enjeux, les cadres, les comportements, les finalités n'ont vraiment rien à voir.
  10. N'est pas Tarantino qui veut, et RZA malgré son respect évident pour les films de la SB rend un film bien pourri et insupportable. Quelques plans se distinguent du lot de foirade (ainsi que Lucy Liu, tjs craquante), mais dans l'ensemble c'est juste nul. Ce qui finalement correspond assez bien aux très faibles espoirs que je mettais dans le projet.
  11. C'est pour ça que je disais que le film était "plus universel". Une famille reste une famille. Par contre, il reste quand même un paquet de scories que je trouve particulièrement applicables à la cellule familiale ou sociale japonaise. Grosse pression de toute part, perte de repères, père immensément absent (la constante du salaryman), sans compter que le père Sono lâche en sous texte frontal sa propre relation au père. L’intéressant qui découle du talent de Sono Sion à emphaser les choses, c'est que Noriko's Dinner Table au premier degré aurait été un film super chiant. En exagérant et délayant le genre au maximum (le coup de la location de famille, ça rentrerait dans une case cyberpunk plutôt facilement, ou un film d'horreur), l'idée directrice est renforcée et devient sublime.
  12. je n'ai pas d'enfants, donc je n'ai pas la meme sensibilité de grille de lecture que toi. Ceci dit, je le trouve effectivement plus universel que Suicide Club (pour prendre un précédent), qui avait pour lui une comparaison de société de consommation très ancrée Japon (ou entertainement asie). Je suis plutôt simple dans mes lectures de message de film, mais Noriko c'est une vision cynique hyper crue de la différence générationnelle et du total manque de communication qui naît de l'absence de compréhension des uns et des autres. Parce si Noriko est paumée, son père l'est totalement aussi. C'est pas juste une vision unilatérale, ça explore la cellule familiale et la construction d'identité dans et autour de cette derniere. A bien regarder c'est là la finalité du film via le Watashi wa Noriko à la toute fin. On est dans pile dans le schéma narratif de Sono avec la déconstruction violente afin de forger l'individu. Sauf que contrairement à Himizu (qui a finalement plein de points communs matriciels), Noriko évite l'hyperbole constante. C'est sur le fil, plutot casse gueule (la toute fin), mais ça reste plausible (et totalement Murakinien dans l'ame - les bébés de la consigne automatique, dont l'apport est surement notable). (ca fait trois ans que je remanie mon brouillon de texte sur Noriko, sans m'en satisfaire. Un jour j'y parviendrai!)
  13. moi ça m’intéresse au plus haut point. D'un coté parce que je suis fan de la mythologie mise en place par Tolkien (malgré les textes inachevés et les constantes révisions de points de détails majeurs), que Bilbo doit etre un des premiers livres que j'ai lu, que j'adore les nains dans l'heroic fantasy, que je suis ultra curieux de voir comment Jackson a géré le coté conte fantastique qui est en totale opposition avec la fresque épique qu'est LOTR (les choix graphiques du trailer me rassurent d'ailleurs sur la direction prise sur ce point). D'un autre coté, parce que le HFR j'ai envie de voir ce que çà donne (mais ca reste un point mineur tout de meme) et un peu aussi parce qu'il y a Cate Blanchett (meme si on la voit 5mn)
  14. pour ma part, c'est le chef d'oeuvre de Sono Sion. Pas le plus parfait niveau technique et plastique, mais dans sa narration (une voix off ultra présente et jamais chiante) et son sujet c'est - imho - le plus puissant. Et il serait temps que le film soit réhabilité à sa juste valeur.
  15. devant l'enthousiasme générale sur Morneau, je m'en vais chercher son Retroaction
  16. Depuis Ginger Snaps, je ne trouvais pas de film de loup garou qui me plaise. Et là problème réglé ! Werewolf : the beast among us est un bon petit dtv qui cumule plein de bons points : - un budget viscères assez élevé - des maquillages crédibles (même les garous) - un background Europe de l'est médiévale un peu propret et réduit à un bout de village + une foret mais qui claque bien quand même - un cheval monté sur roulettes - des chasseurs de garous bien badass (avec une surprise mongole à la clé) - un cheval monté sur roulettes - des litres de sang - deux chouquettes - des gitans - des garous bien violents Bon par contre ça ne fait pas peur, l'histoire n'est pas surprenante, le coté dtv se ressent bien et les acteurs cabotinent à mort. Ceci dit j'ai bien aimé.
  17. rahhhhhhhhhhh y'avait déjà un sujet que le moteur de recherche n'avait pas trouvé quand j'ai cherché la premiere fois....... un modo peut déplacer honte sur moi pour les générations à venir
  18. Réalisateur de pub plutôt pas mauvais, Matthias Hoene s'attelle à la tache ardue de passer apres Wright et son Shaun of the Dead dans le genre du film de zomblard en plein quartier populaire eastender de Londres. Et si jamais Wright ne mentionnait spécifiquement l'endroit, Matthias Hoene assume avec son Cokcney du titre. Du Cockney de tous ages (enfin surtout des vieux, et des jeunes, pas trop d'entre deux) qui vont faire face à une énième invasion de zombies. En gros, pour résumer : des ouvriers idiots décèlent une cave fermée par ordre du roi voilà des siècles, se font manger par un reste de zombi qui vivotait dans le coin et est heureux de cette livraison à domicile. Le truc s'étend rapidement, sans qu'on sache comment puisque tout se focalise sur un deux jeunes qui décident de cambrioler une banque, avec leur cousine et un ancien militaire black cramé depuis l'Irak, afin d'avoir assez d'argent pour sauver la maison de retraire de leur grand père, puis se réfugient là bas afin d'organiser la survie. Alors si on peut légitimement pense à Wright, c'est surtout Guy Ritchie qui se fait gentiment copier tout du long du film; et pas de manière supra subtile. C'est presque génant ! Et la présence d'Alan Ford (le monstreux Brick Top de Snatch) ne minimise pas l'impression. Heureusement qu'au final le film est malgré tout sympa à suivre. Ce n'est pas du haut niveau, c'est narrativement ultra faible, méga cheap, mais c'est assez court et par moment drôle pour que pas s'ennuyer. Voir des vieux croulants avec des shotguns a un effet comique naturel. Et on a en plus le droit à la poursuite la plus lente que j'ai jamais vu. Et puis y'a Michelle Ryan
  19. Les salauds ! ils font un mauvais film mais ils mettent 2 Michelle Rodriguez pour le prix d'une. Alors forcément je suis obligé d'aimer. C'est cependant foncièrement mauvais. Une intro bling bling qui ne sert strictement à rien à part faire mal aux yeux et me faire lever pour aller me chercher une biere. Un scénario..... enfin une histoire... disons un déroulement complètement pourri (c'est Tron dans le monde de RE). Des personnages secondaires à la ramasse et au top du non charisme que quand ils meurent tu te ressers des moules (copyright Desproges). De l'action ralentie pour bien profiter des grimaces de Mila. Une Jill Valentine méchante ! Ceci dit, c'est quand même extrêmement généreux, et comme mes yeux ont été estropiés dès la fin de l'intro rewind/forward, le reste est passé tout seul. Faut pas me demander ce qui s'est passé, mais ça blast sévère avec des flingues qui headshot tout le monde sauf les méchants, des gros mastodontes avec des haches marteaux à deux mains, des zombis idiots, du kung fu, Mila en tenue de cuir, Michelle Rodriguez deux fois.... ça a suffit à me faire passer le temps. De là à dire que j'ai aimé, il y a une marge. J'ai largement préféré les précédents (ouais meme le 2). Le revirement cyber matrix transhumaniste m'a un peu déplu je pense. Et une question : Ada Wong elle n'est pas censé être belle et super charismatique ? non parce que l'andouille là dans le film c'est un crime. Mattez Damnation, c'est autre chose.
  20. yume

    Total Recall - Len Wiseman, 2012

    Vu hier. Comme tout le monde, je trouve la direction artistique à tomber. Depuis Blade Runner je n'avais pas pris un tel plaisir à voir un futur cyberpunk totalitariste d'aussi belle facture. Et Wiseman se fait plaisir à bien mettre en valeur un tel potentiel de décor. Il cadre large avec un effet de profondeur permettant au mieux d’apprécier la ville en niveau. Il y a un gigantisme de folie, qui me parle bcp niveau thématique. Par contre je n'ai pas du tout pigé l'interet de foutre un contrepoint post apo. Les deux villes-poles se suffisaient à elles mêmes. Je citais Blade Runner, mais là encore on sent cette influence graphique chinoise, ce qui n'est finalement pas bete vis à vis de l'Australie actuelle. Par coté histoire, j'ai l'impression d’être pris pour un con puisque les scénaristes ont jugés que je n'avais pas de jugement ni de possibilité de réfléchir à un éventuel double niveau reve-réalité. A vrai dire j'ai décroché dès le passage chez Rekall. Je n'ai pas pigé pourquoi personne en post prod n'avait jugé utile de foutre un petit effet de montage, genre changement de cadrage, contrechamp sur farel, flou, fondu, enfin n'importe quel truc qui laisse imaginer que ce qui va suivre va être ambivalent. Là dans une parfaite continuité, ça manque d'impact imho et tout le propos Dickien tombe à l'eau. Ce qui est con, car l'interet de Total recall c'est quand meme cette idée de reve et personnalité truquée vs réalité. Donc me voilà un quart du film, et je n'en ai plus rien à battre. Je me laisse juste porter par un rythme sympa et quelques moments bien spectaculaires comme la poursuite dans les ascenseurs fous ! Wiseman gère proprement son truc d'ailleurs. C'est quelque fois brouillon, genre la poursuite en voiture où je pigeai rien, mais c'est dans la norme et le mec fait son job. Et coté acteurs, Farel a la classe (surtout mal rasé), Beckinsale a son meilleur plan au début quand son mari cadre sa chute de rein et sa culotte blanche, et l'autre de 7 à la maison sert à rien. Putain, il est loin Michael Ironside !! Et j'ai aimé le clin d'oeil la grosse bonne femme de film de Verhoeven dans le controle aeroport. bien vu, meme si pas finaud dans le genre fan service. Allez hop, je garde les décord pour illustrer mes propos lors de jdr cyberpunk. Le reste je zap.
  21. yume

    Skyfall - Sam Mendes (2012 )

    J'ai été subjugué du début à la fin, mais je n'ai pas du tout l'impression d'avoir vu un James Bond dans la derniere partie qui est censée être le climax. Clairement, les origines de Bond je m'en tamponne. L'allusion seule au fait qu'il était orphélin dans Casino Royale était déjà plus qu'assez. Alors là....... Bon alors évidemment si on analyse tout ça dans un prisme psycho freudien, Bond devient Bond toussa... donc la derniere partie en Ecosse, à part qu'on voit que le mec est un ancien SAS et qu'il n'est pas là pour mégoter (les grenades à clous ), c'est tout pourri. Tout ce qu'il y a avant par contre c'est le pied absolu, magnifié par une photo à tomber (le passage à HK avec la baston en ombre), des décors hallucinants (l'ile aux relents de Fallout est extraordinaire), un méchant qui a la classe, des scènes d'action qui claquent, et une jolie évolution du personnage (bon ok c'est pas super fin via la résurrection et le retour pour sauver son pays). Et le placement : Deux choses pourries cependant : l'OST et la JB girl frenchie transparente. Une chose bourrin : la montée sur le train dans le prégénérique, avec un méthode inutile mais diablement classe (la suite à coup de tractopelle et JB en mode terminator déchire bien aussi)
  22. yume

    Strike back [2010- ????]

    Strike Back saison 03, sobrement intitulée Vengeance On ne change pas une formule qui gagne : 10 épisodes formés d’histoires de 2 épisodes liées par un fil rouge ; une belle mise en avant de géopolitique sur certains points chauds du globe ; et des scènes carrées semi réalistes assez sèches et violentes. Le duo principal est de retour, avec un Anglais largement plus badass (le titre est Vengeance), et un américain qui baise tjs autant tout ce qui passe ce qui donne des scènes bien gratuites. J’ai été un peu sur la réserve lors du premier épisode, un peu mou dans sa premiere partie. Mais après ça reprend son rythme et la série redevient accrocheuse. J’aime beaucoup. Et pour les gens de bon gout, il y a Rhona Mitra en Major du MI6, et Charles Dance en antagoniste.
  23. yume

    Carrie - Kimberly Pierce (2013)

    En plus d'un personnage, elle fait la narratrice dans les Contes de Dunwall; la super mini webserie qui a teasé la sortie du jeu Dishonored. J'ai trouvé son placement de voix très bon, et son ton juste avec ce qu'il faut de pointe glaciale (ca reste finalement un choix de narration commum, mais bien fait) Hate de voir ce qu'elle va donner dans une histoire comme Carrie.
  24. J'ai aussi revu l'homme au pistolet d'or hier soir, et je ne me souvenais pas à quel point le film était ouvertement sexué. Ca n'arrete pas de taper en dessous de la ceinture, avec une totale décontraction. Si on ajoute les accents bien archetypaux à la Michel Leb des non anglais croisés, on obtient un mélange improbable, carrément infaisable aujourd'hui, qui n'a pas grand chose d'un JB mais se déroule pépère en étant super plaisant à regarder. Lee est y d'ailleurs pour beaucoup.
  25. yume

    Homeland [2011 - Showtime]

    Premier épisode de la saison 2 plutot sympa mais pépère, suivi d'un second épisode au rythme hyper carré. J'adore !
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