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Canard

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Messages posté(e)s par Canard

  1. Un peu déçue, j'ai trouvé ce second opus moins palpitant que le premier, malgré les scènes d'actions qui sont plus nombreuses. C'est une impression assez curieuse : on dirait que ça manque de conviction et surtout on est jamais surpris par rien. J'avais déjà lu le livre, mais pratiquement tout oublié.

    Et oui, en effet, c'est TROP long !

     

     

    Mention spéciale à la scène des tonneaux qui est mortelle

     

  2. J'adorais regarder ce film quand j'étais petite. Je le revois aujourd'hui encore avec plaisir ... et j'avais jamais vu l'affiche, elle tue!!

     

    Je me rappelle bien de la soirée avec Philip Glass, étant donné que celui-ci avait postillonné sur la face de Cyril dans les jardins cossus de Fourvière après la projection du film

  3. Je pense que tu devrais aussi lire le livre Il est difficile d'être un Dieu écrit par les auteurs de Solaris. La future bête de festival, vu que l'adaptation de Guerman est en prod dessus depuis 10 ans (là il est en post-prod depuis 5 ans !!!). Sa mort va peut-être accélérer les choses....

     

    Ptite precision solaris de Tarkovsky est une adaptation du roman de stanislas Lem , il est difficile d'être un Dieu à été ecrit par les freres Strougatski , à qui on doit aussi Stalker , et aussi adapté par Tarkovsky ... bref que des mecs plus ou moins russes et totalement recommandables

     

    sinon la prog ... classe !

     

    Thx (pour la progr)

  4. Prix du public : Mama

    Prix de la critique : Berberian sound studio

    Prix du jury : Berberian sound studio et The End

    prix du jury jeunes : Mama

    Prix du jury syfy (??) : You're next

     

    J'ai été assez étonnée de voir des films très très minables en compétition, dont Remington and the Curse of the Zombadings. je suis très contente de voir que Berberian a été primé, c'est un excellent film . De ce que j'ai pu entendre autour de moi, le public a littéralement détesté.

    Voilà, contrairement à certain ici j'ai bien aimé The Bay et You're next . Le choix du jury, avec un ex aequo, est un peu curieux : je vois pas pourquoi Berberian ne méritait pas d'être tout seul au podium. The end est un film assez curieux, mais qui ne m'a pas particulièrement enthousiasmé.

     

    Pour la petite histoire, V/H/S (hors compétition) a été projeté avec un décalage de 3-4 min du son. Quelques (nombreux) spectateurs ont cru que c'était fait exprès. La séance a ensuite (au bout de 15 min avec ce décalage) été stoppée car pas de projectionniste.

  5. J'y suis passée la journée pour les tables ronde/ conférence, c'était intéressant. Belle animation de la part de l'équipe (des trucs à manger et des trucs à gagner, c'est tjs sympa).

     

    Je regrette qu'on y ai pas plus parlé cinéma, c'était plutôt accès littérature.

     

    Peut-on voir le documentaire quelque part?

  6. Bullet Collector, Alexander Vartanov

     

    Un adolescent de 14 ans détestant sa vie tente de fuir une existence dans laquelle il se sent faible et lâche. Entre parcours initiatique et lente descente aux enfers, le jeune héros se trouve complètement impuissant face aux événements qui se succèdent autour de lui et s'invente une réalité qui lui permette de tout affronter avec courage et noblesse. Evoquant le thème universel du passage difficile à l'âge adulte, le film décrit un monde ou une société qui laisse ses enfants livrés à eux-mêmes avec toutes les contradictions liées à ses attentes. De toutes les humiliations subies à l'école, dans la rue et dans sa propre maison jusqu'à son atterrissage dans un foyer de correction, tout nous rappelle «L'enfance d'Ivan» (1962) d'Andreï Tarkovsky et «Les quatre cents coups» (1959) de François Truffaut, dans une approche bien plus brutale et sans pitié. Avouant son admiration pour le réalisateur de la Nouvelle Vague française, Alexander Vartanov réalise un hommage qu'il transpose à une réalité bien russe, à savoir cruelle et dure comme le fer. Journaliste et directeur de théâtre pendant près de 10 ans, il s'agit du premier film du réalisateur moscovite, produit en partie par lui-même, qui dans la lancée se trouve déjà sur la finition de son prochain «Till Night Tear Us Apart».

     

    (LUFF)

     

    Le film a été présenté à l'Etrange, je l'ai vu au LUFF, où il a reçu un prix (mais pas LE prix, à priori)

    Claquage de beignet pour ma part : la première heure du film est absolument géniale, les plans sont très beaux et le scénario très émouvant.

     

    Mention spéciale pour le scène de sexe très réussie des deux ados, sachant en plus que l'actrice n'a été prévenue que 3h avant les prises.

     

    Je regrette que le film traîne en longueur, ça devient particulièrement pénible dans le dernier quart d'heure où on se demande vraiment si ça va finir un jour.

  7. Avant-première au Cinéma Comoedia (Lyon) de Wrong, nouveau film de Quentin Dupieux.

    Lundi 27 août 2012 à 20h

     

    "Dolph a perdu son chien, Paul.

    Le mystérieux Master Chang pourrait en être la cause. Le détective Ronnie, la solution.

    Emma, la vendeuse de pizzas, serait un remède, et son jardinier, une diversion?

    Ou le contraire. Car Paul est parti, et Dolph a perdu la tête."

     

    Comment oublier l'incroyable souvenir de la séance hallucinée "Rubber" ? Entre absurde et hype, le précèdent film de Quentin "Mr Oizo" Dupieux avait fait l'effet d'une petite bombe : attendue et redoutée. Mais il n'avait laissé personne froid! Il remet le couvert avec son nouveau film "Wrong" qui ne vous laissera pas non plus indifférent.

    Laissez-vous tenter et transporter par cette séance que l'on prédit comme le "GROUNDHOG DAY" via ""Buñuel" (cf: Indiewire)

     

    8HXGl7IYviM

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