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Dan

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Tout ce qui a été posté par Dan

  1. Dan

    Scrapbook - Eric Stanze - 2000

    Découvert à l'époque dans le catalogue d'Uncut Movies, et difficile de dire si j'avais franchement aimé ou détesté. En fait, dans ce catalogue, je voulais surtout du hardgore délirant et du gros nichon teuton. Alors ce film m'avait calmé, c'est clair. En tout cas, je l'avais trouvé intéressant, nettement plus que les productions allemandes comme Angel Of Death du même catalogue. Au moins, l'ambiance est vraiment dégueulasse et rend vraiment hommage à Massacre à la tronçonneuse pour ce côté "charogne humaine qui pourrit sous le soleil". Je suis d'accord avec Kerozene (tu as un lien avec le Kerozene de feu Cryptic Madness par hasard ?), les acteurs, surtout pour une production de cette envergure, m'ont bluffé. Quelques scènes qui m'ont marqué : - le début, filmé en vue subjective, malsain au possible. - la séquestration dans la poubelle, longue et insupportable - les dernières minutes du film
  2. Dan

    Evil Dead - Fede Alvarez - 2012

    Je vais peut-être être déçu mais en tout cas, la bande annonce, bien que clipesque, est très efficace !
  3. Le pire, c'est que ça fera plus d'entrées que Pas très normales activités. Enfin, théoriquement.
  4. Eh beh, le jeu d'Olivier Marchal, Charles Bronson dans le justicier dans la ville, c'est du cabotinage à côté !
  5. Ok, je pense pas que j'aurais le courage d'aller voir le 2. Ou alors, avec mes goûts de chiottes, ça devrait peut-être bien me plaire !
  6. Synopsis allociné : Alors là, clairement bien aimé, très chouette comédie qui passe bien, même un samedi soir après avoir dégusté Django au cinéma. Je ne parle par contre pas non plus de claquage de beignet vu que le synopsis m'avait au départ fait penser aux frères Cohen sans que ça en ait la saveur ni le talent. Pourtant, on passe un très chouette moment grâce à : - un casting bien foutu : Perry convaincant et très drôle, Bruce Willis bien sûr, Duncan qui en impose bien et Arquette bien infernale avec son accent québécois (et pourtant, moi, l'accent québécois chez une femme, ça m'excite vraiment ) - Les jambes interminables de Natasha Henstridge ( ) et les très jolis seins d'Amanda Peet ( ) - Des gags qui fonctionnent bien, un humour et une bonne humeur communicatifs - Suffisamment d'intrigue, de personnages et un bon sens de la narration pour ne pas s'emmerder une minute. Par contre, peur de m'attaquer au 2.
  7. Mon préféré des deux ! Ca a beaucoup vieilli, mais personnellement, j'adore, étant très fan de tout ce qui touche aux 90's même au sens le plus kitch du terme. Et puis Tia Carrere quoi !
  8. Pas aussi fun que le premier, mais j'en retiens trois trucs rigolos : - Le fight avec le beau-père, au téléphone, avec un doublage approximatif voulu qu'on croirait sorti de Tongan Ninja - L'arrivée dans la boite gay en mode YMCA - "Un indien zarbi à moitié à poil" Sinon, je préfère encore regarder le premier.
  9. Un bon petit claquage de beignet en bonne et due forme Un très bon Tarantino, que j'avais lâché depuis le Boulevard de la Mort, que j'avais trouvé insupportable (bon, en même temps, en VO sous-titré coréen). 2h44, mais je les ais pas vues passer. C'est du référentiel à longueur de temps, mais j'ai trouvé ça quand même très cool puisqu'il s'agit plus du bonus que du fond en lui-même. En plus, la narration est plutôt claire, sans son chapitrage relou, et une mise en scène impeccable. Des scènes fantastiques : celle du KKK, les gunfights, les discussions, surtout celle de la salle à manger. Un casting aux petits oignons (DiCaprio excellent, et Foxx jouissif) et un très bon dosage entre action, humour, parlotte, tension... Bien aimé comment on passe de la partie chasseur de primes à la suivante : ça aurait pu être bien plus brut, mais ça passe tout seul. J'ai pas été téléporté plus que ça par la BO par contre (les deux Kill Bill et Pulp Fiction sont loin, très loin devant).
  10. Vu pour la première fois de ma vie à l'âge de 25 ans hier soir. Et j'ai vraiment beaucoup apprécié le ton léger, les gags simples mais efficaces, Paul Hogan, Linda, le NYC des 80's, les couteaux, la coke et la fierté redneck buddie bien assumée. C'est clairement pas la comédie que je regarderais une fois tous les trois mois mais bon, très bon esprit, beaux paysages, bien marrant.
  11. Desperado a tout dit. Mais vraiment TOUT. J'ai eu hyper peur les vingts premières minutes (bon, le passage en taxi m'a fait marrer). Ensuite, c'est du Je m'attendais clairement pas à un truc du niveau des trois premiers (surtout du troisième), et le 4 m'avait ennuyé. Poliment ennuyé, mais ennuyé quand même ( donc bien, mais pas excitant). J'espérais au moins qu'ils pètent complètement les plombs pour offrir des conneries à la pelle et de l'humour au baril. Là, on est plus que servi, c'est à la megatonne. En fait, ce cinquième épisode, on dirait un peu une compilation des trucs les plus cons et les plus too much qu'ils voulaient mettre dans les précédents ("haha, non, pas ça, c'est vraiment pas crédible"). En plus, tous les clichés bad ass sur les russes y passent, et ça, j'aime bien. Ils ont eu l'air de bien se marrer sur ce film. Truc qui m'a manqué par contre, c'est le manque de ronds de cuir autour de McClane. Dans tous les épisodes, il avait une hiérarchie chiante, et là, c'est du freestyle. C'était vraiment un plus auparavant. Dernière chose : le début de la première course-poursuite : incompréhensible. Je comprenais littéralement que dalle à ce qu'il se passait. C'était hyper cut et filmé avec de gros shaking. Je pensais que Bruno Mattei ou Jesus Franco avait fait le montage à un moment. Puis ensuite, ça passe et c'est caviar jusqu'à la fin.
  12. synopsis allociné : Film très prometteur, avec de bonnes idées, un bon cast, un bon traitement, mais une écriture et une narration par moments faibles, ce qui fait qu'on a un bon film, sympathique et frais, qui touche la grâce par moments, mais ce n'est pas non plus du niveau de Kore-Eda Hirokazu. C'est bien, mais ça aurait pu être excellent. Ce que j'ai aimé : Beaucoup de choses. Il y a une réelle limpidité dans le déroulement du film et dans la narration, où l'on passe d'une situation à une autre sans le moindre problème. Et même si on ne connait pas bien la culture japonaise, on comprends bien ce qu'il se déroule, la réalisation étant simple et fraiche. Le concept est non seulement bien choisi, mais aussi bien traité. On rentre vraiment dans le tabou même, celui du contact avec les morts, le rapport avec les défunts, la vision même de la fin de l'existence, et de travail à travers la vue de la société. Le réalisateur se permet de faire le lien avec les rapports familiaux, de couple... et c'est bien mené. C'est un film qui vit et surtout qui est humain, avec ses moments drôles, tristes, parfois grotesques, des scènes qui vont des explosions de dispute à de petits moments de grâce contemplative. Le tout avec un bon rythme en plus. Du côté des acteurs, c'est le tiercé gagnant. Masahiro Motoki très bon, crédible. Son patron très bien aussi. La secrétaire de l'entreprise de pompes funèbres, on la voit peu mais on s'en souvient. Les seconds rôles aussi, ils apportent un vrai plus. Seul petit soucis : Ryoko Hirosue. La peste de Wazabi (oui, avec Jean Reno) joue pas trop mal, mais nous gratifie de sa bouille constamment à mi-chemin entre la crise de fou-rire et d'angoisse. Elle est toute mimi mais parfois quand même un peu horripilante. Ce que je n'ai pas apprécié : quelques petits trucs, mais qui gâchent le rythme. Premièrement, les petits interludes où notre protagoniste joue du violoncelle dans un montage larmoyant au possible et über-niais. Entre deux passages sobres et posés dont de la cérémonie funéraire filmée de façon intimiste et contemplative, ça le fait juste pas. Ça gâche un rythme et une sobriété que je trouvais jusque-là super bien foutue. Il y a des trucs hyper bien exploités et d'autres moins. La fin est également assez bâclée je trouve, expédiée en deux-deux alors que le reste est très bien traité (à la rigueur, le patron du protagoniste, on aimerait en savoir un peu plus). Voilà, ça reste une bonne petite surprise. Quelque chose que j'ai vraiment apprécié sur le coup, mais pas au point de le revoir une seconde fois. En tout cas, pas tout de suite.
  13. synopsis allociné : J'ai beau adorer le cinéma japonais, les chambara n'ont jamais vraiment été ce que je préfère. Quoi qu'il en soit : Le film a ça de très puissant qu'il est capable à la fois d'avoir un vrai bon scénario avec des retournements de situation qui arrivent toujours au bon moment. Le rythme est super bon, bien dosé, avec ce qu'il faut de séquences posées, de débats sur la tradition et d'éléments perturbateurs. Kobayashi sait passer à l'essentiel sans que ce soit trop vide mais aussi sans éléments polluants. On est aidé par l'acteur principal Tatsuya Nakadai, qui nous dévoile petit à petit un jeu d'acteur particulièrement balèze. Une grosse et sacrée ambiance aussi, et surtout, nous en balancer plein les yeux avec une photographie juste sublime (les effets de lumière façon soleil qui s'incline dans la cour ). Ce film pèse dans tous ses détails. Le gros point fort est également de prendre tous les codes de la culture traditionnelle des samouraï pour mieux les remettre en question à travers le rituel du seppuku. Une réflexion classique sur les valeurs et les traditions par le prisme de l'acceptation de la mort comme lavement de l'honneur. Il y a un peu quelque chose de l'histoire des 47 ronins, mais avec un questionnement plus contemporain, le Japon se remettant encore de la Deuxième Guerre Mondiale. Bref, j'ai adoré.
  14. J'étais juste tombé sur quelques épisodes ça et là tard le vendredi soir. Et j'ai pris mon courage à deux mains en me terminant la première saison en dvd la semaine dernière. C'est effectivement très très bon, et les personnages sont aussi stupides qu'attachants. Plus que l'intrigue, c'est tout le côté de la culture white trash qui est excellemment traitée. Ca me fait un peu penser aux premiers Cohen et surtout Arizona Junior. Et puis bon quoi, Nadine Velasquez !
  15. On ne le dira jamais assez : c'est l'effondrement des valeurs qui symbolise notre époque décadente
  16. C'est tout à fait mon avis sur ce film. Crétin, à la limite de l'anecdotique, mais bien bien fun, il remplit son rôle de divertissement du samedi soir, celui où l'on a passé une semaine de chiottes et qu'on a envie d'oublier. Un humour sympa, quoiqu'un peu trop pesant sur la toute fin du métrage, alors que j'aurais préféré plus de froideur. Sinon, y a un combat final avec du jiu-jitsu brésilien et du pétage de cervicales sur des poutres en acier, alors ça, ça pèse poutrancièrement
  17. Dan

    Vos lectures du moment

    Ah oui, Lovecraft, c'est pas non plus encore l'époque de Stephen King. L'écriture se rapproche plus de celle de Poe que de nos contemporains qui ont un style plus "organique". J'ai été aussi un peu déçu durant mes premières lectures ado, mais en persévérant, il y a vraiment un univers unique à découvrir, ça vaut vraiment le coup. Je n'ai jamais exprimé énormément d'empathie vis-à-vis des personnages de Lovecraft, mais ce sont surtout les ambiances qu'il pose et le monde qu'il peint qui sont à explorer.
  18. Ça, dans la forme, j'avais compris mais mon interrogation visait essentiellement le de la chose. Après, les films chinois de cette époque, ça n'a jamais été mon truc. Mais le côté WTF de la chose m’interpelle beaucoup
  19. Strictement rien pané à la vidéo. Il faut impérativement que je me le procure. Bach Films dis-tu ? Mmmmhhhh
  20. On va dire que c'est le côté Sophie Marceau qui m'attirait chez elle. Et aussi le tailleur et cet air froid que j’apprécie amplement chez les femmes ayant dépassé la trentaine.
  21. Je l'ai découvert quand le second est sorti en VHS, quand je devais avoir cinq ou six ans. Ces deux films font partie de mon patrimoine ciné de l'enfance. C'est simple, c'est tout sucré, c'est un peu niais mais ça marche tellement bien, l'alchimie est bien dosée. Le film de Noël, avec les Gremlins
  22. Ben quoi, elle pèse Anne Roumanoff
  23. Dan

    Eureka - Shinji Aoyama (2000)

    Désolé de l'erreur, par 2h40, je voulais dire 3h40, mauvaise touche.
  24. On est vraiment dans le gros classique du film de HK, de grosses ficelles, un scénario pas folichon vu, vu et revu, des scènes d'actions trop rares (pourtant, y a de l'idée à certains moments), quelques longueurs. Les deux acteurs principaux sont sympas, bien que parfois un peu ternes, le commissaire taiwannais, bien que cantonné (hohoho) dans son habituel rôle de chef gueulard est trop classique, il n'en demeure pas moins très sympathique et constitue la bonne surprise du film. Pas de quoi s'en relever la nuit, mais il demeure plutôt sympa et occupera sans peine un dimanche pluvieux.
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