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Binky

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Tout ce qui a été posté par Binky

  1. Même en étant au courant de tous les problèmes de scénar et co, on ne peut que se dire que le croisement rêvé entre l'univers MIB et Retour Vers le Futur 2 n'a pas lieu...mille idées, mille possibilités pas exploitées... mais c'est un vrai bon divertissement qui respire l'amour des monstres, des ETs, de la sf... J'aime bien l'idée que le vieillissement (par rapport au premier zodépi) de Will Smith est sous-entendu..ce n'est plus Junior, pas mal de répliques confirment et soulignent son ancienneté... et aussi le fait que chaque tournant moraliste soit justement détourné par la vanne: hey, les mecs, si y'a un black dans une superbe bagnole, c'est pas forcément une caisse volée ! (morale) bon, okay, celle-ci, je l'ai volée, mais bon...(vanne) Pas du tout d'accord sur le premier qui est la perfection-même, timing comique, FXs, sens du spectaculaire et rêveries sf...tout était génial là-dedans.
  2. Au fait, si il y a des gens qui sont intéressés, je profite de cet interlude pour vendre ma pomme (mais pas que, c'est un gros travail d'équipe): j'ai écrit un petit truc pour rassembler mes idées à propos du film, je vous le propose innocemment: http://www.gizmo-inc.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=287:cosmopolis&catid=61&Itemid=94
  3. Mais c'est un film qui veut t'avoir à l'usure ! C'est le but ! Mais bizarre car perso je trouve les discussions intéressantes, ca ne faiblit pas, avec un humour à la Samuel Beckett... Envie de le revoir. Ca ou Little Nicky.
  4. Mais le cinéma de Cronenberg est fait pour cela, il est fait pour que deux, trois gus se cassent avant la fin. Les monuments de malaise que représentent Videodrome, Crash, un film comme La Mouche, cette impression de fascination et de répulsion, cette sensation d'être paumé en étant touché dans sa pure subjectivité: ai-je aimé ? ou non ? peu importe: je le revois demain. De Chromosome 3 à Cosmopolis, dans une moindre mesure, c'est un cinéma qui ne s'offre pas, un cinéma qui se mérite.
  5. Binky

    Flight - Robert Zemeckis (2012)

    Me dis qu'un Zemeckis comak ferait du bien par où ça passe, et que Zemeckis de toute manière m'a jamais vraiment décu, ni rien... et puis là, flash-back. Je repense à Apparences. L'horreur, l'horreur...
  6. C'est frais, lucide, fantasmagorique quand il faut. Imparfait mais plus que digne d'un premier film. D'une scène de danse joyeuse à des moments de tristesse, c'est une oeuvre qui rassemble tout ce qui fait le romantisme, la comédie romantique, entre un humour allenien et des clichés détournés en passant par les références intelligemment exploitées (Le Lauréat). Webb parle de son histoire et des films qu'il a pu voir autour de ce thème, ce qui donne un mélange d'humour comme de...tristesse.
  7. Tu vas voir La Croisière mais pas ça ? Tu es bien bourgeois. Ma foi.
  8. Je trouve que la mise en scène, entre morceaux pas toujours super bien utilisés et plans tremblotants on ne sait pourquoi, est la principale, peut être la seule, faiblesse. Ca reste sympatoche, avec de la choupinette et une bonne humeur qui fait plaisir à voir.
  9. Bon alors, personne pour balancer de (ha) vannes ? Genre le film de fumistes...
  10. L'amour, c'est comme les pizzas...c'est mieux quand c'est fait par ta mère.
  11. Binky

    Crash - D Cronenberg - 1996

    meltingM, tu devrais expliciter ce commentaire et le proposer à un webzine, ou a un blog classieux, c'est largement assez riche pour être accepté ! pour le reste, que dire si ce n'est qu'une fois encore Cronenberg me met sur le tapis. Je dois avouer que Cronenberg est le seul cinéaste (même Noé ne me fais pas cela) qui est capable de me questionner quant à ma subjectivité, de mettre en doute mon avis sur un film (pas l'analyse mais l'avis premier, à savoir: j'aime/j'aime pas). Et ça me fait cela sur Crash et Videodrome par exemple, ou sur The Naked Lunch. "Alors, Crash, tu as aimé ?" "Sais pas trop...mais je compte le revoir demain." "Donc tu as aimé ?" "Bah...en attendant, je vais le revoir demain.".... Strange. Crash est concrètement dans la lignée de Vidéodrome. Un film semblant incompréhensible et super-symbolique en même temps, très significatif et obscur, hypnotique presque.
  12. Aussi, quelle idée de tailler des pipes au cinoche...
  13. L'amour, c'est comme les pizzas... C'est mieux sans croûtes.
  14. Binky

    Rollerball - John McTiernan (2002)

    Nomads, qui faisait dire à Christophe Gans: il n'y a rien à espérer de ce dénommé John McTiernan ! Comme quoi...
  15. Tu as déjà oublié Freddy VS Jason ?
  16. Binky

    Rollerball - John McTiernan (2002)

    tu peux enlever le "peut-être" , mais ça reste plus visible que "Rollerball" Je vais peut être aimer du coup...
  17. Binky

    The Big Bang Theory

    Tu devrais écrire pour Tv Grandes Chaines, au moins ce serait divertissant !
  18. Binky

    Rollerball - John McTiernan (2002)

    Ecoute, je ne suis pas un fan hardcore de McTiernan. Je ne le considère pas comme un Dieu. Selon moi, Le Treizième Guerrier n'est pas un chef d'oeuvre, et Rollerball n'est pas le plus grand film maudit de l'histoire de l'humanité. Mais tout de même. Piège de Cristal. Une Journée En Enfer. Predator. Last Action Hero. J'hésite encore concernant Basic par contre. Peut être que c'est du caca.
  19. Binky

    Rollerball - John McTiernan (2002)

    Une soirée, tranquille, à ne rien faire, tu peux tenter. Tu as probablement le dvd (facilement trouvable à deux balles) dans un coin, voire un petit divx des familles. Tu ne perds rien à voir ce McTiernan, que j'ai préféré, dans un tout autre genre, à Octobre Rouge... Certains disent que c'est le Showgirls ou le Starship Troopers (même satire, virulence, énergie) de McTiernan. Verhoeven est carrément incomparable (même par rapport à McT) mais il y a certainement des vraisemblances. Ce qui me fait dire que Thomas Crown c'est pas mal non plus, un objet très chic ou le "cambriolage" à la Arsène Lupin ne se déroule pas dans une banque...mais dans une galerie d'art impressionniste. Efficacité américaine, élégance européenne, pour caricaturer à donf.
  20. Binky

    Rollerball - John McTiernan (2002)

    Pas vraiment comparable bien que ce soit un remèqueuh, mais putain, comme film défiguré y'a de beaux restes ! Pas un chef d'oeuvre mais un film furax, orgueilleux, clinquant, satirique, fatiguant, où le mouvement est toujours capté dans sa plus grande fluidité, un montage rapide et une mise en scène bien nerveuse sans que le tout soit illisible. L'idée de l'infra-rouge c'est pas débile: c'est une trouvaille logique, qui coule de source, et de plus c'est pas si moche que ça. ET PUIS CE FINAL C'EST PAS UN TRUC DE GROS PD !
  21. Binky

    Passion - Brian De Palma - 2012

    c'est un hommage à "Bruiser" cette photo? C'est du De Palma donc, si ce n'est pas bon du tout, ca peut au moins être rigolo et bien chiadé.
  22. Est-ce qu'être championne de MMA donne de l'assurance ? Pas mieux. J'allais dire: Haywire, c'est zéro blabla.
  23. La poitrine en sueur de Romy Schneider. Le leitmotiv permanent de la musique classique dramaturgique. Ce gros désespoir qui envahit chaque séquence. Troisième film (hors téléfilms), et déjà une maîtrise de son propre cinéma assez ahurissante. Le truc dingue c'est que tout un univers et un style particulier apparaît déjà clairement avec ce film, et du coup, cela permet au spectateur de comprendre l'effet à double-tranchant d'une séance zulawskienne: une scène va sembler magistrale, l'autre tout à fait agaçante, et ca ne cesse pas, durant deux heures, ca épuise comme ca transcende le temps d'un instant. L'effet Possession quoi. Beau, poétique, prétentieux, subtil, balourd, fin, dramatique, dépressif, glauque, toujours hystérique...faut avouer qu'il n'y a pas deux visions du cinéma comme ça ! Plus que le duo principal, qu'une mise en scène toujours très libre, qu'un sens aiguë de la manipulation du spectateur (un coup: un rire...l'autre coup: de la tristesse...etc), ce qui impressionne le plus dans ce film c'est l'interprétation surprenante de Dutronc. Calme, un peu dingue, inquiétant, passionné, bizarre...le personnage zulawskien quoi. L'oeuvre ne laisse pas de répit à son public, Zulawski se lâche, quitte à épuiser son spectateur à force de scènes... Un film qu'il faut le voir.
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