Dan

+1 ça m'hallucine quand je vois que les gens ne veulent surtout pas être surpris, bougés de leur habitude et qu'ils attendent au final qu'un bon gros formatage. Surtout si ça va avec des insultes... CHANGEZ DE CHAINE !

La jaquette sent le bon gros nanar estampillé "Prism Video" avec son Gary Daniels qui en fait des tonnes niveau cabotinage et je me la pète. "Ouais, alors, pour 1€ dans un cash, ça peut faire passer une chouette soirée à se marrer entre potes avec quelques bières comme avec "Péril Atomique" ou "Gangland 2010" ?" Non, même pas. Ne cherchez pas, ce film est un véritable assommoir, consternant par son rythme parfois à la limite du pachydermique alors qu'il y a du pan-pan-boom-boom et des bastons à foison, mais bon, c'est extrêmement mal filmé et chorégraphié. Pas de scénario, et ça, vous vous en doutiez déjà. Rien de franchement nanar ou d'exceptionnel (même pour rire) : un gros navet. Un casting qui met au troisième plan Gary Daniels au profit d'un type assez inexistant. A noter la présence de George Murdock, un acteur qui est de toutes les séries. Poubelle.

Comme je n'ai pas lu les bouquins, j'avoue que le cliffhanger de malade de l'épisode m'a triplement fait

Bravo ! J'ai quand même mis deux minutes pour comprendre Sinon, non, c'est clairement pas un film de piscineploitation, on doit voir une piscine moins de 5 minutes en tout et pour tout (désolé DPG )

3alztOLWct0 Je commence tout juste à me pencher sur la carrière de Wakamatsu et je sais que j'aurais peut-être du commencer par sa période années 1960, mais bon, il était pas cher à OCD. Alors, je pense qu'il va me falloir peut-être un visionnage supplémentaire mais j'ai trouvé cette peloche vraiment très intéressante. Très loin des pinku-type sans intérêt tournés à la chaîne pendant les années 1970, Wakamatsu nous livre cette histoire d'un homme sans envergure qui se livre à des viols silencieux avec l'aide de chloroforme. D'abord angoissé, il prend de plus en plus ses aises et noue des relations silencieuses à sens unique avec ses victimes. D'abord cloisonné dans la cellule familiale, dans laquelle il ne fait que remplir son rôle de père mais aussi dans son travail, presque fantôme, de poinçonneur de tickets de métro, il finit par s'affranchir de toutes conventions sociales. J'ai franchement aimé le style général du film, presque sans musiques, avec assez peu de dialogues, qui sont d'ailleurs le plus souvent décoratifs pour souligner des relations humaines superficielles à la base. En revanche, pour un film nippon du genre, c'est tout de même bien rythmé. Et même si ce n'est pas la photographie du siècle, il y a de sacrés cadrages et une patte unique. Sans parler des scènes érotiques, troublantes, qui sont très bien filmées. Sacré acteur qui campe le violeur aussi, ça aide. Ca donne carrément envie de poursuivre sa filmo

7i4Mlz22lhw Le dernier Alice In Chains qui a l'air d'être, comme d'habitude, franchement bien, même si je préférerais toujours la première partie de leur discographie. En tout cas, il y a quelques perles sur ce nouvel album : "Hung on a cook" vraiment très belle piste.

La franchise Alan Wake à -90% (soit 3,60€) sur steam !! Encore 24h

J'adore cette série, l'ambiance soviéto-post-apocalyptique, les mutants, les lumières, les mecs qui tchatchent en ukrainien, les armes bricolées qui respirent la guerre froide... Modé et patché pour plus d'immersion, d'effets de lumière qui pèsent à mort ! Autant dire que j'attends les soldes d'été chez Steam pour un hypothétique Metro : Last Night un peu moins reuch'

Je ne sais pas quoi penser de ce film... D'un côté, Bale est énorme dedans, il colle vraiment à la peau du personnage. J'ai franchement accroché au début du film, à la folie meurtrière qui ronge peu à peu Bateman, à son rapport avec le fric et l'apparence sociale et puis... voilà. Bon, je n'ai pas lu le bouquin, mais je trouve que ça ne pousse pas plus loin que la première partie du film où l'on pose un très intéressant décor. C'est peut-être aussi le cas dans le bouquin mais je trouve dommage que Bateman ne soit vu qu'au travers de son rapport à l'image et au pognon.

Me souviens l'avoir vu au lycée et que ça m'avait assez franchement plu, et en effet, je n'ai pas subi au préalable une avalanche de critiques de la part d'articles, de forums et de potes qui me disaient que c'était trop bien. J'avais adoré le style en général (les deux protagonistes, aussi pathétiques qu'attachants, y contribue grandement) et quelques scènes en particulier que j'avais trouvé très fortes : celle des vyniles bien sûr, mais aussi le réveil difficile du bonhomme, celle du téléphone... Après, ce film fait partie de la période durant laquelle je me suis remis au cinéma, et mes goûts ont énormément évolué depuis. Faudrait que je le revoie tiens.

Je découvre Dominique A et je dois avouer que j'aime beaucoup 0lbfe4m7j2k

Totalement vrai, c'est un de mes gros regrets du film, ça et le fait que Cooper ne serve au final qu'à canaliser le groupe.

Si tu as détesté le premier, je doute fortement que tu apprécies même en mineure partie celui-là. Il faut avouer qu'il y a quand même du référentiel par rapport aux deux premiers épisodes et que donc voilà, si tu n'as pas aimé... Concernant Ken Jeong, c'est juste un pur festival, mais c'est aussi très très (très !) cabotin et jusqu'au-boutiste. L'humour des VBT, c'était clairement pas du Woody Allen mais là...

Comme les deux d'au-dessus, à voir pour ce que c'est : du bon gros Z teuton qui tâche. Mais contrairement à Angel of Death qui m'avait hyper emmerdé, celui-là est franchement cool avec un esprit parfois presque à la Braindead (c'est quand même nettement plus malsain et moins cartoon) en plus d'avoir un bon rythme et de bonnes idées.

Ah si tu aimes le death old school bien sombre et rugueux, je ne peux que te conseiller Solekahn, un groupe français, qui a sorti une petite perle dans son genre : "The Great Divider". Par contre, je ne sais pas si il est encore facile à choper. Ils devaient sortir un nouvel album, mais aucune niouz. Sinon, je me fais quelques Bigelf, un groupe bien bien sympa qui oscille entre rock bien 70's de hippies fumeurs d'herbe, heavy metal à papa et même pop, avec une identité différente à chaque album. J'adore. jO80-_eKHXI _l7zOwfEfgw

J'en sors. Ce qui m'étonne, c'est que même à 18h un jeudi, la salle était quand même trèèèèès viiiiiide. On était genre 20. Je sais que les critiques chez nous et aussi outre-Atlantique ne sont pas aussi unanimes que pour les deux premiers volets, mais perso, j'ai franchement passé un très bon moment malgré une très grosse appréhension. Alors, pour résumer très vite sans avoir à spoiler : La première partie du film : avec des moments très sans que ce soit un Je rigolais mais je sentais que ce n'était pas du niveau des deux premiers. Je sentais que c'était simplement la conclusion quelque peu en demi-teinte, mais toutefois honnête, d'une bonne trilogie. L'humour était plus facile que par le passé, il prenait vraiment appui uniquement sur les personnages plus que sur le surréalisme des situations, ces gars qui sont un peu devenus nos potes par la force des choses. Au début, je rigolais un peu par habitude. On sent aussi une évolution notable sur le traitement du film : bien sûr, pas de gueule de bois et de délires de drogués, mais plutôt un humour encore plus trash et grivois. Mais aussi exit aussi l'unité du groupe de loosers. Cooper et Helms sont en retrait par rapport à Zach Galifianakis et Ken Jeong qui en font des caisses. C'est souvent très drôle mais on frisait à quelques petit moments la caricature. On aimait le côté lendemain de soirées de tarés, là, on a un thriller humoristique. Mais quand même ouf, l'honneur est sauf : on rigole, y a de bonnes scènes. Et puis... Et puis ensuite vint la seconde partie du film, lorsque la meute déboule à Las Vegas et là.... C'est très con, c'est très drôle, ça part dans tous les sens, c'est totalement décalé, et j'ai franchement adoré. C'est rempli de délires bien trash, de coke, de putes, de drague entre rednecks, les animaux s'en prennent plein la gueule : Ça enfonce complètement le bon goût Voilà, j'ai vraiment bien aimé même si on est loin du premier opus. En bonus, une critique du nouvelobs à côté de la plaque qui le descend façon "cause animale", mais attention, ça balance pas mal de détails sur le film quand même : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/875500-very-bad-trip-3-j-avais-adore-le-premier-film-celui-ci-m-a-fait-vivre-l-enfer.html Haha, bien sûr, quand quantité d'humains innocents crèvent, y a pas de quoi militer

Très rare pour ma part : uniquement quand mon degré de fatigue est vraiment too much pour suivre quoi que ce soit. Mais sinon, j'ai quand même regardé Funky Forest d'une traite. Deux fois.

Bon bon bon. Je vais déjà lire cette vieille édition et prendre le recul nécessaire pour voir ensuite si ça m'intéresse d'aller plus loin (n'étant pas non plus un gros fan de ce style à la base). Merci à tous !

Pareillement. Et surtout que Jeff Bridges donne quand même plus envie que Tommy Lee Jones.

Ô joie ! Plus mémoire = beaucoup temps pour jeux vidéos ! Parce que malgré ses 13 ans d'âge, je sur-adore toujours ce jeu ! Shenmue a vraiment offert une expérience vidéoludique unique ! Une immersion totale dans un univers gigantesque pour l'époque. Très travaillé, avec une possibilité d'interagir avec tous les éléments du décor. Des QTE pas prise de choux comme aujourd'hui, un scénar bien sympa et des villages entiers à visiter ainsi qu'un bon quartier d'une ville de province. Super cool, sans compter l'ambiance de thriller jap' des années 1980 sur fond de karaté, un must. Sinon, j'ai dl Cry Of Fear gratos sur steam. C'est un survival-FPS bossé sur le moteur d'Half Life, mais ça va, c'est pas trop laid visuellement. Bien stressant comme jeux, avec de bonnes idées même si c'est en rien révolutionnaire et qu'on a l'impression de faire Silent Hill en vue subjective. Quasiment fini. Bon, sinon, je viens d'acheter un bon pc portable. Le genre qui peut faire tourner Crysis 2 sans soucis, sans toutefois trop en demander. J'ai 50€ sur steam. Je ne sais vraiment pas quoi en faire car je suis perdu avec autant d'offres. J'adore les survivals, les jeux d'aventures, quelques FPS avec une grande immersion et un scénario pas trop fainéant, ceux qui ont de la gueule, de la personnalité, une âme. Mais je suis toujours doute.

49mlh93UKgI Ah, trop le truc à écouter quand il fait aussi moche et froid à cette période de l'année. Le truc qui sent à mort le stoner joué au fin fond du Mississippi par des rednecks femelles qui sentent de sous les bras. Tu la sens trop l'humidité, l'ambiance moite, les moustiques et le soleil qui t'arrange pas le visage déjà pas épargné par la faune locale. Un album qui sent pour moi le sexe et la chaleur.

Sei Shôganon - Notes de chevet Vachement très bien pour qui s'intéresse au Japon. Une dame de la haute du XIe siècle décrit son quotidien et les mœurs de la haute société nippone à travers ses écrits intimes. Ça a beau avoir un millénaire et un demi-globe d'écart, la traduction française est absolument impeccable. C'est un régal à lire. Christian Léourier - L'homme qui tua l'hiver Ouais, changement intégral de style et d'univers. Je viens de le commencer, c'est franchement pas mal, surtout pour un petit roman comme ça. Un bon style bien glacial qui décrit une planète en voie de décadence avec une ambiance bien comme je les aime ! Après, je pense débuter Conan d'Howard chez "J'ai lu", une édition poche des années 1980. Acheté au pif 1€ chez un bouquiniste. J'ai strictement aucune idée si la trad' est bien ou pas, mais je vais quand même me le faire.

C'est clairement pas mon préféré de Kitano (j'ai une franche préférence pour Hana-Bi et Sonatine dans le genre) mais je ne vais pas non plus dire que je n'ai pas aimé, même si ça fait un petit moment que je ne l'ai pas vu. Kitano s'éloigne sensiblement de son rôle d'amuseur public pour endosser le rôle de cet inspecteur Harry quasiment autiste et sur le point de non-retour. Le Yakuza-eiga n'est pas le genre que je préfère dans le cinéma japonais et même les Kinji Fukasaku ne m'ont pas plus passionné que ça (d'ailleurs, c'était lui qui devait faire la mise en scène à l'origine). Pourtant, là, il y a déjà quelque part la patte Kitano : les plans longs et calmes avant la tempête, de sacrés moments d'intensité (la course poursuite et son final bien violent ), un climat bien noir (peut-être même un peu trop) et quelques gueules. Ce n'est pas mon préféré car il ne s'agit pas bien sûr d'une œuvre originale du BEAT (c'est un travail de commande sur lequel Kitano s'est carrément formé) : il manque la profonde poésie que l'on peut ressentir dans les plans lumineux et béats d'un Hana-Bi ainsi que les relations, plus soigneusement brossées, entre les différents personnages, chose que le réalisateur ne fera vraiment que sur son second film Jugatsu.

et ce gif n'aura jamais autant collé à ce que j'ai ressenti à mon visionnage du film. Un film avec un gros feeling, une grosse ambition nihiliste mais très cathartique, de bons acteurs (le duo est très touchant) et une personnalité propre. Pourtant, j'ai été assez moyennement emporté par le métrage. Enfin si, complètement au début, mais comme on l'a déjà dit très justement avant moi, le topo est posé dès la première partie du film, et au final on s'attend assez à ce qu'il va suivre, et même à ce qui va clore le film. Du coup, critique il y a, mais développement il n'est pas poussé. Pas de réel climax, ni d'énorme surprise scénaristique. Du coup, les scènes coups de poing spectaculaires, sanglantes et jouissives ont plus l'air d'être décoratives que de coller au propos. En fait, si on devait résumer la chose, c'est qu'on a plutôt eu une ébauche, ou même un simple billet de blog qui, même s'il est bien écrit, n'aura pas le même impact qu'un roman bien élaboré.

J'irais quand même à Movies 2000, c'est à deux stations de chez moi