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Daphne

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Tout ce qui a été posté par Daphne

  1. Mais les gars, on est en America, là-bas les cambrioleurs s'essuient les pieds avant de rentrer dans les maisons, et ils ferment la porte derrière eux quand ils ont fini pour éviter les courants d'air ! Pour pas poster dans le vide, un clip conçu avec des extraits du film (que j'ai, que je dois voir) :
  2. Nan mais m'en fous, je fais comme les bénévoles, mais avec une convention bidon signée par l'association ! Ça me fait des heures pour valider mon diplôme
  3. Ah ben flûte alors. Flûte !
  4. Honnêtement, je n'ai pas été estomaquée comme je m'y attendais. Film Xé, interdit machin, insoutenable ceci, censuré cela... L'époque a peut-être changé, parce que pour le "choquant", on repassera. On voit aussi glauque dans les émissions de faits divers du soir de la TNT. Ceci étant, j'ai bien aimé la réalisation technique, assez géniale. La mise en scène est très space, minimaliste (peu de décor, peu de dialogue, peu de musique) du coup on est dans l'esprit du tueur et rien d'autre. Tout ça est appuyé par les mouvements de caméra et plans extrêmes (plongées, plans séquence, très très gros plans...). En cela c'est magistral. Mais du coup, comme disait Cyril, c'est vrai que ça devient le film du chef op' et non du réal... C'est un certain parti pris, c'est quand même assez bizarre et moche, très... Derrickien quoi Et pas si choquant que ça, au final on voit pas grand chose, y'a rien de gore ni de cul. Le X me dépasse un peu, m'enfin, générations gnagnagna...
  5. Je rempile l'an prochain, c'est sûr ! Au fait, vous prenez des stagiaires ?
  6. On dirait que ça a été tourné au Parc Astérix. Pour l'avoir fait y'a quelques années, je suis presque tentée de croire que c'est vraiment le cas, en plus...
  7. Daphne

    Red State - Kevin Smith (2011)

    Moi j'ai bien aimé. Des moments longs (le discours de l'autre pasteur), mais j'ai apprécié le côté désabusé de tout le reste, l'absence de bons sentiments (ça pose un peu les coucougnettes sur la table), et à partir du moment où ça part en vrille, ça passe très vite.
  8. Daphne

    The Raid - Gareth Evans (2011)

    Ce film encule profond tout ce qui possède un trou du cul
  9. Daphne

    Bellflower - Evan Glodell (2011)

    Je suis pas complètement opposée à l'avis de tromatoxic. Je me devais de le dire. Ceci dit il faut gratter un petit peu plus profond pour voir qu'il y a quand même un petit propos philosophique et un petit peu de travail de montage parallèle pas mal foutu (à la fin). C'est pas complètement décérébré même si je suis d'accord que ça se la joue souvent intello de café. Moi j'dis : à suivre.
  10. Ma p'tite pute adorée ! Ma salope en sucre ! J't'aime ! (Camarade + moi + "féminité" dans la même phrase... s'ils savaient, tous. S'ils savaient.)
  11. Des potes éclairés m'ont dit tellement de mal de The Divide que je vais passer mon tour pour celui-ci. M'en reste douze autres à voir, ça ira je pense.
  12. Daphne

    Bellflower - Evan Glodell (2011)

    Des ralentis + des flammes + une dominante de jaune crasseux + de la sueur sur le front. Mais Zack Snyder ça marchait aussi, hein
  13. Daphne

    Bellflower - Evan Glodell (2011)

    The Last Picture Show + Michael Bay - $$$ = Bellflower. Maintenant, faites ce que vous voulez de cette équation Quelques merveilles visuelles, on n'est pas très loin de l'expérimental, même si le montage et les prises de vue, niquant volontairement les conventions (pas un seul plan n'est "correct" techniquement)... euh... je sais plus comment je voulais finir ma phrase, mais bref. C'est intéressant à regarder pour qui s'intéresse aux techniques du cinéma, histoire de voir comment certains se débrouillent avec du matériel improvisé pas franchement simple à manipuler. Demain j'apprends à écrire, promis.
  14. Cycyyyyyy ! Mouarf j'ai reçu ton mail, tant pis pour le bénévolat... Si y'a un désistement de dernière minute hésite pas, je bloque mon weekend juste pour les HC Et en fait je savais plus mais lundi c'est férié donc je travaille pas donc je suis dispo aussi !
  15. Daphne

    Bellflower - Evan Glodell (2011)

    Je l'ai pas vu à la séance Hallucinée, j'avais peur de me faire chier, mais du coup vous me donnez envie (surtout la cam ). J'vais aller au Comoedia très vite, moi !
  16. Yeah ! J'en suis ! Si je peux pas être bénévole je serai au moins spectatrice, j'espère faire un maximum de séances
  17. J'ai trouvé quelqu'un, c'est une meuf, on se roulera des pelles si c'est pas bien, sinon.
  18. Un Community College c'est quoi ? Hé bien c'est une université ouverte à tous, et surtout, à n'importe qui. Jeff Winger est avocat, mais oh, pas de chance, son diplôme de l'university of Colombia (et non Columbia) est invalidé, et afin d'exercer de nouveau, ce gros fissius imbu de lui-même s'inscrit nonchalamment à Greendale où il espère, en usant de son charme pour manipuler tout le monde, obtenir facilement un diplôme sans en branler une, et en profiter aussi pour lever de l'étudiante avec l'aide de sa grosse voiture de luxe. Mais au détour d'une de ses viles tentatives, il se retrouve sans le vouloir à la tête d'un groupe d'étude composé de purs méga louzeurs. D'un format court (23mn), non tourné en public donc sans rire enregistré, Community possède le format et l'humour loufoque de Malcolm. C'est complètement nawak, et surtout les personnages sont tous insupportablement crétins, mais gravement attachants car superbement croqués et interprétés. Ca fourmille d'idées et de références geeks, et surtout, y'a CHEVY CHAAAAAASE Mais aussi KEN JEOOOOOOOOOONG Et puis deux poulettes dont une toujours en minijupe.
  19. La saison 3 redémarre ces temps-ci Une série que j'aime beaucoup, avec des personnages complètement cons - et en particulier Jonathan, qui me rappelle ces détectives imbéciles qui ont fait le bonheur de mon enfance (Clouzot, Max la Menace) sans le côté potache peau de banane bien sûr. Jason Schwartzman est impeccable en gentil qui veut jouer aux méchants mais qui quoi qu'il arrive reste un pur bisounours - en fait, imaginez Woody Allen qui se prendrait pour Clint Eastwood, et vous tenez le personnage. Autre point positif, pour une série HBO, ça ne sombre pas trop dans le graveleux gratuit, ça reste correct de ce point de vue là. Et puis c'est court et y'a peu d'épisodes donc c'est vite regardé !
  20. Bon, allez, en plus j'ai obtenu une place gratuite grâce à mes connaissances dans le milieu, merde quoi
  21. Des motivés ? Pour l'instant j'y vais seule et j'ai pas envie
  22. J'ai honte mais j'aime bien cette émission (bon, je la regarde jamais régulièrement vu mes horaires, j'admets, donc je rate certainement le plus nul). Y'a des gens bons, quand même. Par contre il faudrait brûler les jurés. Ruquier encore, ça reste tolérable et je suis globalement de son avis, mais putain les autres
  23. The Wire c'est mou et chiant et tous les personnages sont des sales cons (sauf Omar Little et Lester Freamonn) donc j'aime pas. Et j'ai insisté, hein ! J'ai lâché aux 3/4 de la saison 3.
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